Jouir du temps avec Dieu
Jour 7. Le réveille-matin sonne ; une nouvelle journée commence. Je me retourne et j’appuie sur le rappel d’alarme. Je ne suis pas prêt à sortir du lit. Mon âme affamée crie, mais mon corps désire plus de sommeil. J’ai encore du mal à passer régulièrement du temps dans le calme avec Dieu.
Pas de réponses faciles
Un couple se trouvait dans une situation sans issue. Lors d’une sécheresse intense, les deux risquaient de recevoir une amende de 500 $ s’ils arrosaient leur pelouse plus de deux fois par semaine. Leur pelouse étant devenue brune, la Ville les a informés qu’en dépit de la sécheresse, ils devaient la conserver « verte et bien entretenue » à défaut de quoi ils auraient à payer (vous l’avez deviné) une amende de 500 $.
Sagesse inspirée
A‑poe‑la‑pi est un Akha âgé, membre d’une tribu qui vit dans une chaîne de montagnes de la Chine. Lors d’un voyage missionnaire, mes amis et moi avons visité A‑poe‑la‑pi. Il nous a dit : « À cause des fortes pluies de la nuit dernière, je n’ai pas pu me rendre à la rencontre. Pourriez-vous me parler de la Parole de Dieu ? » Voyezvous, A‑poe‑la‑pi est analphabète, ce qui fait de la réunion hebdomadaire sa seule occasion d’assimiler l’Écriture. Il nous a écouté parler attentivement. Son attitude sérieuse m’a rappelé que, lorsque nous écoutons ou étudions la Bible dans le but d’acquérir la sagesse de Dieu, nous l’honorons.
Abandonnée dans le froid
En désespoir de cause, une femme a téléphoné au centre d’aide au logement où je travaillais. Un problème de chauffage avait transformé la maison qu’elle louait en congélateur meublé. Paniquée, elle m’a demandé comment prendre soin de ses enfants en pareille situation. Je me suis empressée de lui offrir une réponse sortie du manuel : « Allez à l’hôtel et envoyez la note au propriétaire. » Elle m’a alors raccroché au nez en colère.
Vivre sagement
Votre travail ne définit pas votre vie. De l’épuisement professionnel à l’épanouissement. Ces récents articles de magazine indiquent notre besoin de trouver la sagesse qui nous aide à bien vivre.
Prêt à demander
Kung Yu, un aristocrate chinois qui a vécu plusieurs centaines d’années avant la naissance de Jésus, était reconnu pour son intelligence et sa diligence dans ses études. Pourtant, il était humble et n’avait pas peur de poser des questions aux personnes qui n’étaient pas aussi bien éduquées que lui. Après sa mort, le duc de Wei lui a décerné le titre honorifique de Wen (qui signifie « raffiné » et « littéraire » en chinois). Il est donc devenu Kung Wen Yu.
Sagesse et grâce
Le 4 avril 1968, Dr Martin Luther King, fils, le grand défenseur des droits civils américains est mort assassiné, laissant des millions de gens en colère et désillusionnés. À Indianapolis, une grande foule d’Afro-Américains s’était réunie pour entendre le discours de Robert F. Kennedy. Comme ils étaient nombreux à ignorer cette nouvelle tragique, Kennedy s’est retrouvé dans l’obligation de la leur annoncer. Il a alors fait un appel au calme en validant non seulement leur douleur, mais aussi en rappelant le deuil de son propre frère assassiné, le président John F. Kennedy, puis a cité une version d’un poème ancien d’Eschyle (526‑456 av. J.‑C.).
Contrer l’entropie
Dans l’une de ses prédications, John Ortberg parle d’une entrevue que lui a accordée Max De Pree, ancien PDG de Herman Miller, une entreprise de mobilier de bureau de renom. « On prie souvent Max de parler de leadership et, lorsque quelqu’un lui a demandé quelle avait été la chose la plus difficile à laquelle il avait dû travailler, il a répondu : "Contrer l’entropie." » Bien avant que Max De Pree reconnaisse en lui-même cette faiblesse, Salomon a donné à ceux qui l’écoutaient des conseils afin de leur permettre de vaincre leur propre entropie.
Et si ?
Récemment, j’ai reçu le courriel d’une femme nommée Renée qui me racontait qu’elle et son mari avaient essayé pendant des années de fonder une famille, sans succès. Après avoir subi plusieurs traitements de fécondation in vitro et attendu plusieurs années pour adopter, ils étaient épuisés par l’épreuve et songeaient à mettre fin au projet. Sachant que ma femme et moi avions vécu une épreuve semblable, Renée m’a posé cette question : « Comment fait-on pour laisser tomber le rêve de devenir parent sans ensuite vivre en regrettant ce qui aurait pu arriver ? »
Tremblants, mais confiants
Il est des moments où les fondements mêmes de notre vie semblent trembler. Un redoutable coup de fil reçu durant la nuit. Une terrible nouvelle annoncée par le médecin. Une décision déchirante prise par un ami ou un membre de la famille. Toutes ces choses et bien d’autres peuvent nous faire souffrir intérieurement et trembler extérieurement.