L'espoir qui renaît
Sur son blogue, Gayla a raconté qu’elle avait redonné vie à un cactus trouvé dans la poubelle d’un immeuble à logements de son quartier. Elle a trouvé une tige qui donnait signe de vie, et avec un peu d’élagage, a redonné vie à la plante vraisemblablement morte qui fleurit à nouveau et qui pousse maintenant bien. Elle a expliqué en détail la transformation du cactus afin d’aider ceux qui croient que leur plante est fichue.
La vie et les pertes
Depuis le début de l’humanité, ce sont des ennemies continuelles. Récemment elles se sont immiscées dans la vie d’une amie qui regrettait de voir ses enfants ne pas marcher avec Jésus. Un autre ami pleurait la fin de ce qui avait été un mariage d’amour. Un membre de ma famille me regardait les yeux larmoyants tentant de former des mots en vain à cause de la démence. Un autre, rempli de chagrin suite à la mort de son père, m’a dit doucement : « Je ne peux pas croire qu’il est parti. »
Le plus beau parcours
Lorsque les motocyclistes arrivent près d’un tournant serré, ils essaient de regarder dans la direction où ils se dirigent de l’autre côté de la courbe. Cela leur permet de prendre le tournant en douceur et de continuer leur parcours.
Des tables simples
J’ai un ami qui a passé la majeure partie de sa vie avec des gens qui vivent en marge de la société : des pauvres, des sans-abri, des toxicomanes et toute autre personne qui ne vit pas selon les normes ou qui est rejetée par la société. « C’est avec eux que je semble avoir ma place, dit mon ami, en marge de la société. » Il aide les croyants en Jésus à apprendre comment nouer de véritables amitiés avec ceux qui sont différents. « Ce genre d’amitié n’est pas aussi compliqué qu’on le croirait », a-t-il insisté. « Parfois c’est aussi simple que de connaître le nom de la personne et de savoir comment elle aime son café. »
Espoir étincelant
Assis à notre table, nous profitions d’une belle soirée en attendant que la serveuse vienne nous voir. Elle s’est présentée et, grâce à son entrain, le courant est immédiatement passé entre nous, même si nous venions de la rencontrer. Toutefois, au fil de notre repas, mon mari et moi avons relevé les commentaires d’autodénigrement qu’elle disait chaque fois qu’elle venait à notre table. Nous lui avons parlé avec assurance de la beauté de Dieu en elle et lui avons demandé de prier avec elle. Le lendemain matin, à ma grande surprise, j’ai reçu d’elle une demande d’amitié sur Facebook. Ni mon mari ni moi n’avions mentionné notre nom ou celui de l’Église où nous servons.
Souffrir pour un but
Récemment, j’ai regardé une vidéo virale dans laquelle des hommes expérimentent volontairement des douleurs semblables à celles de l’accouchement. Au début, les hommes qui ont des électrodes posées sur leur abdomen sont de bonne humeur et font des blagues. Toutefois, lorsque la douleur s’intensifie, ils commencent à grimacer et à tressaillir, puis à crier et à chercher un support émotionnel en se tenant la main. En regardant la vidéo, j’ai pensé à ma femme, la mère de nos cinq enfants, et je n’ai pu m’empêcher de me demander comment les femmes font pour endurer de telles souffrances.
Étrangement honnête
Avez-vous un problème avec la nourriture épicée ? » a demandé le propriétaire alors que nous entrions dans son petit restaurant de quartier.
Un boeuf dans la rue
Les pique-niques sont généralement plaisants, sauf si vous vous rendez compte, quelques minutes avant de partir, que vous devez apporter un repas à partager. Lorsque cela m’est arrivé, j’ai rapidement mis de la viande dans une casserole, allumé le feu et quitté la cuisine pour aller terminer d’autres préparatifs. Quelques minutes plus tard, j’ai senti une odeur de brûlé. J’ai couru à la cuisine, mais évidemment, il était trop tard pour récupérer l’offrande brûlée.
Le péché mécontent
L’essayiste Joseph Epstein a écrit : « Des sept péchés capitaux, seule l’envie n’a rien de réjouissant. » Il a poursuivi en affirmant qu’elle nous fait paraître « cupide, méchant et avare » (Traduction libre). Beaucoup de recherches soutiennent l’affirmation d’Epstein. En fait, les psychologues ont découvert que l’envie réduit la satisfaction et le bien-être en plus d’être associée à la dépression et à la névrose. L’hostilité qui en découle peut même nous rendre malade physiquement.
Coram Deo
Coram Deo. Les chrétiens du XVIe siècle utilisaient cette expression latine pour évoquer une idée profonde. Coram Deo signifie « devant la face de Dieu ». Cela veut dire que nous vivons devant le Dieu qui voit tout ce que nous sommes et ce que nous faisons, et que nous devrions vivre en conséquence. Vivre devant la face de Dieu veut dire que nous marchons avec intégrité sous son regard d’amour. Son sourire est tout ce qui compte vraiment pour nous.