Bénissez l’Éternel
Avez-vous déjà chanté le chant inspirant de Matt Redman « 10 000 Reasons » (Mille et une raisons) ? En voici le début : Bénis Dieu ô mon âme, ô mon âme, Rends gloire à son saint nom. Oh, chante comme jamais, Ô mon âme. Je louerai son saint nom. Matt a dit s’être basé sur le Psaume 103 pour écrire cette chanson qui énumère de nombreuses et diverses raisons de bénir le Seigneur. Vous demandez-vous ce que signifie « Mon âme, bénis l’Éternel ! » au verset 1 ?
La puissance du pardon
Que seriez-vous prêt à faire pour suivre Dieu ? Aimer les autres ? Absolument. Vendre tous vos biens et donner votre argent aux pauvres ? C’est fait. Qu’en est-il de pardonner à la personne qui vous a fait du tort ? Euh ! C’est une question difficile. Êtes-vous sûr que je doive le faire ?
Ne soyez pas stupide
Il n’y a rien de nouveau sous le soleil.
Juste devant Dieu
Les théologiens débattent de la signification de cette déclaration de Paul : « Car nous pensons que l’homme est justifié par la foi, sans les oeuvres de la loi » (Ro 3.28). Les protestants traditionnels se conforment à l’idée de Martin Luther selon laquelle les pécheurs comme nous ne peuvent faire assez de bonnes oeuvres pour satisfaire un Dieu saint. Nous devenons justes devant Dieu, en mettant notre foi en Jésus. Quand nous croyons en Christ, Dieu le Père accomplit ce que Luther appelait le « remplacement joyeux », en laissant Jésus se charger de la culpabilité de nos péchés et en considérant que sa justice est nôtre.
Le véritable Jésus
Quand Pierre a apporté l’Évangile aux païens, il a raconté à Corneille l’histoire de Jésus. Il lui a expliqué que le Sauveur avait voyagé à travers la Judée en guérissant les malades et en chassant les démons, qu’il est mort sur la croix et est ressuscité, puis qu’il est apparu à ses disciples et leur a ordonné d’annoncer à tous qu’il était le Messie d’Israël. Au milieu de son histoire Pierre a ajouté : « [Nous] […] avons mangé et bu avec lui, après qu’il fut ressuscité des morts » (Ac 10.41).
Racines
Mon ami a remarqué que son érable perdait ses feuilles prématurément. L’arboriste lui a appris qu’une racine périphérique en était la cause. Cela avait pris 30 ans, mais la racine fautive avait encerclé l’arbre et elle l’étouffait petit à petit. Si mon ami ne creusait pas pour la couper, l’arbre allait mourir.
Qui ne s’ennuie pas
La photo de mon magazine d’actualités montrait un ours du cirque de Moscou qui se déplaçait sur une corde raide pour la prestation qu’il s’apprêtait à faire. Une image encore plus intéressante était celle de la femme assise dans l’ombre, le corps affalé et la tête reposant sur une main, comme si elle avait déjà vu ce numéro. Elle n’aurait pu avoir l’air de s’ennuyer davantage.
Entendre la Parole
Les observations finales de Paul nous démontrent comment ses lettres étaient communiquées. L’Église se réunissait pour entendre la lecture de la lettre à voix haute après quoi on la copiait à la main avant de l’envoyer dans une autre ville. Ainsi, le chrétien moyen avait entendu la Parole de Dieu avant de l’avoir vue.
Ne jugez pas ?
Ne jugez point est probablement le verset le plus populaire au monde. Cette phrase de la Bible semble connue de tous, et elle est souvent mal employée. Un ancien politicien continuait d’envoyer des photos inappropriées de lui par messages textes à des étrangers, même après s’être excusé et avoir donné sa démission dans la honte. Il a dit avec colère à un électeur dégoûté qu’il n’avait aucun droit de le juger. Le pape François, lorsqu’on lui a demandé son avis sur les prêtres homosexuels a répondu : « Qui suis-je pour juger ? » Je crois qu’il voulait dire qu’il n’est pas de son ressort de juger les péchés des gens, mais beaucoup l’ont interprété comme appuyant ce mode de vie.
À un jet de pierre
Furieux, les scribes entrent dans le Temple et interrompent les enseignements de Jésus en poussant une femme devant la foule. Puis, ils disent à Jésus : « [Cette] femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? » (Jn 8.4,5.)