Du début à la fin
Au début du film Walk the line, le jeune Johnny Cash discute avec son frère aîné Jack, qui souhaite devenir prédicateur. Johnny est triste parce qu’il ne connaît pas la Bible aussi bien que son frère. Ce dernier lui dit : « Si je veux devenir prédicateur un jour, je dois connaître la Bible vraiment par coeur. C’est vrai, on n’arrive à sauver personne si on ne trouve pas l’histoire qu’il faut. »
Faim de Dieu
A ‑poe‑la‑pi est un ancien chez les Akhas, une tribu des collines de la province du Yunnan, en Chine. Lors d’un récent voyage missionnaire où nous lui avons rendu visite, A‑poe‑la‑pi nous a confié qu’il n’avait pas pu se rendre à l’étude biblique hebdomadaire à cause des fortes pluies. Il nous a donc demandé avec instance : « Pourriez-vous m’enseigner la Parole de Dieu ? »
Festin ou famine
De nos jours, vous pouvez entrer dans une librairie chrétienne et trouver des rangées et des rangées de livres sur les étagères. Sans même avoir à franchir les portes d’une église, vous pouvez écouter des milliers de podcasts et de sermons en ligne. La quantité énorme de ressources bibliques à notre portée est stupéfiante. Est-il donc possible à notre époque de connaître une famine de la Parole de Dieu ? Devons-nous tenir compte de l’avertissement du prophète Amos (8.11) ou n’était-il pertinent que pour les Israélites de ce temps ?
Cachée dans mon coeur
Je m’habitue à lire des magazines numériques. J’aime épargner des arbres et, de plus, je n’ai pas besoin d’attendre qu’on me livre la revue par la poste. Les éditions imprimées me manquent cependant parce que je ne peux plus passer mes doigts sur les feuilles lustrées ou en découper mes recettes favorites.
Ce n’est pas à mon sujet
Tim Keller a un jour posé cette question : « La Bible parle-t-elle essentiellement de moi et de ce que je dois faire ? Ou concerne-t-elle principalement Jésus et ce qu’il a fait ? » Le pasteur et auteur nous demande d’examiner le récit de David et Goliath. Nous avons tendance à considérer cette histoire comme un exemple de la manière dont Dieu peut nous aider à tuer les géants métaphoriques de nos vies. Keller est d’avis que c’est une erreur. Une des histoires de l’Évangile de Luc nous révèle pourquoi.
L’art de l’extraction
Mon fils s’est récemment fait enlever trois dents de sagesse. Les broyeuses avaient besoin d’être extraites à cause des effets néfastes qu’elles pouvaient avoir sur les autres dents. Si les trois coupables n’avaient pas été enlevées (Dieu ne lui a donné que trois dents de sagesse au lieu de quatre), il aurait pu en résulter de la douleur, des infections et des changements dans sa façon de mâcher.
Puis-je me prononcer ?
Elihu était fâché. Alors qu’il écoutait la conversation d’un homme souffrant avec ses trois amis, sa colère montait (Job 32.2,3).
La boussole de Dieu
Pendant la Seconde Guerre mondiale, de petites boussoles ont sauvé la vie de 27 marins à 300 miles des côtes de la Caroline du Nord. Waldemar Semenov, un marin marchand à la retraite, servait comme ingénieur assistant à bord du SS Guide Alcoa, quand un sous-marin allemand a fait surface et a ouvert le feu sur le navire. Le bateau touché a pris feu et s’est mis à sombrer. Semenov et son équipage ont mis à l’eau les canots de sauvetage équipés de boussoles et les ont utilisés pour regagner les voies maritimes près de la côte. Trois jours plus tard, les hommes ont été secourus.
Entendre la Parole
Les observations finales de Paul nous démontrent comment ses lettres étaient communiquées. L’Église se réunissait pour entendre la lecture de la lettre à voix haute après quoi on la copiait à la main avant de l’envoyer dans une autre ville. Ainsi, le chrétien moyen avait entendu la Parole de Dieu avant de l’avoir vue.
Je suis venu aider
Les descriptions frappantes que le journaliste Jacob Riis a faites de la pauvreté dans la ville de New York du XIXe siècle ont horrifié un public complaisant en général. Son livre intitulé How the Other Half Lives (Comment vit l’autre moitié), une combinaison de ses écrits et de ses photographies, dépeint une image marquante au point que le public n’a plus été en mesure de nier la certitude de l’existence d’une pauvreté désespérante. Étant lui‑même le troisième d’une famille de quinze enfants, Riis a pu traiter de ce sujet avec une grande efficacité parce qu’il avait vécu dans ce monde d’un désespoir terrible.