Spacieux
En 2003, les membres de la famille Crafton – le père, la mère, deux filles et un fils – ont vendu leur maison et leurs biens et ont entamé, à bord d’un voilier, un voyage de 48 000 km sur une période de 83 mois. Les membres de la famille affirment que l’expérience, difficilement réalisable ou même possible pour la plupart d’entre nous, les a rapprochés et a rendu leur vie plus ouverte et spacieuse. Avant de mettre les voiles, les parents Tom et Kathleen ont compris que leurs carrières florissantes et leurs deux maisons, symboles matériels de leur succès, ne leur offraient pas la vie qu’ils désiraient. Ils se sont donc dirigés vers la mer libre.
Le véritable succès
Quelle est votre définition du succès ? Voici ce que des gens ont répondu : « Être heureux », « Atteindre ses buts », « Voir les gens accepter le salut ». Un ami a dit : « Le succès, c’est de jouir de la prospérité de Dieu dans tous les domaines de ma vie : spirituel, physique, financier et relationnel. »
Le don et celui qui donne
Ce n’est qu’un porte‑clés. Cinq petits blocs retenus ensemble par un lacet de chaussure. Ma fille me l’a offert il y a longtemps quand elle n’avait que sept ans. Aujourd’hui, le lacet est effiloché et les blocs sont ébréchés, mais ils portent un message qui ne s’use jamais : « I love DAD » (J’aime PAPA).
Des ponts audacieux
Le quartier où habite Dale est peuplé de nombreux nouveaux arrivants. Il apprécie la richesse culturelle de son voisinage, mais il s’en sent déconnecté. Récemment, il a fait cette prière : « Seigneur, sers‑toi de moi pour atteindre le coeur de mes voisins. » Puis il a senti que Dieu lui disait simplement : Sois un ami.
Venez faire votre pause
Lorsque j’étais enfant, notre famille allait tous les mois de l’Ohio en Virginie occidentale pour rendre visite à mes grands‑parents. Chaque fois que nous nous présentions à sa porte, grand-maman Lester nous accueillait ainsi : « Entrez faire une pause. » C’était sa façon de nous inviter à faire comme chez nous, à rester un instant et à échanger des « nouvelles ».
Travailler avec l’ennemi
Mon amie Stephanie a ouvert un magasin de revente dans une petite ville. Elle souhaitait en verser les profits à un ministère qui vient en aide aux adolescentes-mères célibataires. Peu de temps après, un autre magasin d’occasion a ouvert ses portes non loin de là. Ses propriétaires ont commencé à acheter des articles de Stephanie et à les revendre plus cher. Celle-ci savait qu’ils étaient fourbes, mais ses contacts avec eux lui ont permis d’apprendre à les connaître et à leur parler de Jésus. Et Dieu a fait prospérer son entreprise malgré les actions de ceux qu’elle aurait pu considérer comme ses ennemis.
Des ennuis en ville
Un article du magazine Unfinished paru en 2013 expose en détail l’intéressante croissance du christianisme dans la « nouvelle Inde ». Ce pays compte plus de 71 millions de croyants en Jésus, ce qui en fait la huitième nation chrétienne au monde. Malgré le fait que la foi en Christ se propage « rapidement parmi les Indiens de caste moyenne et supérieure, ainsi que parmi les jeunes », ces nouveaux croyants vivent des épreuves. « Cette réceptivité accrue au christianisme s’accompagne d’une animosité religieuse alarmante qui mène à la persécution et à une résistance farouche. »
Le pain qui rassasie
J’ai appris à réciter la prière du Seigneur à l’école primaire. Chaque fois que je disais : « Donne‑nous aujourd’hui notre pain quotidien » (MT 6.11), je ne pouvais m’empêcher de penser au pain que nous avions rarement à manger chez moi. Ce n’est que lorsque mon père rentrait de sa sortie en ville que nous avions une miche de pain. Le fait de demander à Dieu de nous donner notre pain quotidien constituait donc une prière pertinente dans mon cas.
Si notre coeur…
Je me tenais en pleine brousse dans une région de l’Ouganda, et je surveillais un appareil de forage que j’avais fait venir pour creuser un puits qui approvisionnerait 700 villageois démunis. Un homme âgé s’est alors approché de moi, m’a saisi les mains et m’a dit dans un anglais approximatif : « Si vous pouviez ouvrir mon coeur et voir à l’intérieur, vous y verriez couche par‑dessus couche de joie en raison de cette eau que Dieu nous fournit. »
Plus fort
Il y a cinq ans, enthousiasmés à l’idée d’entreprendre des rénovations, mon mari et moi avons décidé de carreler notre plancher de cuisine. Les carreaux sont froids pour les pieds en hiver et donnent des douleurs aux articulations en tout temps, mais ils sont si faciles à nettoyer que nous avons de nouveau choisi cette option lors de notre récent déménagement. Résistant au va-et-vient constant des gens dans la maison, ils sont robustes à un point tel que tout objet cassant qui y tombe s’y fracasse.