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Vraiment libres !

Olaudah Equiano (vers 1745‑1746) n’avait que 11 ans lorsqu’on l’a enlevé et vendu comme esclave. Il a alors effectué l’horrible traversée depuis l’Afrique de l’Ouest jusqu’aux Indes occidentales, puis jusqu’en colonie de Virginie, et ensuite en Angleterre. À 20 ans, il a acheté sa liberté, mais en continuant de porter les cicatrices émotionnelles et physiques des traitements inhumains qu’il avait dû subir.

Éclairez les ténèbres

En 1989, Vaclav Havel est passé du rang de prisonnier politique à celui de premier président élu de la Tchécoslovaquie. Des années plus tard, lors de ses funérailles à Prague en 2011, Madeleine Albright, ancienne Secrétaire d’État des États‑Unis née elle aussi à Prague, l’a décrit comme quelqu’un qui avait « éclairé des endroits très ténébreux ».

Jésus, l’intermédiaire

Lors d’un voyage à Paris, mon mari et moi avons décidé d’aller admirer la vue du haut de l’Arc de triomphe. Préférant l’aventure à la facilité, nous avons choisi de grimper les 284 marches au lieu de prendre l’ascenseur pour nous rendre à destination. Durant une bonne partie de la montée, nous avons dû emprunter ce qui nous semblait être un escalier en spirale sans fin. Lorsque nous sommes enfin arrivés au sommet, nous avons savouré la vue panoramique de la ville, résultat de notre ascension de 50 mètres !

Plutôt curieux

Sans moi vous ne pouvez rien faire.

Appelé par son nom

Dès que je fais la connaissance d’un nouveau groupe d’étudiants dans le cadre d’un cours de composition universitaire que je donne, je connais déjà leurs noms. Je prends le temps d’apprendre leurs noms et de regarder leurs photos sur ma liste d’élèves, si bien que lorsqu’ils entrent dans ma classe je peux leur dire : « Bonjour, Jessica » ou : « Bienvenue, Trevor. » J’agis de la sorte parce que je sais combien il nous est agréable de nous faire reconnaître et appeler par notre nom.

Offensés par Jésus

En 2014, un homme muni d’une arme de poing a ouvert le feu lors d’une rencontre dans un hôpital avec son travailleur social et un psychiatre. Malheureusement, le travailleur social a été mortellement blessé, tandis que le psychiatre, qui a riposté avec sa propre arme à feu, s’en est sorti avec des blessures mineures. Le tireur, maîtrisé sur place, dit avoir ouvert le feu parce que la politique « fusils interdits » de l’hôpital l’avait offensé.

Que t’importe ?

Pour tout le bien que Facebook, Twitter et Instagram peuvent nous faire, comme de nous permettre de garder le contact avec notre famille et nos amis, ces médias sociaux peuvent aussi être des pierres d’achoppement. Une de mes amies a commencé à limiter le temps qu’elle passe sur les médias sociaux après s’être aperçue que la vie de ses amis virtuels la captivait de plus en plus. Eh oui ! En suivant ses amis sur Facebook, Twitter et Instagram, elle est devenue indiscrète ; mais elle n’est pas la seule.

La beauté de Rome

La gloire de l’Empire romain a offert une toile de fond de grand prix à la naissance de Jésus. En l’an 27 av. J.‑C., le premier empereur de Rome, César Auguste, a mis fin à 200 ans de guerre civile et a commencé à remplacer des quartiers délabrés par des monuments, des temples, des arènes et des complexes gouvernementaux. Selon l’historien latin Pline l’Ancien, c’étaient « les plus beaux édifices jamais vus jusque‑là ».

Un « Jésus kitsch »

Le « Jésus kitsch » est très populaire. Sur les tableaux et les affiches, il a toujours les dents blanches et droites, un teint resplendissant, de beaux yeux bleus et brillants, et de longs cheveux ondoyants. Il apparaît souvent en flou artistique, assis au soleil dans une paisible campagne, à regarder affectueusement l’agneau qu’il tient dans ses bras. Le « Jésus kitsch » porte de longues robes blanches, même lorsqu’il apparaît dans une scène moderne, et tient parfois un bâton de berger. Le « Jésus kitsch » est insouciant et ne plisse jamais le front. C’est le Jésus des cartes de souhaits, qui répand une odeur de lavande, un personnage mythique qui va nonchalamment par les prés.

La paix comme un fleuve

Une connaissance de mon cours d’exercice physique m’a dit : « Je ne suis pas surprise que vous dirigiez des retraites. Vous avez une belle aura. » Sa remarque m’a un peu prise de court, mais agréablement surprise, car je me suis rendu compte que ce qu’elle considérait comme une « aura » était en réalité la paix de Christ en moi. Si nous suivons Jésus, il nous accorde la paix qui surpasse toute intelligence (PH 4.7) et qui irradie de nous, bien que nous n’en soyons pas forcément conscients.