Où est mon chez-moi ?
Cela fait maintenant plus d’une décennie que ma famille et moi vivons dans des maisons louées. Cette situation nous permet d’être toujours prêts à plier bagage et à déménager lorsque Dieu nous y appelle. Récemment, on nous a demandé de quitter notre maison parce que le propriétaire avait de nouveaux projets en ce qui la concerne. C’est une ravissante maison bâtie sur un très grand terrain situé en forêt. Nous avons énormément aimé y vivre, mais après six ans, nous devons lui dire au revoir et nous ne savons pas encore où nous irons.
Si
Si vous aviez une boule de cristal dans laquelle vous pouviez lire l’avenir, qu’y verriez-vous ? Quels choix feriez-vous ou quelles décisions prendriez-vous pour tenter de modifier le cours de votre vie ?
Hésitation fatale
À l’automne 2003, une série de feux de forêt a fait plusieurs dizaines de victimes aux États-Unis. Les flammes s’étant répandues très rapidement, les pompiers ont supplié les gens de quitter leur demeure en Californie du Sud, mais beaucoup ont hésité. Certains ont voulu prendre le temps de remplir leurs valises de vêtements tandis que d’autres ont voulu combattre le brasier au moyen de tuyaux d’arrosage.
Le Dieu de l’ordinaire
Il se peut que l’écoute de témoignages de choses spectaculaires que Dieu a accomplies dans la vie d’autres personnes puisse nous stimuler. Bien que nous puissions nous réjouir de l’exaucement d’une prière, il se peut que nous nous demandions pourquoi Dieu n’a rien fait d’étonnant pour nous dernièrement.
Suivre par la foi
Des étudiants de la University College à Dublin ont vu une cane se dandiner sur un mur de ciment haut d’environ un mètre, puis sauter en bas. Cela n’avait rien de spécial pour elle, mais pour ses bébés à plumes jaunes qui la suivaient, c’était un exploit extraordinaire à reproduire. Les canetons nasillaient et grouillaient sur le rebord du mur. Finalement, l’un des petits canards a fait le saut. Il a atterri sur le côté et s’est remis sur pieds. Il a choisi de suivre sa mère et, ce faisant, a incité ses frères et soeurs à faire de même. Peu de temps après, ils avaient tous sauté en bas du mur et s’étaient mis à suivre leur mère sur son parcours.
Est‑il bon ?
Je ne crois pas que Dieu soit bon », m’a dit mon amie. Il y avait des années qu’elle priait en vain pour que certaines difficultés se résorbent. La colère et l’amertume que suscitait en elle le silence de Dieu ne cessaient de croître. Comme je la connaissais bien, je sentais qu’elle savait au fond d’elle‑même que Dieu était bon, mais sa souffrance incessante et l’apparente indifférence de Dieu l’amenaient à douter. Il lui était plus facile de céder à la colère que de supporter son chagrin.
Éviter le piège
Une plante carnivore peut digérer un insecte en une dizaine de jours. Le processus s’amorce quand, ayant senti le nectar sur les feuilles qui composent son piège, une mouche s’en approche pour l’examiner et entre sans se méfier dans les mâchoires de la plante. Les feuilles se referment alors sur elle comme un étau en une demi‑seconde et des sucs digestifs l’y dissolvent.
Rejet et succès
Mes collègues et moi étions en train de dîner avec une auteure lorsqu’elle nous a posé cette question : « Qu’aimez-vous le moins de votre boulot ? » Je travaille dans le milieu de l’édition depuis plusieurs années, et la réponse m’est venue instantanément : « Je n’aime pas anéantir le rêve des gens, ai-je affirmé. Je n’aime pas leur dire que leur manuscrit "ne correspond pas à nos besoins." »
Confier ses rêves à Dieu
Nous entretenons tous certains rêves pour notre vie – nous aspirons à faire quelque chose d’important ou à devenir quelqu’un de bien. Lorsqu’ils s’inscrivent dans le cadre des desseins de Dieu, nos rêves nous guident vers une vie porteuse de sens.
Du vent et des ailes
Lorsqu’il entrait dans une pièce, la chaleur de sa présence se faisait sentir. Le doux souffle du shalom était manifeste. L’effet apaisant que produisait mon oncle était palpable. Dieu a ramené le calme sur la terre après qu’il y a plu durant 40 jours et 40 nuits. Des mois se sont écoulés, et le mal et la violence qui autrefois consumaient la terre ont cessé d’être. Et « Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’apaisèrent » (GE 8.1).