Lorsqu’il entrait dans une pièce, la chaleur de sa présence se faisait sentir. Le doux souffle du shalom était manifeste. L’effet apaisant que produisait mon oncle était palpable. Dieu a ramené le calme sur la terre après qu’il y a plu durant 40 jours et 40 nuits. Des mois se sont écoulés, et le mal et la violence qui autrefois consumaient la terre ont cessé d’être. Et « Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’apaisèrent » (GE 8.1).

Après avoir lâché un corbeau, Noé a envoyé une colombe, mais comme l’eau couvrait encore la terre, la colombe est revenue (V. 8,9). Une semaine plus tard, il a lâché la colombe de nouveau. Cette fois, elle est revenue avec « une feuille d’olivier » (V. 10,11). La promesse d’une nouvelle vie était manifeste ! Une semaine plus tard, Noé a laissé aller la colombe une fois de plus. Elle n’est pas revenue, puisqu’elle a trouvé un endroit sécuritaire où se poser (V. 12). Dieu a dit à Noé de descendre du bateau et de mettre les animaux en liberté afin qu’ils « soient féconds et multiplient sur la terre » (V. 17).

Sortant des eaux du baptême, Jésus « vit les cieux s’ouvrir, et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe » (MC 1.10). L’Esprit ayant participé activement avec Jésus à la première création, il se posait maintenant sur Jésus lors d’une manifestation symbolique de la nouvelle création venant sur terre (GE 8.17).

Plus tard, après l’ascension de Jésus au ciel, les croyants s’étaient rassemblés à Jérusalem. Tout à coup, le bruit du vent a rempli la maison (AC 2.1,2). Comme Jésus l’avait promis, le Saint-Esprit est venu se poser sur chacun d’eux. Le calme et la présence de Dieu étaient manifestes.

Aujourd’hui, le Saint-Esprit, ainsi que sa puissance et sa paix, s’est posé sur nous. Et, par sa puissance, nous cherchons du fruit : l’accroissement du nombre de ceux qui trouvent une nouvelle vie en Jésus (AC 1.8).