Faire de bonnes actions
Le quartier ougandais où je vis était relativement calme jusqu’à ce qu’un homme d’affaires vienne troubler la paix en ouvrant un bar extérieur en face de chez moi. La musique forte joue maintenant toute la nuit, le propriétaire du bar refusant de prêter attention aux résidents qu’il importune. Il nous dit être un homme bon, et puisqu’il donne de l’argent aux pauvres, les gens ne devraient pas se plaindre.
Les restes
Selon une étude publiée en août 2012, les Américains jettent à la poubelle 40% de leur nourriture, une quantité évaluée à 165 milliards de dollars par année. L’Américain moyen jette 240 livres (110 kg) de produits comestibles par personne chaque année. Une réduction de seulement 15% de cette quantité serait suffisante pour nourrir 25 millions de personnes chaque année.
65 cadeaux
Doug Eaton voulait célébrer son 65e anniversaire de naissance de façon particulière. Lorsqu’il a demandé à ses amis comment célébrer ce grand jour, on lui a suggéré de réaliser 65 gestes quelconques de bonté. Et c’est exactement ce qu’il a fait. Il a distribué des billets de 5 $ pendant 65 minutes à un carrefour très fréquenté. Selon Eaton, donner aux autres a été le plus beau cadeau qu’il aurait pu demander. « C’était fantastique », a-t-il dit.
Lâcher prise
J’ai souvent été témoin d’extrême générosité de la part de gens pauvres. Dans la jungle amazonienne, des habitants ont rationné leurs maigres provisions afin de me fournir des repas quotidiens. Un soir, ils ont préparé un ragoût de singe frais, et même si ce n’était pas un mets auquel je tenais à goûter, pour eux c’était une gastronomie coûteuse. Dans les bidonvilles de Mexico et d’Indonésie, on trouve souvent des personnes qui, parce qu’elles ont si peu à amasser et à protéger, font preuve d’une grande générosité.
DES TOMATES GRATUITES
En mettant les sacs d’épicerie dans le coffre de ma voiture, j’ai jeté un coup d’œil à celle d’à côté. Par la vitre arrière, j’y ai vu des paniers remplis de tomates bien mûres – reluisantes, pulpeuses et plus belles que celles du marché. Lorsque la propriétaire du véhicule est apparue peu après, je lui ai dit : « Quelles superbes tomates vous avez là ! » Elle m’a répondu : « La récolte a été bonne cette année. Aimeriez-vous en avoir quelques-unes ? » Surprise par sa générosité, j’ai accepté avec plaisir. Elle m’en a donné plusieurs, qui se sont révélées être aussi bonnes au goût que belles à voir !
Bouleversé
Rachel, la fille de mon collègue du NMQ Jeff Olson, est une jeune fille que j’aime comme si elle était la mienne. Elle est récemment revenue d’un voyage missionnaire de huit mois. À un moment durant le voyage, elle a contracté la malaria alors qu’elle servait dans une région rurale du Kenya, et je me suis beaucoup inquiété pour elle. Heureusement, sa santé s’est améliorée à la suite de la prise de puissants médicaments. Le ministère de Rachel pour Jésus lui a assurément causé du tort physiquement. Cependant, ses émotions ont été encore plus touchées étant donné qu’elle s’est dévouée entièrement à des personnes qui luttaient à cause des conséquences du péché.
Épuisé par l'argent
Internet regorge de publicités vantant des programmes qui permettent de devenir riche rapidement. Ceux-ci promettent des masses d’argent en échange de peu d’effort ou de compétences. Il suffit de suivre les techniques particulières indiquées dans le matériel de formation et en peu de temps, vous serez financièrement indépendant, d’après ce qu’on dit. Et tout cela, dans le confort de votre maison ! Hum !
LA RÈGLE D’OR
Le concept de la Règle d’or – traite les autres comme tu voudrais être traité – apparaît dans de nombreuses religions. Qu’est-ce qui en rend donc la version de Jésus aussi exceptionnelle ?
L'argent ou la mobilité ?
Il m’arrive rarement de rencontrer des mendiants dans la rue. Mais dans certains pays, on en trouve aux marchés et dans les centres commerciaux. Un jour, lorsque j’étais en visite dans un pays voisin, mon hôte m’a dit que, pour mon propre bien, je devais les ignorer. Et que si je démontrais le moindre intérêt à un seul mendiant, il me poursuivrait et me harcèlerait jusqu’à ce que je lui donne un peu d’argent. Et dès l’instant où j’en donnerais à un, je serais très rapidement envahi par une horde d’autres.
Les vraies valeurs
Johannes Gutenberg a une idée qui va révolutionner le monde. Mais il a besoin de financement pour la réaliser. Il contacte son voisin, Johann Fust, qui lui prête l’argent nécessaire pour construire sa première presse à imprimer. Gutenberg fait d’abord ses remboursements de prêts en imprimant des indulgences pour l’Église catholique. Le travail est bien rémunéré, mais Gutenberg a une vision plus grande pour sa nouvelle machine. Il veut imprimer des bibles – des livres magnifiques en caractères gothiques qui ressemblent au style minutieux d’un scribe. Toutefois, sa bible de 1200 pages prend trop de temps à être produite et vendue, et après trois ans, il fait faillite. Gutenberg donne sa presse à Fust, qui l’utilise pour publier une grande variété de livres en Allemagne et en France.