Pagayez vers la maison
J’aime Reepicheep, le souriceau robuste et parlant de la série Chroniques de Narnia, de C. S. Lewis. Déterminé à atteindre « l’extrême Est » pour se joindre à Aslan, le grand lion [symbole de Christ], Reepicheep déclare : « Tant que cela m’est possible, je vogue vers l’est à bord du Passeur d’Aurore. Quand le bateau ne me le permettra plus, je pagaierai vers l’est dans mon canoë. Quand il aura coulé, je nagerai vers l’est de toute la force de mes quatre pattes. Et quand je n’aurai plus la force de nager, si je n’ai pas encore atteint le pays d’Aslan, ou basculé par‑dessus le bord du monde dans une vaste cataracte, je coulerai, le nez tourné vers le soleil levant. »
Accomplir de grandes choses
Au début des années 1990, la South African Broadcasting Corporation concluait sa programmation officielle à minuit, puis faisait jouer de la musique le reste de la nuit. Or, un homme a entendu des chansons chrétiennes y jouer et a découvert qu’une jeune femme sélectionnait la musique à jouer de nuit. Son Église et lui ont donc décidé de lui fournir une vaste collection de chansons chrétiennes. Ainsi, pendant des années, de la musique chrétienne a joué toute la nuit sur les trois stations de télévision nationales de l’Afrique du Sud. Par ses actions, une jeune femme apparemment sans importance a transformé la vie de plusieurs auditeurs.
Dieu transcende la mêlée
On pourrait facilement reconnaître pour thème principal « La vie est une mêlée ! » au livre de 2 Samuel, dans l’Ancien Testament. Il comporte tous les éléments nécessaires à une minisérie télévisée à grand succès. Tandis que David cherche à asseoir son règne en tant que roi d’Israël, il doit affronter défis militaires, intrigues politiques et trahisons par des amis et des membres de sa famille. Par ailleurs, David n’était lui‑même certainement pas innocent de toute faute, comme le démontre clairement sa relation avec Bath‑Schéba (CHAP. 11 – 12).
Motivé
Mon mari et moi avons récemment rencontré un ami que nous n’avions pas vu depuis longtemps. Il se tenait à l’extérieur de la salle de gym où il s’entraîne et vantait les services de l’établissement. Ses paroles témoignaient de son sentiment d’appartenance. Bien qu’il n’en ait pas été un actionnaire financier, il y avait trouvé une identité, un but et un endroit où il se sentait chez lui parmi les tapis alignés, les haltères et les autres appareils de musculation. Cet endroit qui était devenu son lieu de rencontre tenait une grande place dans sa vie.
Tactiques non conventionnelles
En 1980, une femme a pris le métro durant le Marathon de Boston. Ce n’était rien en soi, à l’exception d’un petit détail. Elle était censée courir le marathon ! Plus tard, des témoins l’ont vue se joindre à la course à environ un kilomètre de la ligne d’arrivée. Elle a terminé bien avant les autres participants féminins et, curieusement, sans être à bout de souffle ou en nage. Pendant un instant, elle a ressemblé à une coureuse.
Déclaration incroyable
Je trouve souvent devant ma porte des publicités annonçant des services comme l’aménagement paysager, le nettoyage de gouttières ou la lutte antiparasitaire. Un jour, un pamphlet d’une autre sorte s’est trouvé sur mon tapis d’entrée. On y lisait de nombreux versets qui semblaient tous justes. Le dépliant expliquait aussi qui était Jésus, mais en y regardant de plus près, j’ai remarqué qu’on ne le décrivait pas correctement. L’éditeur de la brochure niait que Jésus était réellement Dieu.
Secourir
En discutant du scénario du film L’extraordinaire Spiderman, le réalisateur Marc Webb a dit : « C’est une tragédie classique, où l’on essaie de faire le bien, mais dans la mesure où l’on tente de bien agir, de mauvaises choses arrivent. C’est ce qu’OEdipe [le roi grec mythique] a fait – sa tentative de sauver la ville l’a conduit à coucher avec sa mère », dit-il en riant. « Ses efforts étaient nobles ! Mais l’ironie dans tout cela c’est qu’il a causé des dommages en voulant bien faire. Pour moi, c’est ce qui ressort le plus de la tragédie. Spider-Man sauve les gens et le monde, mais à ses dépens. »
Transmettre la nouvelle à Dieu
Avant l’avènement du téléphone filaire, du courrier électronique et du téléphone cellulaire, le télégramme constituait en général le moyen de communication le plus rapide. Par contre, seules les nouvelles importantes, d’ordinaire mauvaises, étaient télégraphiées. D’où l’expression anglaise : « Le télégraphiste est toujours porteur de mauvaises nouvelles. »
Je crois
En tant que Chinoise élevée dans un milieu polythéiste, je croyais que le christianisme était une religion occidentale, la religion de « l’homme blanc ». Je croyais que nous les Asiatiques avions nos propres dieux. Plus tard, en tant que jeune croyante en Jésus, je me suis parfois demandé si je n’avais pas renié mes racines en croyant en un dieu étranger.
Ainsi seront les choses
Vous et moi avons quelque chose en commun. Nous vivons dans un monde désorienté et terni, sans jamais avoir rien connu d’autre. Adam et Ève pouvaient par contre se rappeler à quoi ressemblait la vie avant la malédiction et se remémorer le monde tel que Dieu l’avait destiné à être : libre de la mort, des épreuves et de la souffrance (GE 3.16-19). Dans le jardin d’Éden d’avant la chute, la faim, le chômage et la maladie n’existaient pas. Personne ne mettait en doute la puissance créatrice de Dieu ni son plan relationnel pour les êtres humains.