Notre boussole morale
Qu’est-ce qu’une minute ? C’est simplement une mesure de temps. Il y en a 60 dans une heure et 1 440 dans une journée. Mais, durant ces 60 clics de la trotteuse, un raz de marée de pensées accompagnées de leurs réactions émotionnelles peut nous submerger. Aujourd’hui, durant une minute en particulier, un sentiment de terreur m’a envahie. Pourquoi ? Parce que j’ai eu terriblement peur d’avoir fait quelque chose de mal.
En tout temps
Je discutais avec un ami dont le mariage s’était terminé en divorce. Pendant des années, il avait essayé de s’excuser auprès de sa femme et de rebâtir leur relation brisée. Toutefois, celle-ci était amère à cause d’un événement qu’elle ne pouvait pardonner – ou oublier. Il s’agissait en partie d’un acte aimant qu’il avait fait pour l’aider ; or, elle ne l’avait pas vu de cette façon et son coeur s’était endurci.
L’effet de la musique divine
La Mélodie du bonheur, produite en 1965, est l’une des comédies musicales ayant remporté le plus grand succès de toute l’histoire du cinéma. Ayant gagné le coeur et la voix de gens partout dans le monde, ce film a remporté de nombreux honneurs, y compris cinq oscars. Plus d’un demi-siècle après, des gens assistent encore à des projections spéciales de ce film, s’y présentant chacun déguisé en son personnage préféré pour chanter avec lui ou elle durant la projection.
Crise cardiaque spirituelle
La crise cardiaque est la principale cause de mortalité dans plusieurs pays du monde. Aux États-Unis, quelqu’un souffre d’une crise cardiaque toutes les 20 secondes, et quelqu’un en meurt toutes les 34 secondes. À Singapour, une mort sur trois est due à une crise cardiaque ou à un AVC. Nous devons faire très attention à ce que les professionnels de la santé nous enseignent sur la prévention des crises cardiaques : réduire notre niveau de stress, ne pas fumer, faire de l’exercice régulièrement et surveiller notre alimentation. « Garde ton coeur plus que toute autre chose » est un enseignement que nous ignorons à nos risques et périls (PR 4.23).
Le choix d’une veuve
Lorsqu’une de mes bonnes amies a perdu son mari, emporté de façon soudaine par un infarctus, nous l’avons pleuré avec elle. En tant que conseillère, elle avait elle-même réconforté beaucoup de gens. Après 40 ans de mariage, elle devait maintenant faire face à la perspective peu réjouissante de retourner dans une maison vide à la fin de chaque journée.
Paroles d’amour
Nous sommes en 2014. Quelques joueurs d’une équipe de football lycéenne se conduisent mal ; ils sèchent des cours, obtiennent de mauvaises notes et sont même coupables de cyberintimidation. L’entraîneur-chef décide donc de leur appliquer une mesure disciplinaire draconienne : il dissout l’équipe. Bien que navrés, les joueurs et leur famille respective acceptent la nouvelle, car ils savent à quel point l’entraîneur se soucie de ses joueurs.
Un aperçu du ciel
Devant notre église, le jardin botanique de renommée internationale a servi de lieu de rassemblement à tous les gens qui la fréquentent. Tandis que je marchais dans ce jardin en saluant des gens que je connaissais, en renouant avec ceux que je n’avais pas vus dernièrement et en savourant la beauté de ce lieu soigneusement entretenu, je me suis rendu compte que cette soirée était riche en symboles de la manière dont l’Église est censée fonctionner : donner un aperçu du ciel sur la terre.
Aimez-vous Dieu ?
Aimez-vous Dieu ? Pensez-y. Comment une simple personne peut‑elle s’approcher de Dieu, et dire qu’elle vit une relation d’amour avec un Être si glorieux ? J’en suis médusée. Un ancien hymne méthodiste décrit Dieu ainsi : « Immortel, invisible, Dieu seul sage, vivant dans lumière inaccessible et caché à nos yeux ». L’« altérité » de Dieu explique peut‑être pourquoi nous nous sentons mal placés pour affirmer que nous l’aimons.
La puissance de la beauté
Les couchers de soleil. Les gens ont tendance à s’arrêter pour les regarder, les photographier et admirer leur splendeur.
Faire ses adieux
Il est difficile de faire ses adieux à sa famille, à ses amis, à son endroit préféré, à sa profession ou à son gagne-pain.