La puissance de la bonté
Un certain samedi, ma famille et moi sommes allés au marché du centre-ville à vélo. Chaque week-end, le marché prend d’assaut un stationnement, et des vendeurs de produits variés y montent leur stand. L’endroit déborde de produits biologiques, de produits de boulangerie et de toutes sortes de créations artisanales.
Est‑il bon ?
Je ne crois pas que Dieu soit bon », m’a dit mon amie. Il y avait des années qu’elle priait en vain pour que certaines difficultés se résorbent. La colère et l’amertume que suscitait en elle le silence de Dieu ne cessaient de croître. Comme je la connaissais bien, je sentais qu’elle savait au fond d’elle‑même que Dieu était bon, mais sa souffrance incessante et l’apparente indifférence de Dieu l’amenaient à douter. Il lui était plus facile de céder à la colère que de supporter son chagrin.
Tempêtes à l’horizon
Notre fils, Josh, est pêcheur de saumon commercial à Kodiak, en Alaska. Il y a un certain temps, il m’a envoyé une photo qu’il avait prise d’un minuscule bateau précédant le sien de quelques centaines de mètres dans un passage étroit. Des nuages menaçants annonçaient une tempête à l’horizon. Par contre, un arc‑en‑ciel, signe de la providence et des soins bienveillants de Dieu, se déployait d’un côté du passage à l’autre, encerclant ainsi le petit bateau.
La galerie de Dieu
Le Psaume 100 est comme une oeuvre d’art qui nous aide à célébrer notre Seigneur invisible. Bien que l’objet de notre adoration échappe à notre vue, le peuple de Dieu nous le fait connaître.
Que signifie un nom ?
J’aime lire les listes de noms dans la Bible. Auparavant, elles me semblaient non pertinentes. En fait, je les sautais et ne lisais que les passages les plus « édifiants ». Un jour toutefois, j’ai réalisé que tous ces noms étaient là pour une raison. Dieu avait choisi des personnes pour que leur nom paraisse dans sa Parole. Quel honneur quand leur nom était choisi pour de bonnes raisons !
S’attirer des ennuis
Un jour, Adrionna Harris est témoin dans sa classe de quelque chose de troublant – un de ses jeunes camarades de classe est en train de se couper avec un petit rasoir. Comme la situation lui semble grave, elle fait ce qu’elle croit être la bonne chose – elle intervient en lui prenant le rasoir des mains et en le jetant. Mais au lieu de lui valoir des éloges, son acte de compassion la fait écoper d’une suspension de dix jours. Lorsqu’on lui demande si elle ferait de nouveau le même geste, Adrionna répond : « Même si je me suis attiré des ennuis, cela n’a pas eu d’importance puisque je l’aidais […] je le ferais de nouveau même si je devais être suspendue. »
La gentillesse de Noël
Mon fils a vécu ses premiers dix ans sous le climat chaud de l’Afrique de l’Est. Pour son dixième anniversaire, j’ai utilisé des « air miles » et l’ai emmené dans l’ouest des États-Unis pour qu’il voie la neige. Des amis nous ont gracieusement prêté leur maison pendant qu’ils étaient en vacances. Quand mon fils et moi sommes arrivés, nous n’avions qu’un code à faire pour ouvrir la porte du garage, mais à cause d’une panne de courant fortuite, elle n’a pu s’ouvrir. Il était 21 h 30 la veille de Noël… et nous étions coincés. Toute penaude, je suis allée frapper à la porte des voisins et leur ai expliqué ma situation. À ma grande surprise, la famille nous a invités à passer la soirée avec elle.
Au creux de la vague
C.S. Lewis et son frère plus âgé, Warren (Warnie), ont fréquenté Wynyard, un pensionnat pour garçons, pendant plusieurs semestres. C’était un endroit inhospitalier, dont le directeur était un homme cruel qui rendait la vie intolérable à tous. Quelques décennies plus tard, Warnie a écrit, en bon pince-sans-rire : « J’ai maintenant dépassé le cap des 64 ans et je n’ai jamais vécu de situation où le simple fait de penser que je m’y trouvais déjà mieux qu’à Wynyard ne m’ait consolé. » La plupart d’entre nous se souviennent d’une période éprouvante et sombre qui, lorsqu’ils y pensent, leur fait reconnaître que la vie est plus facile à présent.
Des fruits !
La jeune mère soupira en cherchant avec peine de quoi préparer le goûter de sa fille de 3 ans. Regardant le panier de fruits vide sur la table de leur cuisine exiguë, elle soupira de nouveau et dit : « Si seulement il y avait des fruits dans mon panier, je me sentirais riche ! » La fillette l’entendit.
Une puissante lumière
Le Walkie Talkie, un gratte-ciel de 37 étages situé à Londres a suscité quelques problèmes inusités lors de sa construction. À certains moments, sa structure concave faisait dangereusement réfléchir les rayons du soleil. Une équipe de télévision a réussi à faire cuire un oeuf avec un de ces rayons ! Les résidents à l’opposé du bâtiment ont porté plainte pour des dommages causés à la peinture et aux moquettes, en raison du reflet solaire trop éblouissant.