Month: janvier 2016

Battus

L’autre jour, j’ai lu deux passages, l’un dans Deutéronome et l’autre dans Nombres, qui disaient pratiquement la même chose. Ils m’ont fait mieux reconnaître les conséquences qui résultent de la désobéissance à Dieu et du fait de ne pas tenir compte de ses avertissements. En bref : Avancer sans la direction, l’autorisation et l’aide de Dieu, peu importe de quelle façon nous justifions nos paroles ou nos actions, mènera au jugement.

Le temps de la solitude

Dans la pile de courrier d’après Noël, j’ai découvert un trésor : une carte de Noël faite à la main et peinte sur du carton recyclé. De simples coups de pinceau à l’aquarelle évoquaient des collines auxquelles des conifères donnaient vie par un temps glacial. Centré au bas de la carte et encadré de baies rouges, le message suivant était écrit à la main : Peace be with you! (Que la paix soit avec vous !)

Sans regrets

Les sociologues d’une université ont récemment complété une étude qui avait pour but de déterminer si les gens regrettent davantage les choses qu’ils ont faites ou celles qu’ils ont omis de faire. Le résultat obtenu a été sensiblement le même lorsqu’on les questionnait sur la semaine qui venait de passer. Environ le même nombre de gens ont dit : « Je souhaiterais ne pas avoir fait ça » que : « Je souhaiterais avoir fait ça. » Mais lorsqu’il était question de toute leur vie, la grande majorité regrettait des occasions ratées. John Greenleaf Whittier a écrit : « De tous les mots tristes prononcés ou écrits, les plus tristes sont ceux-ci : « Cela aurait pu être. »

Nous tend-il l'oreille ?

J’ai parfois l’impression que Dieu ne m’écoute pas. » Ces paroles, provenant d’une femme qui s’efforce de rester forte dans sa marche avec Dieu malgré les affres de l’alcoolisme de son mari, font écho au cri du coeur de nombreux croyants. Pendant nombre d’années, cette femme a demandé à Dieu de changer son mari. Ce qui ne s’est toutefois jamais produit.

Retrouvé

J’ai une amie dont les blessures sont si profondes qu’elle repousse l’amour compatissant des autres. Certaines personnes très attentionnées ont essayé de l’aider. Elles auraient donné leur vie pour elle (en fait, de plusieurs façons c’est précisément ce qu’elles ont fait). Pourtant, mon amie fuit leur amour. Elle a peur d’être aimée. L’amour qui lui est offert est si fort, et son coeur si fragile, que cela la terrifie. Il lui semble plus sécuritaire de rester à l’intérieur de son cocon.

Tous ses bienfaits

Une difficulté récurrente dans notre parcours de vie nous amène à nous concentrer à un tel point sur notre besoin du moment que nous en oublions ce que nous possédons déjà. La chorale de mon Église m’a rappelé ce fait en chantant un superbe cantique inspiré du Psaume 103. « Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! » (V. 2.) C’est le Seigneur qui nous pardonne, nous guérit, nous rachète, pourvoit à nos besoins, nous satisfait et nous restaure (V. 4,5). Comment pourrions-nous l’oublier ? Pourtant, c’est souvent ce que nous faisons lorsque les événements de notre quotidien détournent notre attention vers nos besoins les plus pressants, nos échecs répétés et les situations qui semblent échapper à notre volonté.

Soldats, athlètes et fermiers

Qu’est-ce qu’un soldat, un athlète et un fermier ont en commun ? La discipline. Le soldat effectue des exercices jour après jour afin d’être prêt pour la bataille. L’athlète s’entraîne rigoureusement pour participer aux compétitions. Le fermier travaille du lever du soleil jusqu’à son coucher, en espérant patiemment une abondante récolte.

Il répondra

Ravie de tomber sur la page Twitter de mon actrice coréenne préférée, j’ai décidé de lui envoyer un mot, puis j’ai attendu sa réponse. Je savais que mes chances de réussite étaient minces. Une telle célébrité devait recevoir chaque jour d’innombrables messages de ses admirateurs. J’ai quand même espéré recevoir une réponse de sa part, mais en vain, ce qui m’a déçue.

Possiblement la bonne année

Mon père était pasteur, et le premier dimanche de chaque année, il prêchait sur le retour de Christ, en citant souvent 1 Thessaloniciens 4. Il revenait toujours sur un point en particulier : « Ce pourrait être l’année où Jésus reviendra. Êtes-vous prêt à le rencontrer ? » Je n’oublierai jamais avoir entendu ce sermon à l’âge de six ans et de m’être dit : Si c’est vrai, je suis pas sûr qu’il viendra me chercher, moi. J’avais la conviction que mes parents iraient au ciel, et je voulais y aller moi aussi. Alors, quand mon père est rentré de l’église ce jour-là, je lui ai demandé comment je pouvais en être sûr. Il a ouvert sa bible, il m’a lu quelques versets et il m’a parlé du besoin que j’avais d’un Sauveur. Il n’a pas fallu grand-chose pour me convaincre de mes péchés. C’est ainsi que mon père m’a conduit à Christ. Je lui serai d’ailleurs éternellement reconnaissant d’avoir semé ces vérités en moi.

Nouveau

Bonne année ! Il est de nouveau le temps de fêter une nouvelle série de 365 jours.