Donner le ton
Notre fille aînée a commencé à conduire. Même si mon mari et moi avions compris que ce jour arriverait, je n’arrête pas de me demander si nous l’avons bien préparée.
Un exemple à suivre
Au printemps 2015, le président d’un grand conglomérat chinois a offert à plus de 6 000 de ses employés un voyage toutes dépenses payées en France. Leur itinéraire comprenait une visite privée du Musée du Louvre et une séance de shopping dans un grand magasin de luxe. C’était un cadeau pour célébrer la vingtième année d’opération de l’entreprise. Cela a été tout un cadeau : 4 760 chambres réservées dans 79 hôtels et 146 autobus loués. On peut dire que le président du conglomérat a donné à ses employés un cadeau incroyable et un magnifique exemple de générosité.
Pas vain
Un certain conseiller financier que je connais décrit ainsi la réalité concernant les placements : « Espérez pour le mieux et préparez‑vous au pire. » Presque toutes les décisions que nous prenons dans la vie s’accompagnent d’une incertitude par rapport au résultat escompté. Il y a cependant une voie que nous pouvons suivre selon laquelle l’issue importe peu, car nous savons qu’en définitive nos efforts n’auront pas été vains.
Elle a fait ce qu’elle a pu
Lorsque ses amis disent des choses blessantes ou grotesques sur les médias sociaux, Charlotte s’y oppose avec douceur, mais aussi avec fermeté. Elle respecte tout le monde, et ses paroles sont toujours positives.
Une bonne imitation
Aujourd’hui, nous allons jouer à un jeu appelé Imitation », a annoncé notre pasteur des enfants aux tout‑petits rassemblés autour de lui. « Je vais nommer quelque chose et vous allez l’imiter. Prêts ? Poulet ! » Les enfants se sont alors fait aller les bras, en caquetant et en croassant. Puis il y a eu l’éléphant, le footballeur et la ballerine, en terminant par Jésus. Même si de nombreux enfants ont hésité, un tout‑petit de six ans a néanmoins immédiatement jeté les bras grands ouverts avec le sourire fendu jusqu’aux oreilles. Toute l’assemblée l’a applaudi.
Deux exigences
Le feu a besoin à la fois d’oxygène et de carburant pour continuer de brûler. Dans ma région, il est important de le savoir lorsque les tempêtes de l’hiver s’abattent sur nous ! S’il n’y a pas assez d’oxygène qui se rend aux bûches que l’on vient d’allumer, le feu s’éteindra. Et si l’on est à court de bois, on essaiera sous peu de se réchauffer les mains au-dessus des cendres refroidies !
S’attendre à Dieu
J'étais à bord d’une navette aéroportuaire à destination de mon vol de correspondance quand on a demandé au conducteur de « rester sur place ». Tout semblait indiquer que nous allions manquer notre vol, ce qui excédait un certain passager. Il s’en est donc pris au chauffeur, exigeant que celui‑ci fasse fi des ordres reçus « sous peine d’être traîné en justice ». C’est alors qu’un employé de la compagnie aérienne est arrivé à la course, un porte-documents en main. Devant l’homme outré, l’employé a brandi le porte-document d’un air triomphant. Après avoir repris son souffle, il a déclaré : « Vous avez oublié votre portedocuments. Je vous ai entendu dire combien votre réunion était importante, et je me suis dit que vous en auriez besoin. »
Travailler avec l’ennemi
Mon amie Stephanie a ouvert un magasin de revente dans une petite ville. Elle souhaitait en verser les profits à un ministère qui vient en aide aux adolescentes-mères célibataires. Peu de temps après, un autre magasin d’occasion a ouvert ses portes non loin de là. Ses propriétaires ont commencé à acheter des articles de Stephanie et à les revendre plus cher. Celle-ci savait qu’ils étaient fourbes, mais ses contacts avec eux lui ont permis d’apprendre à les connaître et à leur parler de Jésus. Et Dieu a fait prospérer son entreprise malgré les actions de ceux qu’elle aurait pu considérer comme ses ennemis.
Piments forts
Ma mère nous donnait des piments forts avant le coucher », déclare Samuel, en se remémorant son enfance difficile en Afrique subsaharienne. « Nous buvions de l’eau pour apaiser notre bouche, puis nous nous sentions rassasiés. » À cela, il ajoute : « Ça ne fonctionnait pas très bien. »
La véranda
Dans certaines collines du centre‑sud des États-Unis, la plus grande partie de la vie se déroule sur la véranda. Les voisins arrêtent à l’improviste prendre un verre de thé sucré ou une tasse de café. Pas besoin d’être invité.