Sans en recevoir le mérite ?
Les musicaux hollywoodiens étaient très prisés durant les années 1950 et 1960, où trois actrices en particulier – Audrey Hepburn, Natalie Wood et Deborah Kerr – ont ravi leurs auditoires par leur jeu des plus convaincants.
Tu es appelé
Martin Luther a remis en doute cette idée de l’époque médiévale selon laquelle seuls les prêtres, les moines et les soeurs possédaient un appel divin. Il a affirmé que tous les gens qui sont justifiés devant Dieu par le salut en Jésus sont appelés à le servir, peu importe leur travail. C’est ainsi que, « partout dans le monde, on [servira] Dieu, non seulement dans les églises, mais aussi à la maison, dans la cuisine, dans le cellier, dans l’atelier et dans le champ des citadins et celui des fermiers » (traduction libre).
Rien en vain
Après avoir combattu le découragement et la dépression pendant près de trois ans à cause de ma mobilité réduite et de mes douleurs chroniques, je me suis confiée à une amie : « Mon corps tombe en morceaux. J’ai le sentiment de ne rien avoir à offrir de valeur à Dieu ou à qui que ce soit d’autre. »
Une entrevue surprise
À bord d’un métro londonien, un passager matinal a invectivé un autre passager qui lui a barré le chemin. C’était le genre d’incident malheureux et irréfléchi qui reste généralement irrésolu. Plus tard ce jour‑là, l’inattendu s’est toutefois produit. Un gestionnaire a envoyé un mot à ses amis des médias sociaux : « Devinez qui vient de se présenter à une entrevue d’emploi ! » Lorsque son explication a paru sur Internet, des gens du monde entier lui ont envoyé des clins d’oeil et des sourires. Imaginez un peu vous faire accueillir à une entrevue d’emploi par la personne même qui vous a invectivé quelques heures auparavant !
Toujours aimé, toujours estimé
Nous servons un Dieu qui nous aime plus que nos oeuvres. Il est bien vrai que Dieu désire que nous veillions à nourrir notre famille et à prendre soin du monde qu’il a créé et nous a confié. Il s’attend à ce que nous nous mettions au service des faibles, de ceux qui ont faim, qui sont nus, qui ont soif et qui ont le coeur brisé autour de nous, au même titre que nous restions sensibles aux besoins de ceux qui n’ont pas encore accepté l’invitation du Saint‑Esprit à laisser entrer Christ dans leur vie.
Aider les gens en détresse
Après la mort de Nelson Mandela à la fin de 2013, plusieurs histoires sur sa véritable sollicitude à l’égard des autres ont fait surface. En 1950, à Johannesburg, Afrique du Sud, au moment de l’apartheid, Mandela a vu une Blanche debout à côté de sa voiture. S’approchant d’elle, il lui a offert son aide et a réussi à réparer la voiture.
La joie de la fidélité
Au début de 2014, le monde a tourné son attention vers Sotchi, en Russie, où les athlètes olympiques poursuivaient la quête de toute une vie. Notre famille aime les Jeux d’été et d’hiver – le faste des cérémonies, le courage et les luttes des athlètes, l’entente entre les pays.
Gagner au jeu de la vie
Nous ne devrions pas craindre l’échec par-dessus tout, mais de réussir dans des domaines peu importants. Cette citation de l’auteur Francis Chan nous fait remarquer que notre perception du succès peut être faussée. La réussite se mesure-t-elle par nos biens, nos réalisations ou notre prestige ? Est-ce ainsi que nous savons que nous avons gagné au jeu de la vie ? Et si nous ne suivions pas les bonnes règles ?
Une vie exceptionnelle
Lorsqu’un membre de la famille de deux de mes collègues est mort dans un accident de travail sur un chantier, nous avons pu constater à quel point ce mari fidèle, père de deux enfants et adepte de la vie au grand air était aimé. L’église rurale qu’il fréquentait n’étant apparemment pas assez grande pour accueillir tous les gens en deuil, le service s’est donc tenu dans une église plus grande. Ses amis et ses proches ont rempli l’édifice ! Le grand nombre de personnes présentes témoignait clairement de ce fait : Tim Dougherty avait touché de nombreuses vies d’une manière unique puisqu’il avait vécu en entourant sa famille et ses amis de ses bras forts et aimants.
Service cruciforme
Je suis désolé d’apprendre ce que vous avez traversé depuis la dernière fois que nous nous sommes parlé, m’a dit mon ami Adrian alors que nous marchions. « Comment Merryn et toi allez-vous maintenant ? » « Dans l’ensemble, nous allons mieux, ai-je répondu. Nous essayons de penser aux côtés positifs de la situation et aux opportunités qu’elle nous offre. »