Soigner la création
Les « grosses brunes » frayent dans la rivière Owyhee, où ces truites brunes amorcent leur rituel de nidification automnal. On peut les voir creuser leurs nids dans le gravier des eaux peu profondes.
Des limites
Ma femme et moi avons vécu dans un petit appartement au sixième étage d’un immeuble. Nous avons aimé la vue de son balcon et sa simplicité. De plus, nous n’avions pas à faire d’entretien extérieur ! Mais notre petite demeure possédait quelques problèmes.
Fais quelque chose !
Lorsque j’étais enfant, mon père m’incitait à être courageux et à prendre des risques. Il voyait bien que je réfléchissais trop aux situations ou que je me protégeais. « Fais quelque chose ! » me disait-il. Puis, pour plaisanter, il ajoutait : « Même si c’est mauvais, fait quelque chose ! »
Des fautes ont été commises
Des fautes ont été commises », a déclaré le PDG en abordant la question des activités illégales auxquelles son entreprise s’était livrée. Il semblait avoir des remords ; pourtant, il s’est défendu d’avoir quoi que ce soit à se reprocher et a refusé d’admettre ses propres torts.
L’homme qui parle aux chiens
Mes jeunes nièces m’ont récemment fait découvrir l’une de leurs émissions de télévision préférées : César, l’homme qui parle aux chiens. Dans cette série, César, un éducateur canin, donne des conseils aux propriétaires d’animaux qui possèdent des chiens indisciplinés. Je suis rapidement devenu accro de cette émission.
Une douce influence
Plusieurs années avant de devenir le 26e président des États‑Unis (1901‑1909), Theodore Roosevelt a appris que son fils aîné, Theodore junior, était malade. Or, la cause de cette maladie lui a porté un coup terrible, car les médecins lui ont dit qu’il en était la cause. Ted souffrait d’un « épuisement nerveux » du fait que Roosevelt l’avait impitoyablement poussé à devenir le « battant » héroïque qu’il n’avait lui‑même pas été durant son enfance marquée par une santé fragile. En l’entendant, Roosevelt père a promis de lâcher prise : « À compter d’aujourd’hui, je ne presserai plus jamais Ted physiquement ou mentalement. »
Privilèges et responsabilités
William Arthur Ward, auteur de maximes inspirantes, a écrit ces paroles sages afin d’insuffler aux gens la notion de responsabilité et la pratique de bonnes actions : « Faites plus que de devenir membre : participez. Faites plus que vous soucier de quelque chose : aidez. Ne vous limitez pas à croire : pratiquez. Exercez plus que la justice : exercez la bonté. Ne vous contentez pas de pardonner : oubliez. Ne vous bornez pas à rêver : agissez. »
Tombés
Ce n’était pas la première fois que nous déménagions. Je ne trouvais donc pas inhabituel que mon père décide de trouver un nouveau poste et que nous emménagions dans une autre ville. Je n’avais que 12 ans. Je détestais le fait de quitter mes amis et la vie que je menais, mais j’acceptais l’idée que Dieu nous appelle à entreprendre quelque chose de nouveau. Je n’ai su la vraie raison de notre départ que plusieurs années plus tard. Notre pasteur principal avait entretenu une liaison adultère, et plusieurs étaient au courant. En toute bonne conscience, mon père, pasteur associé, ne pouvait plus rester.
Plus malin
En 1729 le philosophe français Voltaire se doute qu’il peut gagner à la loterie. Lui et un ami statisticien ont calculé que le gros lot serait plus élevé que le coût de tous les billets. Ils rassemblent donc leur argent avec celui d’autres amis, et achètent le plus de billets qu’ils peuvent. Ils gagnent et partagent l’argent du prix. Être plus malin que le gouvernement est payant – Voltaire reçoit plus d’un million de francs. Mais certains pourraient croire qu’il n’a pas tout à fait joué franc-jeu.