Une mère célibataire
Imaginez-vous cette scène : Joseph se dirige vers Bethléhem, conduisant une carriole tirée par un âne. Dans cette carriole est assise sa femme enceinte, Marie. Elle était tombée enceinte avant même qu’ils aient consommé leur mariage ! Cela avait causé un scandale dans leur village. Imaginez les ragots et les regards méprisants des villageois. Certainement, elle est une femme immorale. Et les deux sont coupables de relations sexuelles avant le mariage !
Soldats de plastique et BGI
Nos deux jeunes fils voulaient une crèche de Noël. Nous en avons donc installé une petite dans leur chambre. Un soir, alors que ma femme les bordait, elle a aperçu de petits soldats de plastiques placés à côté de la crèche. Liam (cinq ans) les y avait disposés pour qu’« ils assurent la sécurité de bébé Jésus ».
Une façade
Kerri s’efforce d’amener les gens à l’admirer. Elle est enjouée la plupart du temps, pour que les autres la remarquent et la complimentent sur son entrain. Certains l’y encouragent, car ils la voient venir en aide à des gens de la collectivité. Par contre, dans un instant de transparence, Kerri avouera ceci : « J’aime le Seigneur, mais j’ai l’impression en quelque sorte que ma vie n’est qu’une façade. » Confrontée au fait que son insécurité sous‑tend une grande partie de ses efforts pour gagner l’estime des gens, elle dit ne plus avoir l’énergie de continuer dans cette voie.
Signes et sentiments
Je connais un jeune homme qui a l’habitude de demander des signes à Dieu. Il n’y a rien de mal à cela en soi, sinon qu’il tend à rechercher par ses prières la confirmation de ses sentiments. Il priera, par exemple : « Mon Dieu, si tu veux que je fasse X, fais Y, et je connaîtrai ta volonté. »
Guérir des coeurs
Il n’y a pas très longtemps, je suis allé faire modifier des vêtements chez une couturière. En entrant dans son atelier, ce que j’ai vu sur les murs m’a encouragé. Un panneau disait, en anglais : « Nous pouvons réparer vos vêtements, mais Dieu seul peut réparer votre coeur. » Tout près une toile illustrait Marie de Magdala pleurant d’angoisse tandis que Christ était sur le point de se révéler à elle. Un autre panneau disait, toujours en anglais : « Besoin de prière ? Permettez‑nous de prier pour vous. »
Mes frères et soeurs
Il y a plusieurs années, lorsque l’économie du sud de la Californie a décliné, le pasteur Bob Johnson y a vu non seulement des difficultés, mais également des opportunités. Par conséquent, il a sollicité une rencontre avec le maire de sa ville, à qui il a demandé : « Que peut faire notre Église pour vous venir en aide ? » Le maire en est resté ébahi. Généralement, les gens l’abordaient pour lui demander son aide. Et voilà qu’un ministre du culte lui offrait les services de toute une communauté chrétienne.
Se tourner vers des amis
Les séquoias peuvent atteindre une taille incroyable – certains mesurent plus de 115 mètres ! Pourtant, la plupart des séquoias possèdent un système racinaire superficiel qui ne s’enfonce habituellement pas plus de trois mètres dans le sol.
Gagner au jeu de la vie
Nous ne devrions pas craindre l’échec par-dessus tout, mais de réussir dans des domaines peu importants. Cette citation de l’auteur Francis Chan nous fait remarquer que notre perception du succès peut être faussée. La réussite se mesure-t-elle par nos biens, nos réalisations ou notre prestige ? Est-ce ainsi que nous savons que nous avons gagné au jeu de la vie ? Et si nous ne suivions pas les bonnes règles ?
Apaiser son âme
Tandis que j’attendais le début d’un concert, mon esprit est retourné à un problème harcelant. Heureusement, cette distraction n’a pas tardé à se dissiper alors qu’un magnifique cantique se traçait un chemin jusqu’au fond de mon être. Une chorale masculine chantait a cappella « Be Still, My Soul » (Sois apaisée, mon âme). Des larmes me sont montées aux yeux pendant que j’écoutais les paroles de cette chanson et que je sentais m’envahir la paix reposante que seul Dieu peut donner :
Soyez réconciliés
Ils sont assis côte à côte sur un tapis de paille, lui, vêtu d’un pantalon beige et d’une chemise blanche et pourpre, et elle, vêtue d’une robe bleue et jaune. « J’ai pris part à l’assassinat du fils de cette femme », dit François, l’un des milliers d’hommes hutus qui ont commis des crimes contre les Tutsis lors du génocide rwandais de 1994. « Il a tué mon fils », dit Épiphanie, « puis il est venu me demander pardon. »