Le meilleur des bonheurs
« Tout le monde le fait » me semblait être une excuse irréfutable lorsque j’étais jeune, mais je me trompais. J’avais beau les supplier désespérément de m’autoriser à faire une chose qu’ils jugeaient dangereuse ou insensée, mes parents ne me donnaient jamais gain de cause.
Détruire les fausses idées
Comment aidez-vous les gens à comprendre qui est vraiment Jésus ? Comment vous en tirez-vous parmi les demi-vérités et les fausses idées ?
Sur la paille fraîche
Selon un sondage d’opinion, « Sur la paille fraîche » a été élu le deuxième chant de Noël le plus populaire. Bien que quelques-unes des paroles ne soient pas mentionnées dans la Bible (par exemple, la présence d’une ânesse et Jésus qui lui sourit), ce chant contient certaines vérités théologiques profondes.
Jésus change tout
Si Jésus n’était pas entré dans ce monde, deux choses seraient vraies. Premièrement, ceux qui ont le plus de _________ gagneraient. (Complétez la phrase avec ce qui a le plus de valeur pour vous ou votre culture). Dans les temps anciens, c’étaient ceux qui avaient le plus de chameaux, de femmes ou d’or. Aujourd’hui, ce sont ceux qui ont le plus d’argent, de jouets ou d’amis Facebook. D’une manière ou d’une autre, l’objectif reste le même : amassez tous ce que vous pouvez pendant que vous le pouvez.
La signification d’un nom
D’après un article du New York Times, dans certains pays d’Afrique, on nomme souvent un enfant selon un visiteur bien connu, un événement spécial ou une situation particulière ayant marqué les parents. Lorsque les médecins ont avoué aux parents d’un nourrisson qu’ils étaient incapables de le guérir et que seul Dieu savait s’il survivrait, ils l’ont baptisé Dieusait. Un homme dit s’appeler Assez parce que sa mère avait eu 13 enfants et qu’il était le dernier ! Chaque nom recèle une raison et, dans certains cas, une signification précise.
Jésus, aide-moi !
Le bébé de mon amie a subi des lésions cérébrales à la naissance. Les médecins sont peu optimistes. Ils croient que si la petite fille survit, elle ne sera pas en mesure de mener une vie normale.
Prince de la paix
Nous marchions dans un magasin lorsque la fille de 12 ans de mon amie a fait un commentaire sur la couverture d’un magazine de décembre 2012 qui traitait de la fusillade de l’école primaire Sandy Hook aux États-Unis qui a fait 26 victimes : 20 enfants et 6 adultes. Son frère de 6 ans qui en savait peu sur l’événement déchirant, a regardé sa mère et dit : « Je crois que le nom de Jésus que je préfère est Prince de la paix. » « Moi aussi », répondit mon amie. « Moi aussi. »
Matière à réflexion
Au début du mois de septembre 2011, un incendie incontrôlable a détruit 600 domiciles dans la ville et les environs de Bastrop, au centre du Texas. Quelques semaines plus tard, l’Austin American-Statesman mettait en manchette : « Les gens qui ont perdu le plus se concentrent sur ce qu’ils n’ont pas perdu. » L’article décrivait la générosité exceptionnelle de la collectivité et racontait que ceux qui avaient été soutenus par leurs voisins, leurs amis et la communauté avaient compris que ce qui leur restait comptait beaucoup plus que ce qu’ils avaient perdu.
Rater sa chance
J’ai entendu les paroles les plus tristes aujourd’hui. Deux chrétiens parlaient d’un sujet sur lequel ils ne s’accordaient pas. Le plus âgé des deux avait pris un air suffisant. Se servant de l’Écriture comme d’une arme, il accusait l’autre de tout ce qu’il considérait comme mal chez lui. Le plus jeune semblait fatigué du sermon, fatigué de l’autre et découragé.
Prenez position
L’avantage du terrain n’est pas un mythe. Selon le livre Scorecasting de Tobias J. Moskowitz et L. Jon Wertheim, l’équipe locale gagne plus souvent que le club visiteur. Pourquoi ? Les auteurs déclarent : « La partialité des officiels est la contribution la plus significative à l’avantage du terrain. » Ils plient sous la pression des partisans parce qu’ils n’aiment pas se faire huer. Lorsque les matchs sont serrés, les officiels ont tendance à prendre des décisions qui favorisent l’équipe hôte.