Notre nouveau nom
Elle se qualifiait elle‑même de femme encline à s’inquiéter, mais lorsque son enfant s’est blessé dans un accident, elle a appris à échapper à cette étiquette réductrice. Au fil de la convalescence de son enfant, elle s’est réunie toutes les semaines avec des amis pour discuter et prier, sollicitant l’aide et la guérison divines. Au fil des mois, en transformant ses craintes et ses soucis en prières, elle en est venue à comprendre qu’elle passait de femme inquiète à femme combative. Elle sentait que le Seigneur lui donnait un nom nouveau. Son identité en Christ s’approfondissait au fil des épreuves déchirantes auxquelles elle aurait préféré échapper.
Vision déformée
Il y a peu de temps, je discutais avec un ami qui a été traumatisé à cause de péchés commis contre lui. Les effets persistent, même si les actions ont eu lieu il y a longtemps. Il tentait avec peine de voir au-delà des mensonges qui l’ont amené à se croire indigne de recevoir la grâce de Dieu. Il se sentait impuissant et faible, ce qui l’a rendu vulnérable au point d’essayer de soulager sa douleur avec de mauvais moyens. Son identité en Jésus avait été déformée et affaiblie par ses expériences de vie négatives. Nous avons examiné de près la Parole de Dieu afin de percevoir sa véritable identité en Jésus.
Inchangé
Les influences ne sont pas toutes les mêmes. Un morceau de charbon et un diamant diffèrent largement en ce qui concerne leur composition et leur valeur, même si les deux contiennent du carbone. Les résidus noirs du charbon laissent une marque sur tout ce qu’ils touchent. Le diamant, bien que plus dur et plus coûteux, ne transfère pas son éclat. Transportez un sac de charbon ou un sac de diamants et vous constaterez facilement qu’il n’y en a qu’un seul qui influence par sa proximité.
Faire mourir et revêtir
Bien que ce soit mon travail d’être acteur, j’ai donné ma vie à Dieu. Je suis très à l’aise et ferme à ce sujet, mais je dois quand même faire partie de cette émission de télévision. C’est la comédie la plus populaire du petit écran, mais ses thèmes sont très déplacés. Je dois être cette personne que je ne suis pas.
Pas différent ?
S’étant fait escroquer une importante somme d’argent par un partenaire d’entreprise qui prétendait être diacre d’une Église, mon ami a éprouvé un désenchantement et une colère profonde. Il m’a dit : « Comment un chrétien peut-il faire ce genre de chose ? Je lui faisais confiance. Maintenant, je sais qu’il n’est pas différent d’un non-croyant ! »
Bracelet d'identification
En 2010, près de 10,8 millions de bébés sont nés chaque mois, ce qui signifie que 362 000 bébés sont nés chaque jour et 4 bébés chaque seconde. Alors, si le futur roi du monde était né aujourd’hui, comment sauriez-vous où trouver ce monarque nouveau-né parmi les milliers d’autres petits trésors ? Heureusement que dans la plupart des hôpitaux on identifie les bébés à l’aide d’un bracelet.
Qui es-tu ?
Qui es-tu ? a chanté en hurlant Roger Daltrey, le chanteur du groupe The Who. En 1978, cette chanson a fait un tube, probablement parce que les gens s’y identifiaient très bien. Au fond, nous ne nous soucions pas de ce que nous sommes. La véritable question est qui nous sommes.
La vraie humanité (encore)
L’année dernière, au sommet international de Doha, capitale du Qatar, où se réunissaient des puissances de la planète, les dirigeants mondiaux ont lancé le projet Educate A Child (instruire un enfant). Le projet vise à nouer des relations entre les nations, à nous amener à reconnaître que nous partageons tous la même humanité et à intervenir pour ceux qui sont exposés au danger. Selon les initiateurs du projet, subventionner la formation des enfants nous mènera à un monde plus pacifique.
Identité véritable
L’année dernière, Peter Chiarelli, un général quatre étoiles et le deuxième officier le plus haut gradé de l’armée américaine, assistait à un souper à Washington, DC. Valerie Jarret, conseillère à la présidence, était assise à une table lorsque Chiarelli est passé derrière elle. Il portait un uniforme dont le pantalon, arborant une rayure sur le côté, était semblable à ceux du personnel de service. N’ayant aperçu que ses pantalons avec la rayure, Valerie a demandé à Chiarelli de lui apporter à boire. Sans tarder, le général a pris en note sa commande et est revenu avec son verre. S’étant aperçue de son erreur, elle était morte de honte, mais Chiarelli en a fait peu de cas. Il l’a même invitée à un souper chez lui avec sa famille.
L'un devant l'autre
Avant de me marier avec Miska, j’avais le sentiment que je devais répondre oui à cette question : Pourrais-je vivre sans elle ? Mes intentions étaient romantiques et chevaleresques, mais ma question était mal orientée. J’ai réalisé qu’il n’existe probablement personne sans qui je ne peux vivre. Avec le temps, je me suis trouvé une meilleure question à laquelle répondre : Est-ce que je veux vivre sans Miska ?