Toutes sortes de dons
Récemment, j’ai dû intervenir à plusieurs reprises pour séparer mes fils qui étaient en colère l’un contre l’autre. Dans ces cas-là, les conséquences sont inévitables : ils perdent leur privilège de passer du temps avec leurs amis, ils n’obtiennent pas leur argent de poche, etc.
Nos besoins
Avec son blouson usagé barbouillé de graffitis et son jean vieux de quinze ans, on peut dire que mon fils Seth est un « esprit libre ». Dans la jeune vingtaine, il se démarque par son style éclectique, mais aussi par son éthique du travail incroyable et son grand coeur.
Jalousie et générosité
Thomas J. DeLong, un professeur de la Harvard Business School a remarqué une tendance inquiétante parmi ses étudiants et collègues : l’obsession de la comparaison. Il a écrit : « Les chefs d’entreprise, les analystes de Wall Street, les médecins et autres professionnels sont obsédés par la comparaison de leurs réussites avec celles des autres [...] J’ai interviewé des centaines de professionnels ayant un grand besoin d’accomplissement au sujet de ce phénomène et je me suis rendu compte que la comparaison est devenue presque une épidémie. C’est mauvais pour les individus et pour les entreprises [et cela diminue la satisfaction]. » (Traduction libre) C’est particulièrement mauvais pour les croyants en Jésus.
Riche en bonnes oeuvres
Une audition pour une compétition télévisuelle de chant a attiré mon attention. Un jeune homme nommé Anderson a épaté les juges lorsqu’il a interprété sa composition My Best Friend (Mon meilleur ami). Il s’accompagnait lui-même à la guitare, un instrument qu’il avait appris à jouer seulement un an plus tôt.
Ce dont nous avons besoin
Dan Price a annoncé en avril 2015 qu’il couperait son salaire de directeur général d’environ 90 %, passant de 1 000 000 $ à 70 000 $ par année afin de pouvoir augmenter celui de sa main d’oeuvre (approximativement 120 employés). Price a suggéré que d’ici 2017, tous ceux qui travailleraient pour lui gagneraient au moins 70 000 $ par année, le même salaire que lui. Price a fait cela parce qu’il voulait que ses employés puissent se procurer tout ce dont ils avaient besoin. La nouvelle de cette générosité s’est répandue comme une traînée de poudre, puisque cet acte est remarquable et inhabituel au sein d’une culture d’entreprise.
Le don du don
Un certain pasteur a donné vie à l’expression « Il te donnerait sa chemise » en lançant ce défi à son Église : « Qu’adviendrait‑il si vous donniez le manteau que vous portez à une personne démunie ? » Puis il a enlevé son manteau et l’a déposé à l’avant de l’église. Des dizaines d’autres l’ont imité. Or, cela se passait en hiver, si bien que leur retour à la maison s’est avéré moins confortable ce jour‑là. Par contre, pour des dizaines de personnes démunies, la saison s’est un peu réchauffée.
Ne manquant de rien
Imaginez partir en voyage sans bagages. Pas même le strict minimum. Aucun vêtement de rechange. Ni argent ni cartes de crédit. Tout cela semblerait aussi imprudent que terrifiant, n’est‑ce pas ?
L’hospitalité
En 2011, des biologistes de la vie aquatique venus des quatre coins du globe ont concentré leur attention sur un groupe de cachalots dans l’océan Atlantique Nord ; ces derniers avaient adopté un dauphin à gros nez immature. Jens Krause, un écologiste allemand qui étudie le comportement animal, a dit à une source de nouvelles que l’on n’avait jamais observé les cachalots se mêler ainsi à d’autres espèces. Le jeune dauphin souffrait apparemment d’une malformation de la colonne vertébrale et ne pouvait pas nager assez rapidement pour suivre les autres dauphins. Au grand étonnement de tous, les cachalots ont accueilli le dauphin handicapé parmi leur groupe.
Des gestes simples
La réconciliation. Dieu souhaite que les relations soient restaurées entre les cultures, les races et les classes sociales diverses. Il est essentiel d’y travailler, mais parfois la tâche semble si énorme que nous ignorons par où commencer.
Mes frères et soeurs
Il y a plusieurs années, lorsque l’économie du sud de la Californie a décliné, le pasteur Bob Johnson y a vu non seulement des difficultés, mais également des opportunités. Par conséquent, il a sollicité une rencontre avec le maire de sa ville, à qui il a demandé : « Que peut faire notre Église pour vous venir en aide ? » Le maire en est resté ébahi. Généralement, les gens l’abordaient pour lui demander son aide. Et voilà qu’un ministre du culte lui offrait les services de toute une communauté chrétienne.