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Chris Baker est un tatoueur qui transforme des symboles de douleur et d’esclavage en oeuvres d’art. Nombre de ses clients sont d’anciens membres de gangs et d’anciennes victimes de la traite des personnes qui ont été marqués de noms, de symboles ou de codes d’identification. Chris les transforme en tatouant par‑dessus de magnifiques nouvelles images.

Rejet et succès

Mes collègues et moi étions en train de dîner avec une auteure lorsqu’elle nous a posé cette question : « Qu’aimez-vous le moins de votre boulot ? » Je travaille dans le milieu de l’édition depuis plusieurs années, et la réponse m’est venue instantanément : « Je n’aime pas anéantir le rêve des gens, ai-je affirmé. Je n’aime pas leur dire que leur manuscrit "ne correspond pas à nos besoins." »

Tout simplement super !

La conférencière nous encourageait à privilégier une approche positive en tout. Et je suis d’accord avec elle, en grande partie.

Au commencement

Dans La mélodie du bonheur, Soeur Maria chante : « Il n’est qu’une bonne méthode, c’est prendre le bon départ, quand on lit nous partons de A-B-C, pour chanter commençons par DO-RÉ-MI. » Par où commencer pour comprendre le but de la vie ? La Genèse, le livre des commencements, nous fournit la réponse.

Être dérangé

Durant mes années à l’école secondaire, j’ai joué au football, au baseball et au golf. J’ai suivi plusieurs programmes d’exercice au fil des années et maintenant, je cours cinq ou six jours par semaine. Par contre, personne ne m’a jamais dit que j’étais souple. Pendant des années, mes instructeurs m’ont encouragé à étirer mes muscles et à les travailler afin de les rendre plus flexibles. J’étais d’accord avec l’idée, mais je n’ai jamais voulu endurer la douleur et les désagréments qui viennent avec la mise en pratique de ce conseil. S’étirer, ça fait mal. Mais avec les années, j’ai décidé de tenir compte de la sagesse de mes instructeurs. Je m’accroche à l’espoir qu’à la fin, le travail en aura valu la peine. Mais pour l’instant, ces exercices d’étirements sont vraiment douloureux.

Une nouvelle création

Au début de ma vie professionnelle, j’avais un collègue qui semblait prendre plaisir à utiliser le nom de Dieu comme un blasphème. Il raillait sans pitié les chrétiens qui étaient jeunes dans la foi ou qui tentaient de lui parler de Jésus. Le jour où j’ai quitté ce travail pour déménager et intégrer un nouveau lieu de travail, je me souviens d’avoir pensé que cet homme ne deviendrait jamais un disciple de Christ.

Refléter la gloire de Dieu

Li Tang, artiste chinois du XIIe siècle, peignait des paysages égayés de gens, d’oiseaux et de buffles. En raison du génie avec lequel il produisait de délicats dessins sur soie, Li Tang est considéré comme un maître de l’art du paysage chinois. Or, depuis des siècles, des artistes du monde entier dépeignent ce qu’ils voient dans la galerie d’art de la création de Dieu : « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’oeuvre de ses mains » (Ps 19.2). La Bible nous dit que notre créativité humaine nous vient du fait d’avoir été créés à l’image du Maître Créateur (Ge 1.27).

Émerveillé par les lucioles

Liam et Elias, âgés de cinq et sept ans, étaient impatients de voir le spectacle de feux d’artifice. Tout enthousiastes, ils dansaient dans le champ en s’émerveillant devant les petits spectacles pyrotechniques des célébrants qui se trouvaient près d’eux. Les bombes cerise, cierges magiques, chandelles romaines et feux d’artifice rompaient la semi-obscurité.

Levez les yeux !

Dans un parc situé à proximité de chez moi, il y a un sentier que j’aime parcourir. Sur une section de ce sentier, on a une vue panoramique des rochers de grès rouge du Garden of the Gods (Jardin des dieux), avec le majestueux Pikes Peak de 4302 m de hauteur en arrière‑plan. Il m’arrive malgré tout de parcourir de temps à autre cette section avec l’esprit ailleurs, accaparé par un problème, et les yeux rivés sur le large sentier plat. S’il n’y a personne autour, il se peut que je m’arrête et que je me dise à voix haute : « David, lève les yeux ! »

Un sentiment d’insignifiance ?

Nous comptons au nombre des sept milliards de personnes qui coexistent sur une planète minuscule située dans une petite partie d’un système solaire plutôt insignifiant. Notre Terre n’est, en réalité, qu’un infime point bleu parmi les millions de corps célestes que Dieu a créés. Sur la toile gigantesque que constitue notre univers, notre Terre magnifique et majestueuse semble n’être qu’une particule de poussière microscopique.