Notre tâche prioritaire
Lorsqu’une érudite britannique a appelé les adeptes de toute religion à travailler ensemble à l’unité mondiale, les gens de partout l’ont applaudie. En faisant remarquer que les religions principales avaient une foi commune dans la Règle d’or, elle a suggéré ceci : « La tâche prioritaire de notre époque consiste à bâtir une société planétaire dans laquelle les gens de toutes convictions pourront vivre ensemble en paix et en harmonie. »
Apprendre à aimer
L’amour fait plus que « tourner le monde », comme le dit une vieille chanson. Il rend aussi immensément vulnérable. Il se peut que de temps à autre on se dise : Pourquoi aimer, quand les autres ne s’en montrent pas reconnaissants ? ou : Pourquoi aimer et risquer ainsi de me faire blesser ? Paul nous en donne ceci pour raison pure et simple : « Maintenant donc ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance et l’amour ; mais la plus grande de ces choses, c’est l’amour. Recherchez l’amour » (1 CO 13.13 – 14.1).
Une vraie communication
En marchant dans mon quartier du nord de Londres, j’entends des bribes de conversation dans de nombreuses langues : polonais, japonais, hindi, serbo‑croate et italien, pour ne nommer que celles‑là. Cette diversité donne un avant‑goût du ciel, même si je n’en comprends pas un traître mot. Quand j’entends différents accents et sons en entrant dans le café russe ou le marché polonais, il m’arrive parfois de réfléchir au côté merveilleux du jour de la Pentecôte, lorsque des gens de nombreuses nations ont pu comprendre ce que les disciples de Christ disaient.
Ce qui compte vraiment
Deux hommes se sont assis ensemble pour passer en revue leur voyage d’affaires et son issue. L’un d’eux trouvait que le voyage en avait valu la peine, car leurs rencontres d’affaires avaient eu pour effet de créer de nouvelles relations importantes. L’autre toutefois a déclaré : « C’est bien beau, les relations, mais c’est de vendre qui compte le plus. » De toute évidence, ils avaient des agendas très différents l’un de l’autre.
Quelqu’un vous aime
Chaque année, il se dépense environ 18,6 milliards de dollars le jour de la Saint-Valentin (dont 1,6 milliard en bonbons et 4,4 milliards en bijoux) ! Notre époque est à ce point caractérisée par la consommation que nous pourrions en venir à croire que l’amour romantique ne se manifeste que par des cadeaux. Nous pourrions même penser que le meilleur moyen pour une personne de nous prouver qu’elle se soucie vraiment de nous, c’est qu’elle nous achète ce que nous désirons (et mieux encore, une chose très chère !)
Une unité différente
Quelques Églises de ma ville se sont réunies pour faire le ménage du quartier. Ce projet en commun a si bien fonctionné que ces Églises organisent maintenant des pique-niques ensemble et que leurs chorales et leurs groupes de louanges se visitent à tour de rôle. Bien sûr, elles ne sont pas d’accord sur tout, mais Jésus les unit.
Ambassadeur de l’amour
Dans mon travail d’aumônier, il m’arrive à l’occasion de me faire demander si je serais prêt à apporter une aide spirituelle supplémentaire. Or, bien que je sois heureux de passer du temps avec quiconque me demande de l’aide, je constate souvent que j’en apprends alors plus que j’en enseigne. Cela s’est avéré plus particulièrement lorsqu’un nouveau chrétien cruellement franc m’a dit avec résignation : « Je ne crois pas que ce soit une bonne idée que je lise la Bible. Plus j’en lis sur ce que Dieu attend de moi, plus je juge ceux qui ne font pas ce qu’elle dit. »
Amour et sainteté
La Bible est remplie de contrastes. Deutéronome 4.24 nous dit que notre Dieu saint « est un feu dévorant », mais quelques chapitres plus loin, on nous dit que Dieu « garde […] sa miséricorde […] envers ceux qui l’aiment » (7.9). Jean a aussi écrit que « Dieu est amour » (1 JN 4.8). Le feu brûle et il est dangereux. L’amour réconforte et protège. Comment Dieu peut-il donc être à la fois saint et amour ?
Le véritable amour
Un homme et une femme que je connais se sont rencontrés, sont tombés amoureux et, avec le temps, ont réalisé qu’ils désiraient s’épouser. Mais il y avait un hic. Tous deux avaient déjà été mariés et avaient eu des enfants de leur union précédente. Ils avaient connu des divorces amers et les enfants en souffraient encore. Comment leurs enfants allaient-ils être affectés par ce nouveau mariage ? Est-ce que l’intégration des deux familles allait se faire sans problème ? Cela en valait-il la peine ?
Qu’y a-t-il à aimer ?
Le mentor spirituel d’un jeune homme découragé lui a demandé ceci : « Qu’est-ce que tu aimes à ton sujet ? » Le jeune homme a baissé les yeux et a regardé ses pieds en silence. Après quelques minutes, il a mentionné certaines choses qu’il avait faites par le passé. Avec patience, le mentor lui a fait détourner le regard de son comportement, afin plutôt de le porter sur la personne qu’il était.