La sagesse d’Internet
Si vous allez au bas de bon nombre de sites Web consacrés aux actualités, vous y trouverez l’option « Commentaires », où les lecteurs peuvent faire des remarques. Même les sites les plus réputés reçoivent leur lot de diatribes, d’insultes mal informées et d’injures.
Au café
Un pasteur voulait supprimer les traditions formelles de son Église et veut l’amener à prendre une nouvelle direction. Il se disait que c’était les formalités en vigueur dans la congrégation qui empêchaient la communauté locale d’entrer dans l’église. Il voulait donc petit à petit les aider à changer.
Un échange
Assise sur son patio, Jen se posait une question inquiétante : Devait‑elle écrire un livre ? Elle se plaisait à tenir un blogue et à parler en public, mais elle sentait que Dieu désirait peut‑être qu’elle en fasse plus. « J’ai demandé à Dieu s’il voulait que je le fasse », a‑t‑elle affirmé. Elle a discuté avec lui et a sollicité sa direction.
La marche lente
Caleb, cinq ans, souffrait d’un trouble grave du système nerveux, dont une paralysie temporaire. Angoissés, ses parents ont prié et attendu. Peu à peu, Caleb a commencé à se rétablir. Des mois plus tard, quand les médecins ont autorisé son retour en classe, il marchait d’un pas lent et incertain.
Les emplettes avec Liam
Mon fils aime cueillir des pissenlits pour sa mère. À ce jour, elle ne s’est pas encore lassée de les recevoir. Les mauvaises herbes pour un homme sont des fleurs pour un petit garçon. Un jour, j’ai amené Liam faire des emplettes. Tandis que nous passions à toute allure devant le rayon des fleurs, il a montré du doigt avec enthousiasme un bouquet de tulipes jaunes. « Papa, tu devrais prendre ces pissenlits pour maman ! » m’a‑t‑il lancé. Son conseil, qui m’a bien fait rire, a aussi fait l’objet d’un très bon affichage sur la page Facebook de sa mère. (Soit dit en passant, j’ai acheté les tulipes.)
Du nouveau
Ce n’étaient que des bouts de bois, mais Charles Hooper a vu beaucoup plus que cela en eux. En récupérant du vieux bois d’oeuvre d’un séchoir à maïs abandonné depuis longtemps, il a esquissé quelques ébauches simples. Puis il a abattu quelques chênes et peupliers de sa propriété boisée, qu’il a équarris péniblement à l’aide de la hache de son grand‑père. Il s’est ensuite mis à assembler, pièce par pièce, le vieux bois avec le nouveau.
Hors saison
Je me rappelle un certain printemps aux États‑Unis où les températures anormalement douces avaient battu des records et suscité la bonne humeur. Mais ces températures de 30 degrés viennent avec un prix. Peu de temps après, une vague de froid avait gelé toutes les fleurs. Les bourgeons en fleur s’étaient flétris. Les fermes fruitières avaient été dévastées. Le prix des aliments avait augmenté de façon substantielle.
Bons ou mauvais sacrifices
Jess aime l’argent. Âgée d’à peine quatre ans et demi, elle sait déjà comment soutirer de la petite monnaie à ses tantes et oncles. Son air mignon et son intelligence forment une combinaison lucrative. Naturellement, cela préoccupe ses parents. « Ne demande pas d’argent », lui disent-ils. « Tu devrais le gagner en faisant des petits travaux. »
Un bon conflit
Plusieurs chrétiens sont passés maîtres dans l’art d’éviter les conflits. Peut-être que nous confondons « Heureux ceux qui procurent la paix » (Mt 5.9) avec « heureux ceux qui évitent les situations désagréables ». Mais les conflits et les confrontations ont tissé leur chemin à travers l’étoffe de la Bible.
Qui es-tu ?
Qui es-tu ? a chanté en hurlant Roger Daltrey, le chanteur du groupe The Who. En 1978, cette chanson a fait un tube, probablement parce que les gens s’y identifiaient très bien. Au fond, nous ne nous soucions pas de ce que nous sommes. La véritable question est qui nous sommes.