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Articles by Roxanne Robbins

Se révéler par la patience

Mon fils de neuf ans et moi étions à table avec des amis dans un restaurant en Ouganda, quand nous avons demandé de nous resservir du thé glacé. J’ai vu que notre serveur était occupé avec d’autres clients, et comme le restaurant appartient à des amis et que son ambiance est détendue, j’ai pris nos verres et je me suis levée pour me rendre à la cuisine. C’est alors que mon fils, Wasswa, m’a dit doucement : « Maman, ce n’est pas grave si cela leur prend un peu de temps pour nous apporter nos thés glacés. S’il te plaît, sois patiente. »

Pris au piège

À une certaine période, alors que j’avais une étroite relation avec Jésus, la vie est devenue extrêmement difficile. J’avais dit à un ami que je me sentais comme une souris, secouée de part et d’autre dans les pattes d’un chat jouant avec sa victime avant d’y porter le coup de grâce.

Actions et aventures

Lors d’une récente visite chez moi aux États-Unis, j’ai fait pour la première fois l’essai du D-BOX – un siège de cinéma qui nous propulse d’avant en arrière, de gauche à droite et de haut en bas, en synchronisation avec l’action à l’écran.

Commencer par la prière

Le 21 novembre 1835, George Müller a écrit : « La pensée d’un orphelinat n’a cessé d’occuper mon coeur aujourd’hui. Le moment n’est-il pas venu de faire autre chose que d’y penser ; et d’agir ? J’ai instamment prié Dieu de me montrer sa volonté. »

À découvert

Une de mes amies a épousé le dirigeant principal d’un pays d’Afrique qui connaît énormément de persécutions depuis plusieurs décennies. Alors que son époux servait de catalyseur pour veiller à ce que la population soit libérée du régime oppressif, mon amie et ses trois enfants sont venus passer une année avec moi en Ouganda.

Le véritable contentement

Combien de fois avons-nous succombé au péché, que ce soit par une dépendance, la convoitise, des commérages, une colère déchaînée, la paresse – et j’en passe – dans le seul but d’étouffer notre souffrance ? Il est tellement facile de se détourner de la volonté de Dieu lorsque nous ressentons le vide, la déception et la douleur.

L'isolement

Le jour de l’anniversaire de mes cinq années de service en Ouganda, épuisée et désespérée, j’ai envoyé un courriel à mes amis et mes partenaires dans le ministère sollicitant leurs prières. Lorsqu’ils ont été mis au courant de mes luttes, une petite armée de frères et soeurs en Christ a prié pour moi et m’a aidée à traverser une période difficile.

Faire de bonnes actions

Le quartier ougandais où je vis était relativement calme jusqu’à ce qu’un homme d’affaires vienne troubler la paix en ouvrant un bar extérieur en face de chez moi. La musique forte joue maintenant toute la nuit, le propriétaire du bar refusant de prêter attention aux résidents qu’il importune. Il nous dit être un homme bon, et puisqu’il donne de l’argent aux pauvres, les gens ne devraient pas se plaindre.

Le vrai patron

Alors qu’il se préparait à aller au lit dans notre maison en Ouganda, mon fils de neuf ans Wasswa me dit : « Maman, l’homme qui se bat est le patron. L’homme qui ne se bat pas est le vrai patron ! » Sept mois plus tard, en réponse aux attaques contre les missions diplomatiques américaines au Moyen-Orient, la secrétaire d’État américaine Hillary Clinton prononce des paroles qui expriment les convictions de mon fils.

Beaucoup à la fois

Les quatre premières années où mon fils adopté en Ouganda était avec moi, je n’éprouvais aucune crainte concernant l’avenir et mes capacités à pourvoir à ses besoins. Toutefois, en ayant récemment eu de la difficulté à payer mes comptes et à survivre avec le petit salaire qui m’est offert pour mon ministère, j’ai commencé à paniquer. Mes désirs se portaient sur une plus grande sécurité financière plutôt que sur l’assurance que Dieu pourvoirait jour après jour.