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Articles by Marvin Williams

Deux maisons

En 2010, des chercheurs ont simulé un ouragan de catégorie 3 pour tester la solidité de deux maisons – l’une construite selon les normes de constructions usuelles de la région, et l’autre munie d’un toit et de planchers renforcés. Pendant plus de 10 minutes, les chercheurs ont créé des rafales de plus de 175 km/h à l’aide de ventilateurs géants.

Contrer l’entropie

Dans l’une de ses prédications, John Ortberg parle d’une entrevue que lui a accordée Max De Pree, ancien PDG de Herman Miller, une entreprise de mobilier de bureau de renom. « On prie souvent Max de parler de leadership et, lorsque quelqu’un lui a demandé quelle avait été la chose la plus difficile à laquelle il avait dû travailler, il a répondu : "Contrer l’entropie." » Bien avant que Max De Pree reconnaisse en lui-même cette faiblesse, Salomon a donné à ceux qui l’écoutaient des conseils afin de leur permettre de vaincre leur propre entropie.

La Source de vie

En 2012, grâce au rappeur Drake et au véhicule suralimenté que sont les médias sociaux, l’acronyme « YOLO » est devenu populaire. Il signifie : « You Only Live Once » (On ne vit qu’une seule fois). Bien que YOLO ait invité les gens à repousser les limites, on s’en est servi pour justifier des décisions irresponsables. La réponse à la conduite en état d’ébriété, aux stationnements illégaux, au manque de respect envers ses parents ou au séchage de cours était simplement YOLO. À la base, cela signifie que ma vie m’appartient et je la vis comme je l’entends.

La jarre à biscuits

La mère d’un petit garçon cuisine des petits gâteaux qu’elle dépose dans une jarre à biscuits et défend à son fils d’en prendre avant que le repas soit terminé. Peu de temps après, elle entend qu’on soulève le couvercle et s’enquiert : « Fiston, que fais-tu ? » Une petite voix lui répond : « Ma main est dans la jarre à biscuits, en train de résister à la tentation. » Il est drôle de penser à une personne qui essaie de résister à la tentation en ayant une « main dans la jarre à biscuits ».

S’attirer des ennuis

Un jour, Adrionna Harris est témoin dans sa classe de quelque chose de troublant – un de ses jeunes camarades de classe est en train de se couper avec un petit rasoir. Comme la situation lui semble grave, elle fait ce qu’elle croit être la bonne chose – elle intervient en lui prenant le rasoir des mains et en le jetant. Mais au lieu de lui valoir des éloges, son acte de compassion la fait écoper d’une suspension de dix jours. Lorsqu’on lui demande si elle ferait de nouveau le même geste, Adrionna répond : « Même si je me suis attiré des ennuis, cela n’a pas eu d’importance puisque je l’aidais […] je le ferais de nouveau même si je devais être suspendue. »

Les sources du salut

Si l’on fore des trous profonds dans le sol, c’est normalement pour en extraire de la pierre, accéder à du pétrole ou trouver de l’eau.

Sauvé grâce à une boussole

Durant la Seconde Guerre mondiale, Waldemar Semenov (un marchand marin retraité) servait comme ingénieur junior à bord du SS Alcoa Guide lorsqu’un sous-marin allemand a fait surface et a ouvert le feu sur le navire. Le navire marchand américain a été touché, a pris feu et s’est mis à couler. À 500 km au large de la côte de la Caroline du Nord, Semenov et les autres marins ont mis les canots de sauvetage à la mer. Heureusement, ceux-ci étaient équipés d’une boussole. Semenov et son équipe se sont servis de la boussole pour naviguer vers l’ouest par le nord-ouest vers les voies maritimes. Après 3 jours, un avion de patrouille a repéré le canot de sauvetage de Semenov et le lendemain, le USS Broome est venu au secours des hommes. Grâce à cette boussole, Semenov et 26 autres membres de l’équipage ont été sauvés.

Célébrons

Après avoir fait un but contre l’Allemagne durant la Coupe du monde de 2014, Asamoah Gyan, du Ghana, a exécuté un pas de danse en cadence avec ses coéquipiers. Quand Miroslav Klose, de l’Allemagne, a compté quelques minutes plus tard, il a fait un salto avant. « Les expressions de joie au soccer sont intéressantes parce qu’elles nous révèlent la personnalité, les valeurs et les passions des joueurs », dit Clint Mathis, qui a compté deux buts pour l’équipe américaine lors de la Coupe du monde de 2002.

Des ancres d’espoir

Ce qui nous vient à l’esprit lorsque nous songeons à la retraite c’est de visiter des îles exotiques, de s’étendre dans un hamac et de profiter de longues journées de loisirs. Eh bien, ce n’est pas l’image de la retraite qu’Estella Pyfrom a en tête. Cette enseignante retraitée et fille d’ouvriers agricoles saisonniers a utilisé la totalité de son fond de retraite (900 000 $) pour servir les autres. Elle a acheté un autobus dans lequel elle a installé des ordinateurs et des bureaux, et elle roule dans le secteur où elle enseignait pour fournir un endroit où les enfants défavorisés peuvent faire leurs devoirs et en apprendre sur la technologie. Les étudiants en difficultés affluent vers ce qu’elle a baptisé « l’Autobus Brillant », et y trouvent de l’espoir.

Juste assez

Dans le film Un violon sur le toit, Tevye parle honnêtement à Dieu au sujet de son économie : « Ah ! Seigneur, vous faites beaucoup, beaucoup de pauvres gens ! Bien sûr, je sais qu’il n’y a aucune honte à être pauvre. Mais il n’y a aucune raison d’en être fier non plus. Et puis, qu’y aurait-il de si terrible si jamais j’avais une petite fortune ? [...] Dieu qui fit le ciel et les étoiles, est-ce que ça serait vraiment un drame de changer ton plan phénoménal et me faire riche ? » [sic]