Discerner le vrai du faux
Dans la pièce Othello de Shakespeare, le méchant s’appelle Iago. Il fait semblant d’être le meilleur ami et le conseiller d’Othello, mais en fait il conspire la perte de son ami. La pièce est montée de telle sorte qu’il est impossible, même pour l’auditoire, de comprendre la tromperie d’Iago avant la dernière scène. Il est convaincant du début à la fin, et si le comédien qui l’incarne joue bien son rôle, il réussira à stupéfaire le public lorsque sa véritable nature sera révélée. Le personnage camoufle bien sa tromperie par ses paroles et ses actions.
Tendre l’oreille à Dieu
Mon jeune fils se plaît à entendre ma voix, sauf quand je l’appelle par son nom d’une voix forte et dure, avant de lui demander : « Où es‑tu ? » En tel cas, je suis généralement en train de le chercher parce qu’il a mal agi et qu’il essaie d’échapper à sa punition. Or, je tiens à ce que mon fils écoute ma voix parce qu’il sait que je veux son bien et non lui causer du tort.
Les premiers témoins
Qui a été le premier groupe invité à aller voir l’enfant Jésus ? Qui ont été les premiers témoins du Christ ressuscité ?
Un amour exponentiel
Lorsque l’on a diagnostiqué la maladie de Lou‑Gehrig chez une femme de l’Église de Karen, les choses s’annonçaient mal pour elle. Cette maladie cruelle, qui s’attaque aux nerfs et aux muscles, conduit en définitive à la paralysie. Or, l’assureur de sa famille refusait de l’indemniser pour la faire soigner à domicile, et le mari de cette pauvre femme ne supportait pas l’idée de la mettre en maison de santé.
Vivant ou mort ?
Il y a peu de temps, j’ai appris que le cancer que je combats à répétition depuis douze ans est réapparu pour la cinquième fois. Ma femme et moi réfléchissons aux traitements envisageables et prions à ce sujet. Mon dernier traitement consistait en une greffe de moelle osseuse. Maintenant que nous avons épuisé tous les recours, mon docteur m’annonce que nous nous trouvons en « terrain inconnu ». Mon lymphome continue de menacer ma vie. C’est pourquoi je suis heureux d’avoir déjà été mort et d’avoir maintenant la vie en Jésus.
Selon toute apparence
Don est un Border‑Collie qui vit dans une ferme du South Lanarkshire, en Écosse. Avec Tom, son maître, il est sorti un matin évaluer quelques animaux. Ils se sont promenés ensemble à bord d’une camionnette utilitaire de ferme. À leur arrivée sur place, Tom est descendu du véhicule en oubliant de tirer le frein manuel. Avec Don sur le siège du conducteur, le véhicule s’est mis à descendre une pente en traversant deux voies de circulation avant de s’immobiliser en lieu sûr. Pour les automobilistes témoins de la scène, le chien semblait être sorti faire sa tournée matinale. En effet, les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être.
Ne combattez pas
Mon ami Cameron ne partageait pas mes croyances spirituelles. Il était ouvertement opposé au christianisme et à certains de ses principes moraux. Un jour, à mon ancien travail, il a tenu un séminaire sur la violence familiale et en a profité pour critiquer la Bible. Sa « corrélation » était illogique et inappropriée. Le livre qui dit que le mari « doit aimer sa femme comme son propre corps » et qui dit aux pères : « [N’irritez] pas vos enfants » n’approuve pas la violence au foyer (ÉP 5.28 ; 6.4).
Le cadeau parfait
Aux États‑Unis, les semaines qui suivent Noël sont les plus occupées de l’année en raison des retours de marchandises, car beaucoup de gens vont dans les magasins y troquer des cadeaux non voulus contre ce qu’ils désirent réellement. Pourtant, vous devez connaître quelques personnes qui semblent avoir le don de toujours offrir le cadeau parfait. Comment font‑ils pour savoir exactement ce qui a du prix aux yeux de l’autre ou ce qui convient à chaque occasion ? L’argent n’a rien à voir dans le succès d’un cadeau ; ce sont l’écoute et l’intérêt que nous portons à la personne qui nous permettent de découvrir ce qui lui plaira le plus.
Puis-je vous aider ?
Le très connu président de séminaire Haddon Robinson était allé rencontrer un riche donateur afin d’obtenir un don assez important (j’imagine qu’il allait servir à financer un projet ministériel). Robinson a demandé un montant précis et le donateur a répondu quelque chose comme : « Je m’étais préparé à vous donner beaucoup plus si vous me l’aviez demandé. »
Une vie de gratitude
Dans l’espoir de gagner en maturité spirituelle et en gratitude, Sue s’est fait ce qu’elle appelle un vase de gratitude vivante. Chaque soir, elle écrivait sur un bout de papier une chose dont elle était reconnaissante à Dieu et le déposait ensuite dans son vase. Certains jours, les louanges lui venaient facilement ; d’autres fois, elle avait du mal à trouver un seul sujet. À la fin de l’année, elle a relu tous les mots que contenait son vase, louant ainsi Dieu de nouveau pour tout ce qu’il avait fait. Il lui avait accordé de petites choses comme un magnifique coucher de soleil ou une soirée assez fraîche pour lui permettre d’aller marcher dans un parc, ainsi que de grandes choses comme la grâce de surmonter une situation difficile ou l’exaucement d’une prière.