Récemment, une vague de films portant sur Dieu ont obtenu un succès étonnant en salles. Cependant, les critiques ont été indubitablement mitigées.

Noé est l’un de ces films. Le scénariste-réalisateur est un athée qui a qualifié son projet de « film le moins biblique à avoir été conçu », entraînant ainsi de nombreux chrétiens à condamner cette production. D’autres ont plutôt réagi ainsi : « Un athée amène les gens à parler de Dieu. C’est génial ! »

Nous pourrions invoquer plusieurs raisons pour lesquelles Jésus s’est révélé comme étant la Parole plutôt que la vidéo. Il aurait pu visiter notre planète durant les années 1940 ou faire en sorte que les Romains inventent la pellicule photographique avant le Ier siècle, mais il ne l’a pas fait.

Lorsque Jésus s’est fait chair, il a reçu un accueil mitigé. Les pécheurs l’aimaient, mais pas les chefs religieux. Ils détestaient la façon dont il ne respectait pas leurs limites bien définies : il côtoyait les intouchables, redéfinissait le sabbat et se déclarait égal à Dieu.

Jésus ne se préoccupait cependant pas de leurs évaluations. Au contraire, il a dit aux chefs religieux : « Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle : ce sont elles qui rendent témoignage de moi » (JN 5.39). Puis, il a ajouté : « Je ne tire pas ma gloire des hommes » (V. 41).

Jésus continue de susciter des critiques mitigées. Quoi qu’il en soit, Dieu fait partie des discussions de notre culture populaire, ce qui nous permet d’entamer un dialogue sain avec nos connaissances. Comment ? Nous n’avons pas à critiquer des films, ni à gagner des débats. Nous n’avons qu’à raconter comment notre histoire croise celle de Jésus.

La réplique suivante, tirée d’un autre film récent portant sur la foi, God’s Not Dead (Dieu n’est pas mort), est à propos : « Ne fais pas le malin. Contente-toi de dire la vérité. » Il se peut que vous receviez un accueil mitigé, mais vous serez en bonne compagnie !