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De la tristesse à la joie

La grossesse de Kelly présentait des complications, et les médecins s’en sont inquiétés. Au cours de son long accouchement, ils ont décidé de l’emmener à toute allure subir une césarienne. Malgré cette épreuve, Kelly a vite oublié ses douleurs lorsqu’elle a tenu son fils nouveau-né dans ses bras.

Que voulons‑nous ?

Je suis passé de la voiture à cheval à l’homme sur la Lune », a dit un homme âgé à sa petite-fille, qui me l’a rapporté. Puis le grand‑père a ajouté d’un air songeur : « Je n’aurais jamais cru que ce serait si court. »

Un rire dans l’obscurité

Dans un article du Washington Post intitulé « Tech Titans’ Latest Project : Defy Death » (Le tout récent projet de géants de la technologie : défier la mort), Ariana Cha a décrit les efforts que fournissent Peter Thiele et d’autres manitous de la technologie dans le but de prolonger indéfiniment la vie. Or, ils sont prêts à y investir des milliards de dollars.

Quelle est votre valeur ?

On raconte qu’en l’an 75 av. J.‑C. des pirates auraient enlevé un jeune noble de Rome nommé Jules César pour qui ils auraient exigé une rançon de 20 talents d’argent (qui représenterait aujourd’hui une somme de 600 000 $). On dit que César aurait déclaré dans un éclat de rire qu’ils ignoraient manifestement qui il était. Il aurait alors insisté pour que ses ravisseurs augmentent leur rançon à 50 talents ! Pourquoi ? Parce qu’il estimait sa valeur être bien supérieure à 20 talents.

Un sinistre rappel

Qu’est-ce que tu lis ? » m’a demandé une amie. « Un conte de fées », lui ai-je répondu. « Oh ! J’aime les contes de fées ! » a-t-elle dit en se penchant pour voir le titre de l’histoire. « Beurk ! Quel titre sinistre ! » J’étais en train de lire Le cercueil de verre des frères Grimm. Apparemment, le mot cercueil lui a déplu.

Quand les bois s’éveillent

L’espoir de voir arriver le printemps aide les habitants du Michigan à traverser leurs hivers froids et neigeux. Or, cet espoir est récompensé au mois de mai. La transformation qui s’opère alors est remarquable. Les branches qui semblent sans vie le 1er mai saluent les passants à la fin du mois dans leurs parures verdoyantes. Même si ce changement est imperceptible au jour le jour, à la fin mai, les arbres de mon jardin sont passés du gris au vert.

Équilibre

Dans son livre Surprised by Hope (Surpris par l’espoir), N. T. Wright fait remarquer que nous passons quarante jours à observer le carême et un seul jour à célébrer Pâques, et en relève la disparité. Il suggère ceci : « Si le carême favorise le renoncement à certaines choses, Pâques devrait nous motiver à entreprendre des choses. »

Le départ pascal

Il y a un détail de l’histoire pascale qui m’a toujours intrigué. Pourquoi Jésus a-t-il conservé les cicatrices de sa crucifixion ? Il aurait sans doute pu avoir n’importe quel corps ressuscité qu’il voulait ; pourtant, il en a choisi un identifiable surtout par des cicatrices visibles et touchables.

Une nécrologie en trois mots

Avant de mourir, Stig Kernell a fait savoir aux gens du funérarium de la place qu’il ne souhaitait pas avoir de nécrologie traditionnelle. Ce Suédois leur a plutôt donné pour directive de ne publier que trois mots pour souligner son décès : « Je suis mort. » Lorsque M. Kernell est décédé, à l’âge de 92 ans, ce sont précisément ces mots qui ont été publiés. Or, en raison de son audace et de sa simplicité, cette nécrologie inhabituelle a capté l’attention des journaux du monde entier. Par un étrange coup du sort, la curiosité qu’a suscitée cet homme par sa nécrologie en trois mots a fini par attirer sur sa mort davantage d’attention, jusqu’à celle de l’opinion internationale, qu’il ne l’avait voulu.

L’aiguillon de la mort

Vers la fin du film Forrest Gump, Forrest se tient seul devant la tombe de sa bien-aimée Jenny : « Tu es morte un samedi matin. Et je t’ai fait mettre là, sous notre arbre […] Maman disait toujours que mourir faisait partie de la vie. J’aurais tant aimé que non. » (Traduction libre)