La joie durant le voyage
L’annonce d’une balade en voiture en famille est le moyen le plus rapide pour que mes deux jumeaux de six ans soient prêts et assis dans la voiture. Mais alors que nous descendons notre rue, que nous tournons le coin et que nous nous engageons sur l’autoroute, le refrain du voyage standard se fait entendre du siège arrière par de petites voix : « On arrive quand ? » C’est une question qui est souvent répétée, et bien que les parents s’en lassent rapidement, les enfants n’envisagent jamais d’abandonner le voyage et de rentrer à la maison. Ils peuvent devenir impatients, mais ils veulent poursuivre jusqu’à destination.
Une foi qui s’amenuise
En Indonésie, des scientifiques ont découvert les restes d’un ancien peuple dont les membres, au fil des ans, ont rétréci dû à ce qu’ils appellent le « nanisme insulaire ». Les chercheurs les ont surnommés hobbit. Bien que les hobbits soient des créatures fictives, nous sommes naturellement curieux de découvrir ce qui a causé le rétrécissement de ces êtres humains.
Nés privilégiés
Je remercie Dieu d’être née privilégiée. Non, je ne dis pas que je suis née avec une cuillère d’argent dans la bouche. Mon père n’est pas un riche magnat, et je ne vis pas dans un manoir luxueux. En fait, lorsque j’étais jeune, mon père a dû travailler très fort pour fournir un confort raisonnable à ma famille. Pourtant, je peux dire avec assurance que je suis née dans le luxe selon ce qui est écrit dans 1 Pierre 1.3‑6.
Veiller
Ayant grandi au sein d’une confession non liturgique, je me souviens de notre première célébration de Noël avec une couronne de l’avent. Mon père, qui était pasteur, avait changé pour une association confessionnelle qui mettait plus d’accent sur le calendrier de l’Église. Étant adolescente, à la suite de la transition, j’ai remarqué quelques différences et j’ai acquis une véritable appréciation pour les cérémonies auxquelles, auparavant, je n’avais assisté qu’à l’occasion. Alors que j’aimais le symbolisme derrière l’allumage des bougies, la cérémonie dans son ensemble a éveillé en moi une anticipation spirituelle dont les cadeaux sous l’arbre de Noël n’avaient pas réussi à m’émouvoir jusque-là.
Quand les murs tombent
Chaque lundi soir vers 20 h 30, les murs de ma maison se mettent à vibrer. Loin des secousses des tremblements de terre, ma maison vibre plutôt sous l’effet des louanges de mon mari et de jeunes hommes de son groupe. Assise à l’étage, j’aime écouter leurs voix graves résonner dans toute la maison. C’est la mélodie de la puissance.
Éprouvés par le feu
En novembre 2011, le jour du mariage de Mike et Nancy, le bâtiment dans lequel ils étaient censés se marier a été consumé par les flammes. L’incendie a ravagé le superbe édifice, sa cuisine, sa salle de conférence, sa piscine et ses chambres d’invités. Tout le cortège et les invités ont dû se rendre dans un autre bâtiment pour la cérémonie. Les cadeaux et les fleurs n’existaient plus, mais Nancy a dit : « Nous avons perdu toutes ces choses, mais ce n’est pas important pour nous. Il nous reste ce qui compte vraiment. »
Des candidats suspects
Selon Martin Luther, Jésus se trouvait parmi des pécheurs dès sa naissance. Luther a écrit : « Le Christ est le genre de personne qui n’a pas honte des pécheurs, en fait, il les place même dans son propre arbre généalogique ! » Cette vérité est explicite dans la généalogie du Messie écrite par Matthieu. Celle-ci comprend deux personnes, Juda et Tamar, qui sont des candidats vraiment suspects.
L'envol
Dans l’histoire d’un héros peu crédible, J. R. R. Tolkien dépeint une image frappante d’une délivrance prescrite et inattendue. Cerné par des loups et des gobelins, Bilbo croyait que tout était fini. Avec ses amis, il était emprisonné entre les arbres qui ont vite été embrasés par le feu des gobelins. Gandalf grimpa sur la plus haute branche et disparut. Offrant une merveilleuse vision de la délivrance opportune de Dieu ; des aigles immenses surgirent pour sauver le groupe de voyageurs et les mener en lieu sûr. Pris de vertige, Bilbo détesta le voyage.
Un monde en paix
Mes amis et moi avons un jour interviewé des croyants de chacune des quatre principales religions pratiquées à Singapour afin de découvrir leur enseignement de l’utopie. Ce sujet nous intriguait, puisque nous savons que nous vivons tous dans un monde imparfait.
JEU DU BLÂME
Lorsque son mari l’a quittée pour une autre, Jenny s’est promis de ne jamais rencontrer sa nouvelle femme. En prenant conscience que son amertume nuisait à la relation de ses enfants avec leur père, elle a toutefois demandé à Dieu de l’aider à faire les premiers pas vers la victoire sur l’amertume que lui inspirait une situation à laquelle elle ne pouvait rien changer.