Zone mortelle
En 2019, un alpiniste a vu son dernier lever du soleil au sommet du mont Everest.
Le pire de soi-même
« Elle est tolérable, mais pas assez belle pour me tenter. » Cette phrase de la bouche de M. Darcy, dans le roman de Jane Austen intitulé Orgueil et préjugés, ...
Nous ne sommes pas Dieu
Dans Les fondements du christianisme, C. S. Lewis nous recommande de nous poser certaines questions pour voir si nous sommes orgueilleux :
Le véritable succès
L’homme que j’interviewais répondait poliment à mes questions… mais il me semblait y avoir anguille sous roche.
Une fausse assurance
Il y a quelques années, mon médecin m’a parlé avec fermeté de ma santé.
Un changement inattendu
En janvier 1943, le Chinook a balayé Spearfish, en Dakota du Sud, faisant vite passer la température de -20 oC à 7 oC.
Je suis désolé
En 2005, Collins a falsifié un rapport ayant mené à l’incarcération de McGee pendant quatre ans
Termes bannis
Chaque année, la Lake Superior State University aux États-Unis publie une liste de mots agaçants qui devraient être bannis. Au premier rang de leur liste de 2013 se trouve selfie, un terme qui a reçu plus de nominations qu’aucun autre. Twerking, hashtag et twittersphere sont d’autres termes qui ont reçu beaucoup de votes. Cette liste me rappelle que la langue est en perpétuel changement et qu’elle peut nous persuader, nous impressionner ou nous agacer.
Un seul Spectateur
En tant que prédicateur, je me soucie, avec raison, du contenu de chacune de mes prédications du dimanche. Je dois avouer cependant que je peux tomber dans un piège : celui d’accorder plus d’importance à ce que les gens pensent de mon message qu’au fait qu’ils le comprennent ou que mes paroles les bénissent, ainsi que le Seigneur. Il peut m’arriver de trop m’inquiéter de l’accueil que réserveront les membres de mon Église à mon message. Si j’aperçois un front plissé dans l’assemblée, surtout lorsqu’il s’agit de quelqu’un que je connais bien et dont je respecte la vie spirituelle, cela nuit à la fluidité de mon message et me consterne.
Mieux que moi-même
Charles se plaignait à un ami de ses douleurs au bas du dos. Il se cherchait une oreille sympathique pour l’écouter, mais son ami lui a répondu avec franchise : « Ce n’est pas ton dos le problème, lui a-t-il fait remarquer, c’est ton ventre. Il est si gros qu’il tire sur ton dos. »