Grandir sous le vent
Imaginez un monde sans vent. Les lacs seraient calmes et les feuilles mortes n’envahiraient pas les rues. Reste que, dans ce cas, qui s’attendrait à ce que des arbres tombent soudain ? Or, c’est précisément ce qui est arrivé dans un dôme forestier de verre bâti dans le désert de l’Arizona. Des arbres grandissant dans une énorme bulle sans vent, la Biosphère 2, poussaient plus vite que la normale avant de s’écrouler subitement sous leur propre poids. Les chercheurs de ce projet ont fini par en trouver l’explication. Ces arbres avaient besoin de subir le stress des vents pour se fortifier.
Puis-je vous aider ?
Le très connu président de séminaire Haddon Robinson était allé rencontrer un riche donateur afin d’obtenir un don assez important (j’imagine qu’il allait servir à financer un projet ministériel). Robinson a demandé un montant précis et le donateur a répondu quelque chose comme : « Je m’étais préparé à vous donner beaucoup plus si vous me l’aviez demandé. »
L’ombre de la Terre
Quand je regarde le dernier croissant de la Lune, je repense parfois à un passage que j’ai lu dans le livre A Prayer Journal (Un journal de prière) de Flannery O’Connor. L’auteur a composé cette poésie pour Dieu : « Tu es un mince croissant de Lune... et je suis l’ombre de la Terre qui m’empêche de voir toute la Lune... Je ne te connais pas ô Dieu, parce que je bloque ma propre vue. Fais-moi la grâce du m’enlever du chemin. » (Traduction libre)
Une nouvelle destinée
Le tailleur Jacob Davis avait un problème à régler : la Ruée vers l’or des années 1800 battait son plein dans l’Ouest américain et les pantalons des chercheurs d’or s’usaient trop vite. Sa solution ? Davis s’est rendu dans un commerce local de nourriture sèche que Levi Strauss possédait, y a acheté du tissu pour fabriquer des tentes et a fait des pantalons de travail de cette étoffe pesante et résistante. Le jeans est ainsi né. De nos jours, le jeans de denim sous diverses formes (y compris les Levi’s) compte parmi les vêtements les plus prisés, et cela, simplement parce que l’on a eu l’idée un jour de donner une nouvelle utilité au tissu servant à la confection de tentes.
« Si seulement je… »
Marc 5.25‑34 contient ce que j’appelle mes étapes « si seulement je… ». Ce sont les actions que j’ai désespérément besoin d’entreprendre, souvent en dernier recours, pour m’approcher de Jésus et obtenir la guérison et une intimité plus profonde avec lui.
Qui m’a touché ?
On dit que la plus grande crainte de l’humain est de parler en public et qu’elle l’emporte même sur la peur de la mort. Un humoriste a déjà fait remarquer que cela signifie que, lors de funérailles, les gens aimeraient mieux être dans le cercueil que de prononcer l’éloge funèbre !
Unis en Christ
Lorsque nous tombons sur une liste de noms dans la Bible, il se pourrait que nous soyons tentés d’y passer outre. Reste que nous pourrions y trouver des perles, comme dans la liste des douze apôtres que Jésus a appelés à oeuvrer en son nom. Bon nombre d’entre eux sont bien connus : Simon, que Jésus appelait Pierre ; les frères Jacques et Jean, pêcheurs ; Judas Iscariot, le traître. Par contre, nous risquons d’oublier que Matthieu, le percepteur d’impôts, et Simon, le zélote, avaient dû être des ennemis auparavant.
Les rappels de Dieu
Mon ami Bob Horner parle de Jésus comme du « Maître Rappel ». Or, c’est une bonne chose, car nous sommes très enclins au doute et à l’oubli. Malgré les nombreuses fois où Jésus a répondu aux besoins des gens qui venaient à lui, ses disciples ont toujours craint de manquer de quelque chose. Ces témoins de tant de miracles n’ont pas su comprendre le sens plus profond de la vie que le Seigneur voulait leur faire garder en mémoire.
Elle a fait ce qu’elle a pu
Lorsque ses amis disent des choses blessantes ou grotesques sur les médias sociaux, Charlotte s’y oppose avec douceur, mais aussi avec fermeté. Elle respecte tout le monde, et ses paroles sont toujours positives.
Résister au découragement
Beaucoup de gens connaissent le livre Autant en emporte le vent, et davantage encore en ont vu l’adaptation cinématographique de 1939 mettant en vedette le célèbre acteur d’Hollywood Clark Gable. Ce que plusieurs personnes ignorent, c’est que le roman écrit par Margaret Mitchell a été rejeté 38 fois par des éditeurs avant d’être finalement accepté. Il s’est vendu à 30 millions d’exemplaires. Que serait-il arrivé si Margaret Mitchell avait laissé tomber après son trente-huitième refus, comme la plupart d’entre nous l’auraient probablement fait ?