Marie avait-elle raison ?
Lorsque j’étais en septième année, mon enseignant de mathématiques m’a montré deux lignes distinctes dont les extrémités se terminaient en flèches. Les flèches de l’une pointaient vers l’intérieur comme ceci : >-< et celles de l’autre vers l’extérieur comme cela : . Mon enseignant m’a ensuite demandé laquelle des deux lignes était la plus longue et j’ai répondu celle avec les flèches pointant vers l’intérieur. Il a pris une règle et les a mesurées. Elles étaient de la même longueur ! Je les ai regardées de nouveau et, malgré qu’on venait de me prouver qu’elles étaient identiques, je me suis entêté à croire que ma réponse était la bonne.
La vraie vie
Lors d’une conversation avec des amis, plusieurs d’entre eux ont raconté, à tour de rôle, leurs premières expériences avec certains termes du vocabulaire chrétien. Une personne a dit : « Chaque fois que la Bible ou un chrétien mentionnait le mot vie, je pensais que c’était seulement à propos du ciel. Je n’aurais jamais cru que cela touchait ma vie en ce moment ». Nous avons presque tous consenti par un signe de tête. « Il était difficile de comprendre ce qu’il y avait de si génial dans tout ça », a confessé un autre. « Je m’imaginais jouer de la harpe sur des nuages et je me sentais coupable de ne pas être enthousiaste à cette idée. »
Un amour exponentiel
Lorsque l’on a diagnostiqué la maladie de Lou‑Gehrig chez une femme de l’Église de Karen, les choses s’annonçaient mal pour elle. Cette maladie cruelle, qui s’attaque aux nerfs et aux muscles, conduit en définitive à la paralysie. Or, l’assureur de sa famille refusait de l’indemniser pour la faire soigner à domicile, et le mari de cette pauvre femme ne supportait pas l’idée de la mettre en maison de santé.
Le bon moment
Lors du discours prononcé à l’occasion de l’inauguration d’un nouvel organisme caritatif, mon ami – qui dirige ce ministère – a énoncé la mission et la vision de ce service. Il a également clairement présenté ses objectifs et ses plans.
Le temps d’une courte sieste
Henry Durbanville, un pasteur écossais d’une autre région, raconte l’histoire d’une aînée de sa paroisse qui vivait dans un lieu éloigné de l’Écosse. Elle désirait ardemment voir la ville d’Édimbourg, mais elle redoutait de faire le trajet, car le train qui l’y conduirait devait emprunter un long tunnel sombre.
Soldats de plastique et BGI
Nos deux jeunes fils voulaient une crèche de Noël. Nous en avons donc installé une petite dans leur chambre. Un soir, alors que ma femme les bordait, elle a aperçu de petits soldats de plastiques placés à côté de la crèche. Liam (cinq ans) les y avait disposés pour qu’« ils assurent la sécurité de bébé Jésus ».
Évangile 101
Imaginez-vous qu’un non-croyant se rende dans votre Église locale et qu’à la fin du culte d’adoration, votre pasteur vous demande de lui expliquer l’Évangile. Que lui diriez-vous ? Quels aspects de la Bonne Nouvelle lui présenteriez-vous ?
Du pain !
Je vis dans une petite ville du Mexique où l’on peut entendre matin et soir un cri distinct : « Du pain ! » Un homme transportant une énorme corbeille sur son vélo offre une grande variété de pains sucrés et salés tout frais sortis du four. Or, je vivais auparavant dans une plus grande ville, où je devais me rendre dans une boulangerie pour y acheter mon pain. Je me réjouis donc de ce que l’on m’apporte maintenant du pain frais chez moi.
Bien voir
Il se dégage de Raleigh une impression de grande force. Ce gros chien musclé au pelage épais pèse plus de 45 kilos ! Malgré son apparence, Raleigh se fait aimer des gens. Son maître l’amène dans des maisons de santé et des hôpitaux pour mettre un sourire aux lèvres des malades.
Se laisser aimer
La Grant Study a fait le suivi de plus de 250 diplômés de Harvard pendant 70 ans afin de découvrir ce qui rend les gens heureux. L’étude a révélé que les émotions positives nous rendent plus vulnérables que les négatives – en partie parce qu’elles nous exposent au rejet et à la douleur. Un homme avait reçu une boîte contenant 100 lettres de messages affectueux écrits par ses patients lorsqu’il a pris sa retraite en tant que médecin praticien. Huit ans plus tard, il a montré avec fierté sa boîte à un chercheur et s’est mis à pleurer en lui disant : « Je ne sais pas ce que tu en penseras, mais je ne les ai jamais lues. »