Tag  |  foi

Brûler son instrument

Dans un concours de talent que je regardais à la télévision, un groupe musical talentueux m’a beaucoup impressionné. Ensemble, les musiciens jouaient plus de 15 instruments différents.

La perspective de Dieu

Lorsque je me suis engagé à devenir aumônier dans la marine royale britannique alors que j’étais d’âge mûr, on aurait pu croire que c’était absurde et que je ne devrais pas m’embarquer dans cette aventure. Bien entendu, j’aurais pu gagner ma vie dans un environnement beaucoup plus sécuritaire et moins fatigant.

La foi, et non la peur

« On a offert à mon mari une promotion dans un autre pays, mais comme je redoutais de quitter notre maison, il a décliné l’offre à contrecœur », m’a dit mon amie. Elle m’a expliqué que l’appréhension que lui inspirait un changement d’une telle envergure l’avait empêchée de se lancer dans une nouvelle aventure.

De la peur à la foi

Le pronostic de cancer lui est tombé comme une pierre au fond du cœur. Son monde s’est arrêté de tourner à la pensée de son mari et de ses enfants. Ils avaient prié avec zèle, dans l’espoir d’une issue différente. Qu’allaient-ils faire ?

Paix et confiance

À l’âge de six ans, j’ai fait pour la première fois une balade en montagnes russes avec mes frères aînés. Dès que nous avons pris un virage à vive allure, je me suis mis à crier : « Arrêtez ça tout de suite ! Je veux débarquer ! »

Le paradoxe de Job

Un homme sage a déjà dit : « Les conflits ne concernent jamais ce qui est apparent ; il y a toujours autre chose en cause. » Il y a fort à parier que Job aurait été d’accord avec cette affirmation.

S’en tirer impunément

En juin 2004, dans une galerie d’art de Vancouver, la fondeuse canadienne Beckie Scott a reçu une médaille d’or olympique. Un fait intéressant, car les Jeux olympiques s’étaient tenus en 2002 en Utah. Scott y avait alors remporté le bronze, arrivant derrière deux athlètes que l’on avait disqualifiées quelques mois plus tard après avoir découvert qu’elles s’étaient dopées.

Puis-je le dire ?

L’impression de favoritisme est souvent l’un des plus grands facteurs de rivalité entre frères et soeurs », selon Barbara Howard, pédiatre spécialisée en développement comportemental (« When Parents Have a Favorite Child » ; nytimes.com). En voici un bon exemple : le Joseph de l’Ancien Testament, qui était le fils préféré de son père. Ce fait rendait furieux ses frères aînés (GE 37.3,4), qui en sont venus à le vendre à des marchands en route vers l’Égypte pour prétendre ensuite qu’un animal sauvage l’avait tué (37.12‑36). Les rêves de Joseph ont alors volé en éclats et son avenir semblait désespéré.

La foi en action

Se rendant en voiture à l’épicerie, une de mes amies a remarqué une femme qui marchait le long de la route. Mon amie s’est alors sentie poussée à faire demi‑tour pour lui offrir de la prendre à bord. Puis elle s’est attristée d’entendre sa passagère lui dire qu’elle n’avait pas les moyens de prendre l’autobus, ce qui l’obligeait à rentrer chez elle en parcourant à pied de nombreux kilomètres par une chaleur et une humidité étouffantes. Non seulement devait‑elle faire tout ce chemin pour rentrer chez elle, mais encore elle avait également marché plusieurs heures ce matin‑là pour arriver au travail à quatre heures.

Vivre parmi les lions

Durant la visite d’un musée de Chicago, j’ai vu l’original de l’un des « lions de la porte d’Ishtar », provenant de la Babylone de l’Antiquité. Il s’agissait d’une grande murale illustrant un lion ailé à l’expression féroce. Symbolisant Ishtar, la déesse babylonienne de l’amour et de la guerre, ce lion faisait partie d’une série de 120 lions décorant les murs de la Voie processionnelle à Babylone entre 604 et 562 av. J.‑C.