Plus que de l’eau
L’un de mes plus vieux souvenirs d’Église remonte au jour où j’ai vu un pasteur s’avancer dans l’allée en nous exhortant à « nous remémorer les eaux de notre baptême ».
Du vent et des ailes
Lorsqu’il entrait dans une pièce, la chaleur de sa présence se faisait sentir. Le doux souffle du shalom était manifeste. L’effet apaisant que produisait mon oncle était palpable. Dieu a ramené le calme sur la terre après qu’il y a plu durant 40 jours et 40 nuits. Des mois se sont écoulés, et le mal et la violence qui autrefois consumaient la terre ont cessé d’être. Et « Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’apaisèrent » (GE 8.1).
Ton corps
J’aime écrire mes pensées à la main avant de les taper. Cependant, lorsque j’utilise un vieux stylo dont l’encre a commencé à sécher, mes idées me viennent par soubresauts. Lorsque je ne peux faire sortir l’encre, je ne peux faire sortir les mots, et je mets rapidement mon stylo de côté pour en prendre un autre. Un stylo dont l’encre coule librement m’ouvre l’esprit, et les mots se mettent souvent à couler aussi rapidement que je peux les écrire.
Se noyer dans l’amour
J’ai récemment baptisé un membre d’âge scolaire de mon Église dans une rivière du coin. Son père s’est avancé dans l’eau avec moi, et nous tenant de chaque côté de son fils, nous l’avons immergé et sorti de l’eau fraiche et purifiante. Le père rayonnait pendant toute la sainte cérémonie. C’était le baptême de son fils, mais il était évident qu’il éprouvait autant de joie que lui.
Nouveau nom, nouvelle nature
En 2012, Pretoria, la capitale de l’Afrique du Sud, a changé le nom de plusieurs de ses rues. Cela a causé la confusion des navetteurs et a donné des maux de tête aux reporters à la circulation qui devaient nommer les deux rues dans leur mise à jour. À la suite du changement de noms, le format des bulletins de circulation de la plupart des stations de radio mentionnait le nouveau nom de la rue suivi du mot « anciennement » et de l’ancien nom.
Submergé par l'amour
L’une de mes plus grandes joies en tant que pasteur a été de baptiser mes deux fils. J’ai une photographie de moi avec l’un d’eux juste avant que l’on entre dans les eaux du baptême. Je suis penché et je le regarde dans les yeux. Je ne me rappelle pas ce que je lui disais, mais je me rappelle les larmes. Dieu déversait sa grâce sur mon fils, et mon Église l’accueillait comme membre.
Pourquoi le baptème ?
L’annonce ne peut être plus claire : « Le baptême d’eau n’est pas une option pour celui qui croit en Jésus. Inscrivez-vous pour être baptisé. Les cours de préparation débutent dans deux semaines. Après la réunion, un jeune homme a confronté le pasteur. « Je suis sauvé par grâce et non par le baptême. Je ne vois pas la nécessité du baptême. »