La voix de la raison
Mis à part les avancées technologiques, le Ier siècle av. J.‑C. n’était pas très différent du XXIe siècle. La condition humaine peut être terriblement constante : injustice, exploitation, oppression et violence.
Source de la Vérité
Souvent, lorsque je fais une recherche sur Internet, je doute de pouvoir faire confiance à l’information que j’y trouve. Si je tape un sujet dans un moteur de recherche bien connu, il est possible que je tombe sur un site Web contenant des informations non vérifiées. Des avertissements nous informent que le contenu n’a pas été vérifié par des experts, et qu’il est ainsi impossible de garantir qu’il est exact, complet et objectif. Peu importe à quel point le contenu semble authentique, je sais qu’il n’est pas sage de s’y fier.
Les petites choses
La téléréalité et moi ne formons pas une bonne combinaison. On ne fera pas une émission de téléréalité sur mon quotidien de sitôt. Ma vie se limite à prendre soin de mon mari et de mes filles, à travailler à temps partiel à mon église, à écrire un peu et à faire de mon mieux pour aimer ceux qui sont dans ma sphère d’influence. Selon l’avis du monde, je ne suis pas digne des feux de la rampe.
Jésus le réconciliateur
Je vis dans une région et un quartier qui connaît une histoire raciale tragique. Par exemple, la fille de l’un de mes voisins âgés a mené une action civile pour forcer les écoles du territoire à obéir à la loi fédérale et mettre fin à la ségrégation. Comme j’en ai parlé à mes voisins, j’ai eu à me battre contre la division raciale dans mon pays, avec les diverses façons dont les gens ont à remplir leur mandat divin d’agents de réconciliation.
Goûter au ciel
Récemment, j’ai écrit un livre qui explique comment se remettre de ses rêves brisés (Resurrection Year). J’y raconte l’incapacité à ma femme et à moi de fonder une famille. À notre surprise, un producteur de télévision a lu le livre et a envoyé une équipe tourner un documentaire sur notre histoire.
Possible
Beaucoup de gens ont été surpris lorsque ma soeur a quitté son emploi bien rémunéré au gouvernement après y avoir travaillé pendant 14 ans. Je crois que Dieu l’a dirigée vers cet emploi (une longue histoire), qu’il a utilisé ce travail pour la former et l’équiper (une autre longue histoire) et qu’il l’a appelé à le quitter (encore une très longue histoire). En fait, elle a quitté son travail sans en avoir trouvé un autre. Elle n’a pas eu le temps de réfléchir, car elle avait plusieurs projets à terminer et à remettre. Par la grâce de Dieu, elle ne s’est toutefois pas inquiétée. Ma soeur était convaincue que Dieu, son Berger, allait pourvoir à ses besoins (PS 23.1).
« Suis-moi »
Chaque année, en Afrique du Sud, des centaines de garçons âgés de trois à huit ans prennent part à un tournoi de rugby. Même si ce tournoi est moins excitant que celui des adultes, les enfants et les parents le prennent au sérieux. Car c’est là où la passion naît pour l’un des sports les plus populaires de l’Afrique du Sud. Les jeunes garçons rêvent de jouer un jour pour l’équipe nationale. En grandissant, toutefois, la compétition s’intensifie et seulement les meilleurs joueront pour les Springboks, la meilleure équipe du pays.
Voici l'espoir
Amy Bleuel a tenté de mettre fin à sa vie après avoir connu des années de sévices et de chagrin. Elle avait 6 ans lorsque ses parents ont divorcé et que sa belle-mère a commencé à la maltraiter. À 13 ans, elle a été agressée sexuellement et blâmée pour le crime. À 18 ans, son père s’est suicidé. La dépendance et d’autres traumatismes personnels ont suivi. Toutefois, sa foi en Jésus a permis à Amy de survivre. Avec le temps, elle a trouvé un groupe de soutien pour ceux qui vivent les mêmes difficultés : le Projet point-virgule. Son message est simple, mais percutant : « Un point-virgule est utilisé lorsqu’un auteur aurait pu terminer sa phrase, mais a choisi de ne pas le faire. Vous êtes l’auteur, et votre vie est le point-virgule. »
Jésus est-il suffisant ?
Pendant la Première Guerre mondiale, Oswald Chambers et sa femme, Biddy, sont passés devant la maison d’une femme très malade. Biddy lui a dit : « Je me demande ce que Dieu va faire. » Chambers lui a répondu qu’en fait, il était plus préoccupé par qui est Dieu que par ce qu’il choisirait de faire. Ces paroles ne sont pas celles d’un homme indifférent à la souffrance d’une autre personne. Il voulait dire qu’il dépendait totalement de la personnalité et du caractère de Dieu et qu’il ne souhaitait pas simplement que ce dernier fasse quelque chose. Même s’il se souciait de la femme et de sa condition, le caractère de son Créateur était suffisant pour le rassurer de ce qui allait arriver.
Une autre perspective
En seulement quelques heures, mon mari et moi avons appris que, même si nous allions nous marier bientôt, nous n’allions pas parcourir le même chemin. Nous nous fréquentions depuis plus d’un an lorsque nos pères sont entrés à l’hôpital le même jour, dans différents établissements. L’un était dans les dernières phases du cancer et avait une respiration irrégulière ; l’autre se trouvait sur la table d’opération après une chirurgie à coeur ouvert et souffrait d’une hémorragie interne. Deux vies planaient entre ciel et terre. Le jour suivant, un seul était toujours vivant.