Toute ma personne
Jeune, Isaac Watts regrettait que la musique laisse à désirer dans son Église. Son père l’a alors mis au défi de faire mieux, et c’est précisément ce qu’Isaac a fait. Son cantique intitulé « When I survey the Wondrous Cross » (Je vois ta croix, ô mon Sauveur) est ainsi considéré comme le meilleur en langue anglaise et a été traduit en plusieurs langues.
La bienveillance de Dieu
Il m’arrive parfois de dire aux gens que ma femme a fréquenté l’université grâce à une bourse d’études de ballon-chasseur. Certaines personnes naïves me répondent : « Ah bon ? » D’autres sont sceptiques : « Le ballon chasseur ? Vraiment ? Depuis quand est-ce un sport admissible aux bourses ? »
Petits mensonges et chatons
Ma mère a remarqué que le petit Elias de quatre ans s’enfuyait à la course d’auprès des chatons naissants. Elle lui avait demandé de ne pas les toucher. « As‑tu touché aux chatons, Elias ? » lui a‑t‑elle alors lancé.
La mort du doute
Bien que nous le connaissions sous le nom de Thomas l’incrédule (Voir JN 20.24‑29), cette étiquette est un peu exagérée. Après tout, combien d’entre nous auraient cru que leur chef exécuté était revenu à la vie ? Autant l’appeler tout simplement « Thomas le courageux ». Après tout, il a manifesté un courage impressionnant lorsque Jésus s’est rapproché de plus en plus des événements qui allaient le conduire à son exécution.
Prier avec colère
Le film de 1965 Les prairies de l’honneur met en vedette Jimmy Stewart dans le rôle de Charlie Anderson, un père autoritaire de sept enfants qui vit sur une ferme dans la vallée de Shenandoah. L’histoire se déroule durant la guerre de Sécession et explore les thèmes de la guerre, de la famille et de la restauration.
Quelle est l’occasion ?
Le petit Asher de quatre ans a sorti son visage rayonnant de sous son pull préféré à cagoule en tête d’alligator munie de mâchoires en peluche qui donnait l’impression de lui avaler la tête ! À le voir, sa mère en a eu le coeur serré. Elle désirait faire bonne impression auprès d’une famille à qui ils allaient rendre visite et qu’ils n’avaient plus vue depuis longtemps.
Vendu au péché
Le romancier britannique Evelyn Waugh s’exprimait d’une manière qui accentuait ses défauts. Or, quand il a fini par se convertir, ses combats intérieurs n’ont pas cessé pour autant. Un jour, une femme lui a demandé : « Monsieur Waugh, comment pouvez‑vous vous comporter de la sorte et continuer de vous dire chrétien ? » À cela, il a répondu : « Madame, il se pourrait que je sois aussi mauvais que vous le dites, mais croyez‑moi quand je vous dis que, sans ma religion, je serais à peine humain. »
Chasser les ténèbres
Au début de 2015, une fraternité de l’Université de l’Oklahoma aux États-Unis a été filmée en train de chanter une chanson offensante et raciste. Les autorités ont réagi rapidement et sévèrement, à juste titre. Que croyez-vous que le président de l’Association des étudiants noirs, Isaac Hill, a déclaré à ce sujet ? Après tout, le chant carrément raciste visait les Afro-Américains.
Un amour exponentiel
Lorsque l’on a diagnostiqué la maladie de Lou‑Gehrig chez une femme de l’Église de Karen, les choses s’annonçaient mal pour elle. Cette maladie cruelle, qui s’attaque aux nerfs et aux muscles, conduit en définitive à la paralysie. Or, l’assureur de sa famille refusait de l’indemniser pour la faire soigner à domicile, et le mari de cette pauvre femme ne supportait pas l’idée de la mettre en maison de santé.
Ne combattez pas
Mon ami Cameron ne partageait pas mes croyances spirituelles. Il était ouvertement opposé au christianisme et à certains de ses principes moraux. Un jour, à mon ancien travail, il a tenu un séminaire sur la violence familiale et en a profité pour critiquer la Bible. Sa « corrélation » était illogique et inappropriée. Le livre qui dit que le mari « doit aimer sa femme comme son propre corps » et qui dit aux pères : « [N’irritez] pas vos enfants » n’approuve pas la violence au foyer (ÉP 5.28 ; 6.4).