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Articles by Poh Fang Chia

La vie et l’amour

La vie peut être difficile. Parfois, les fardeaux, les déceptions et les incertitudes semblent trop difficiles à porter.

Tenir ses promesses

Du regret. C’est ce que j’ai ressenti après mon premier jour de bénévolat. Selon moi, j’avais passé tout mon temps à ne rien faire, et je ne pouvais m’imaginer passer un autre précieux dimanche à recommencer la même chose inutile de 13 h à 21 h. Mais j’avais promis aux planificateurs de l’événement de les aider pendant deux dimanches.

Des calories justifiées ?

Je raffole de l’oeuf roti prata, une crêpe prisée chez moi à Singapour. J’ai donc été intriguée de lire que, pour brûler 240 calories, une personne de 57 kg doit courir 8 km/h en 30 minutes. Or, cette quantité calorifique équivaut à un seul oeuf roti prata.

Un sinistre rappel

Qu’est-ce que tu lis ? » m’a demandé une amie. « Un conte de fées », lui ai-je répondu. « Oh ! J’aime les contes de fées ! » a-t-elle dit en se penchant pour voir le titre de l’histoire. « Beurk ! Quel titre sinistre ! » J’étais en train de lire Le cercueil de verre des frères Grimm. Apparemment, le mot cercueil lui a déplu.

Pourquoi désobéir ?

Pourquoi devrais-je obéir à ce commandement de Dieu ? me suis-je demandé. Est-ce parce que les conséquences de ma désobéissance seraient désagréables ? Hum ! Mais est-ce tout ? Ah ! je vois maintenant – mon raisonnement était inversé ! J’aurais dû me demander : « Pourquoi désobéirais-je ? »

Jouir du temps avec Dieu

Jour 7. Le réveille-matin sonne ; une nouvelle journée commence. Je me retourne et j’appuie sur le rappel d’alarme. Je ne suis pas prêt à sortir du lit. Mon âme affamée crie, mais mon corps désire plus de sommeil. J’ai encore du mal à passer régulièrement du temps dans le calme avec Dieu.

Qui le leur dira ?

La Seconde Guerre mondiale était terminée. On avait déclaré la paix. Le jeune lieutenant Hiroo Onoda de l’armée impériale japonaise, cantonné sur une île des Philippines, l’ignorait malgré tout. On avait parachuté des dépliants annonçant la fin de la guerre, mais Onoda, dont le dernier ordre avait consisté en 1945 à rester pour se battre, en avait toutefois fait fi, n’y voyant qu’une ruse ou de la propagande ennemie. Il ne s’est rendu qu’en mars 1974 – soit 30 ans après la fin de la guerre – lorsque son ancien commandant s’est rendu du Japon aux Philippines, a révoqué son ordre initial et a officiellement relevé Onoda de ses fonctions. C’est alors que celui‑ci a fini par croire que la guerre était bel et bien terminée.

Quelle opinion importe ?

J’ai présenté au groupe de jeunes de mon Église une leçon portant sur l’Écriture que j’avais soigneusement préparée. Lorsque j’ai eu terminé, un jeune homme du groupe m’a dit : « Je crois que vous auriez pu faire mieux. » Cela m’a blessée. Puis je me suis rappelé une phrase qu’un ouvrier de longue date de l’Église avait dite : « Nous prétendons être des serviteurs de Dieu, mais lorsqu’on nous traite en tant que tels, cela nous contrarie. »

L’espèce humaine

Le réveille‑matin sonne. Trop tôt, semble‑t‑il. Mais une longue journée vous attend. Vous avez du travail à faire, des rendez-vous à respecter, des gens de qui prendre soin et plus encore. Sachez que vous n’êtes pas le seul. Tous les jours, nous sommes nombreux à aller d’une chose à une autre à vive allure. C’est le lot de toute l’humanité.

Sagesse inspirée

A‑poe‑la‑pi est un Akha âgé, membre d’une tribu qui vit dans une chaîne de montagnes de la Chine. Lors d’un voyage missionnaire, mes amis et moi avons visité A‑poe‑la‑pi. Il nous a dit : « À cause des fortes pluies de la nuit dernière, je n’ai pas pu me rendre à la rencontre. Pourriez-vous me parler de la Parole de Dieu ? » Voyezvous, A‑poe‑la‑pi est analphabète, ce qui fait de la réunion hebdomadaire sa seule occasion d’assimiler l’Écriture. Il nous a écouté parler attentivement. Son attitude sérieuse m’a rappelé que, lorsque nous écoutons ou étudions la Bible dans le but d’acquérir la sagesse de Dieu, nous l’honorons.