Month: décembre 2016

À l’heure

Je dis parfois à la blague que j’écrirai un livre intitulé À l’heure. Ceux qui me connaissent sourient alors, car ils savent que je suis souvent en retard. J’attribue toutefois mes retards à mon optimisme, et non à la faute d’essayer. Je m’accroche à la fausse croyance que « cette fois‑ci » je parviendrai à en accomplir plus en moins de temps que jamais auparavant ; mais j’en suis incapable, alors je finis toujours par devoir m’excuser une fois de plus de ne pas être arrivée à l’heure.

La source de joie

Sur une échelle de 1 à 10, où se situerait votre niveau de joie ?

La joie pour tous

Le dernier jour d’un congrès du monde de l’édition chrétienne se tenant à Singapour, 280 participants provenant de 50 pays différents se sont réunis sur la place extérieure d’un hôtel pour une photo de groupe. Juché sur un balcon du premier étage, le photographe nous a pris en photo sous divers angles avant de finir par déclarer : « C’est fait. » Une voix dans la foule a alors crié de soulagement : « Well, Joy to the world ! » (Alors monde, réjouis‑toi !) Immédiatement, quelqu’un a enchaîné en chantant : « The Lord is come » (Le Seigneur est venu). D’autres se sont joints à eux, et tout le groupe a vite entonné ce cantique bien connu dans une merveilleuse harmonie. Je n’oublierai jamais cette scène émouvante d’unité et de joie.

Le bon moment

Lors du discours prononcé à l’occasion de l’inauguration d’un nouvel organisme caritatif, mon ami – qui dirige ce ministère – a énoncé la mission et la vision de ce service. Il a également clairement présenté ses objectifs et ses plans.

Noël en captivité

Le révérend Martin Niemöller, un éminent pasteur allemand, a passé près de huit ans dans des camps de concentration nazis pour s’être ouvertement opposé à Hitler. Or, la veille de Noël 1944, Niemöller a prononcé les paroles d’espoir suivantes à ses compagnons de captivité à Dachau : « Chers amis, ce Noël… cherchons chez l’Enfant de Bethléhem qui est venu jusqu’à nous pour nous aider à porter tout ce qui nous accable. […] Dieu a lui‑même bâti un pont entre nous et lui ! Une aube céleste est descendue nous baigner de lumière ! »

Le don

La plupart d’entre nous ne diront pas, tout naturellement, qu’ils sont prêts à mourir en paix. Nous devons faire l’expérience de quelque chose de très profond avant de pouvoir prononcer ces mots ! Pourtant, c’est exactement ce qu’a affirmé Siméon alors qu’il tenait le bébé Jésus dans ses bras. Il a dit à Dieu : « [Tu] laisses ton serviteur s’en aller en paix » (LU 2.29).

Que puis‑je lui donner ?

Une année, les gens responsables de décorer leur église pour Noël ont décidé d’opter pour le thème « listes de Noël ». Au lieu de la décorer comme d’habitude avec des ornements scintillants, dorés et argentés, ils ont remis à chaque personne qui la fréquentait une étiquette rouge ou verte. D’un côté, chacune devait écrire le cadeau qu’elle souhaitait recevoir de Jésus et de l’autre, le cadeau qu’elle désirait offrir à celui dont on célébrait l’anniversaire de naissance.

Rebâtir

Le 31 octobre 2003, Bethany Hamilton, alors âgée de treize ans, s’est fait attaquer par un requin-tigre de quatre mètres alors qu’elle surfait sur la côte nord d’Hawaï. Bethany a survécu à l’attaque, mais elle y a perdu son bras gauche et plus de 60 % de son sang.

Le meilleur cadeau de tous

Lors d’une retraite d’hiver en Nouvelle‑Angleterre, un des hommes a demandé : « Quel a été votre plus beau cadeau de Noël entre tous ? »

Promesses tenues

Dans le film Man of Steel (L’Homme d’acier au Québec) sorti en 2013, le jeune Clark Kent utilise sa force surhumaine pour empêcher un bus scolaire rempli de camarades de classe de couler dans une rivière. Le père de Clark, croyant que le monde n’est pas prêt à recevoir son fils surnaturel, lui conseille vivement de tenir secrète sa grande force. Il lui explique : « Quand le monde apprendra ce que tu peux faire, ça va tout changer – notre vision des choses, nos croyances, notre conception de ce qu’est l’humain – ça changera tout ! »