Mois : mai 2016

Savoir et faire

Le philosophe chinois Han Feizi a fait remarquer ceci au sujet de la vie : « Il est facile de connaître les faits. Il est cependant difficile d’agir selon les faits. »

Mouillés

Dave contemplait le magnifique réseau de sentiers qui s’entrelaçaient dans les terres humides du Canada s’étendant devant lui. Dans les sections les plus marécageuses, un sentier de billots était stratégiquement aménagé entre chaque îlot de terre ferme afin de garder les randonneurs au sec – en principe.

Louer Dieu d’un coeur pur

Lors du séjour à l’étranger de mon amie Myrna, elle s’est rendue dans une église pour le culte d’adoration. Elle y a remarqué qu’en entrant dans le sanctuaire, les gens s’agenouillaient immédiatement pour prier, en tournant le dos à l’autel. Mon amie a découvert alors que les gens qui fréquentaient cette église confessaient leurs péchés à Dieu avant le culte.

Avec nous

Pourquoi le cancer frappe-t-il les gens ? Pourquoi les innocents souffrent-ils ? Pourquoi des choses pénibles arrivent-elles à ceux qui font tant de bien ?

On ne meurt qu’une seule fois

Née dans l’esclavage et victime de mauvais traitements dans sa jeunesse, Harriet Tubman (vers 1822‑1913) a découvert un rayon éclatant d’espoir dans les histoires bibliques que sa mère lui racontait. Le récit de la sortie de l’esclavage des Israélites sous le règne de Pharaon lui a fait connaître un Dieu qui désirait la liberté de son peuple.

Un « Jésus kitsch »

Le « Jésus kitsch » est très populaire. Sur les tableaux et les affiches, il a toujours les dents blanches et droites, un teint resplendissant, de beaux yeux bleus et brillants, et de longs cheveux ondoyants. Il apparaît souvent en flou artistique, assis au soleil dans une paisible campagne, à regarder affectueusement l’agneau qu’il tient dans ses bras. Le « Jésus kitsch » porte de longues robes blanches, même lorsqu’il apparaît dans une scène moderne, et tient parfois un bâton de berger. Le « Jésus kitsch » est insouciant et ne plisse jamais le front. C’est le Jésus des cartes de souhaits, qui répand une odeur de lavande, un personnage mythique qui va nonchalamment par les prés.

Il a déjà été à notre place

Pour aider les jeunes architectes qu’il emploie à comprendre les besoins de ceux pour qui ils conçoivent des logis, David Dillard les envoie faire des « soirées pyjama ». Vêtus d’un pyjama, ils vont passer 24 heures dans une maison de retraite dont les conditions de vie sont semblables à celles des octogénaires et des nonagénaires. Ils portent des bouchons pour simuler une perte de l’ouïe, s’enrubannent les doigts pour limiter leur dextérité et s’échangent leurs lunettes pour reproduire des problèmes oculaires. Dillard en dit : « Le plus grand avantage lorsque j’envoie des jeunes de 27 ans, c’est qu’ils reviennent avec le coeur dix fois plus grand. Ils rencontrent des gens et comprennent leur sort » (Rodney Brooks, USA Today).

Dire « non » à Dieu

Jane repensait à la conférence pour femmes à laquelle elle avait assisté le week-end précédent. Les femmes présentes avaient toutes vécu des moments difficiles semblables aux siens. Toutefois, elles étaient maintenant libres et épanouies alors que Jane était toujours prisonnière d’un cercle vicieux de mécontentement. Les Écritures à l’étude l’avaient incitée à imiter les autres femmes. Celles‑ci avaient dit « oui » à Dieu, mais Jane lui avait répondu « non ».

La paix comme un fleuve

Une connaissance de mon cours d’exercice physique m’a dit : « Je ne suis pas surprise que vous dirigiez des retraites. Vous avez une belle aura. » Sa remarque m’a un peu prise de court, mais agréablement surprise, car je me suis rendu compte que ce qu’elle considérait comme une « aura » était en réalité la paix de Christ en moi. Si nous suivons Jésus, il nous accorde la paix qui surpasse toute intelligence (PH 4.7) et qui irradie de nous, bien que nous n’en soyons pas forcément conscients.

Croire Dieu

Il y a plusieurs années, ma femme et moi avons senti que Dieu me demandait de fréquenter un collège biblique. Nous ne connaissions ni le pourquoi ni le comment, mais nous avions confiance au plan divin. Cependant, notre situation financière précaire nous préoccupait. Nous priions littéralement chaque semaine afin d’avoir assez de nourriture pour notre famille. Puis, la date d’échéance du paiement des droits de scolarité est arrivée, et nous n’avions pas un sou à y verser.