Alors que je passais par une période difficile et que je remettais en question la bonté et les soins de Dieu, plusieurs croyants m’ont apporter leur soutien. Ils m’ont aidée à admettre l’existence de mes problèmes tout en ne me permettant pas de m’y attarder. Ils m’ont dirigée vers l’Écriture, ont prié pour moi et ont répondu à mes besoins. Leur compassion m’a aidée à vivre le doux amour du Christ (De 32.2). Au lieu de me juger à cause de ma faible foi, mes confidents m’ont prouvé que « [l’ami] aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère » (Pr 17.17).

En plus de m’exprimer son amour au moyen de la fidélité de mes amis, Dieu s’est servi d’étrangers pour guérir mon esprit abattu. Je ne peux m’empêcher de penser à une situation en particulier où Dieu m’a parlé par la bouche d’un frère en Christ que je rencontrais pour la première fois. Il s’est présenté à moi lors d’une conférence chrétienne et m’a dit qu’il était vice-président d’un important ministère venant en aide aux enfants et aux familles du monde entier. Comme nous travaillions tous deux dans des pays en voie de développement, nous avions de nombreux sujets de discussion en commun. Je me suis enquise des conseils de cet homme pour m’aider dans la mise en place de programmes en Ouganda.

À la fin de notre conversation, l’homme m’a demandé s’il pouvait prier pour moi. Sans rien connaître de mon malheur, il a prié pour que je fasse l’expérience de « la tendresse de Dieu ».

À plusieurs reprises, Dieu m’a encouragée par ses enfants et m’a rappelé que, en effet, il est « doux et humble de coeur », et qu’en lui nous trouvons le repos pour notre âme (Mt 11.29).

« La langue douce est un arbre de vie » (Pr 15.4). Aujourd’hui, remerciez Dieu pour les gens qui vous ont « [proclamé] le nom de l’Éternel » et son amour (De 32.3).