Pratiquer la résurrection
Les croyants en Jésus ont hâte à deux événements : la résurrection de leur corps et la « résurrection » de notre planète ...
Que voulons‑nous ?
Je suis passé de la voiture à cheval à l’homme sur la Lune », a dit un homme âgé à sa petite-fille, qui me l’a rapporté. Puis le grand‑père a ajouté d’un air songeur : « Je n’aurais jamais cru que ce serait si court. »
La meilleure des invitations
Dernièrement, j’ai reçu plusieurs invitations par la poste. J’ai jeté d’emblée celles qui m’invitaient à assister « gratuitement » à des séminaires portant sur la retraite, l’immobilier et l’assurance vie. Par contre, celle m’invitant à des retrouvailles en l’honneur d’un ami de longue date m’a poussé à y répondre sur‑le‑champ : « Oui, j’accepte ! » Invitation + désir = acceptation.
Tout ce que j’ai fait
J’étais assise dans l’église, la tête baissée et les yeux fermés. Je n’ai pas comblé les attentes de Dieu, ai-je pensé. Il doit être très déçu de moi. Puis mon pasteur a dit : « Regardez Jésus dans les yeux. Remarquez comment il vous regarde, comment il vous voit. » Je l’ai fait, et à cet instant, je me suis trouvée à la place de la Samaritaine…
Courir vers le but
The Amazing Race (Le rallye autour du monde) compte parmi mes émissions de télévision préférées. Dans cette émission de téléréalité, dix couples sont envoyés en pays étranger, où ils doivent participer à une course de lieux en lieux – en train, en autocar, en taxi, à vélo ou à pied –, afin d’y obtenir les instructions qui les conduiront à leur défi suivant. Cette course a pour but d’amener un couple à atteindre une destination finale déterminée avant tous les autres, afin de remporter un prix d’un million de dollars.
Trouver la vie
Les paroles du père de Ravi l’ont profondément blessé : « Tu es un bon à rien, la honte de la famille. » Contrairement à ses talentueux frères et soeurs, Ravi passait pour un sujet de déshonneur. Il s’est efforcé d’exceller dans les sports, ce qu’il a accompli, mais sans parvenir à se débarrasser de son sentiment d’échec. Il se demandait : Que va‑t‑il advenir de moi ? Suis‑je voué à tout échouer ? Comment pourrais‑je bien échapper à ma vie, d’une façon ou d’une autre ? Ces pensées l’obsédaient, mais sans qu’il en parle à qui que ce soit. Cela ne se faisait tout simplement pas au sein de sa culture, dans laquelle on lui avait inculqué ceci : « Garde tes douleurs pour toi‑même, et continue de tenir à bout de bras ton monde qui s’écroule. »
Du pain !
Je vis dans une petite ville du Mexique où l’on peut entendre matin et soir un cri distinct : « Du pain ! » Un homme transportant une énorme corbeille sur son vélo offre une grande variété de pains sucrés et salés tout frais sortis du four. Or, je vivais auparavant dans une plus grande ville, où je devais me rendre dans une boulangerie pour y acheter mon pain. Je me réjouis donc de ce que l’on m’apporte maintenant du pain frais chez moi.
Faire tout le contraire
L’excursion dans le désert peut sembler intimidante, mais pour les adeptes de plein air, cela ne fait qu’accroître son attrait. Comme les randonneurs ont besoin de plus d’eau qu’ils ne peuvent en transporter, ils achètent des bouteilles avec filtre intégré pour puiser aux sources d’eau chemin faisant. Reste que l’utilisation de tels contenants semble paradoxale. Même si l’on renverse la bouteille, pas une seule goutte n’en coule. Le randonneur assoiffé doit souffler dans la bouteille pour forcer l’eau à traverser le filtre. La réalité est donc contraire à ce qui semble naturel.
La vie et l’amour
La vie peut être difficile. Parfois, les fardeaux, les déceptions et les incertitudes semblent trop difficiles à porter.
La note de la grâce
Avec ses yeux bleus illuminés de joie, mon fils m’a montré un papier qu’il avait rapporté de l’école. C’était un test de mathématiques portant une étoile rouge et la note 100 %. En regardant sa feuille d’examen avec moi, il m’a dit qu’il avait encore trois questions auxquelles répondre lorsque son institutrice avait indiqué qu’il ne lui restait plus de temps. Perplexe, je lui ai demandé comment il avait pu alors recevoir une note parfaite. Il m’a répondu : « Mon institutrice m’a donné la note de la grâce. Elle m’a laissé finir le test même si je manquais de temps. »