Jésus règne sur tout
Le fils de mon amie a décidé un jour de porter un maillot de sport par-dessus ses vêtements d’école. Il désirait ainsi démontrer son soutien à son équipe préférée, qui allait disputer un match important le soir même. Avant de quitter la maison, il a mis quelque chose sur son maillot : une chaîne à pendentif portant l’inscription « Jesus ». Par ce simple geste, il a illustré une vérité plus profonde : Jésus mérite de passer avant tout le reste.
Qu'est-ce que cela ?
Ma mère a enseigné l’école du dimanche pendant des décennies. Une certaine semaine, elle a voulu expliquer comment Dieu avait procuré de la nourriture aux Israélites dans le désert. Afin de donner vie à cette histoire pour les enfants de sa classe, elle a créé quelque chose qui représentait « la manne ». Après avoir tranché du pain en petits morceaux, elle les a couverts de miel. Elle s’est inspirée de la description de la manne qui en est donnée dans la Bible : « [Elle] avait le goût d’un gâteau au miel » (EX 16.31).
Les morsures de la vie
Une femme de 71 ans se tient à l’extérieur de sa maison lorsqu’un essaim d’abeilles se met à la piquer. Ses voisins appellent les pompiers qui, se précipitant à sa rescousse, la découvrent couverte d’abeilles. Ils jettent une couverture sur elle et la transportent dans une maison voisine. Incroyablement, elle survit à plus de 1 000 piqûres !
En vol
Dans son livre, En vol, Alan Tennant suit la migration du faucon pèlerin. Ces magnifiques oiseaux de proie ont été les compagnons de chasse des empereurs et de la noblesse, qui les admiraient pour leur beauté, leur rapidité et leur puissance. Malheureusement, l’usage généralisé du DDT dans les années 1950 a affecté leur cycle reproductif, faisant d’eux une espèce en voie de disparition.
Sur la paille fraîche
Selon un sondage d’opinion, « Sur la paille fraîche » a été élu le deuxième chant de Noël le plus populaire. Bien que quelques-unes des paroles ne soient pas mentionnées dans la Bible (par exemple, la présence d’une ânesse et Jésus qui lui sourit), ce chant contient certaines vérités théologiques profondes.
Devenir invisible
Là où je vis, c’est la saison où les plantes se protègent contre la mort en demeurant sous terre jusqu’à ce qu’il soit prudent d’en ressortir. Avant que la neige tombe et que la terre gèle, elles se départissent de leurs magnifiques fleurs et se retirent dans un endroit où elles peuvent se reposer et refaire le plein avant la prochaine saison de croissance. Malgré les apparences, elles ne sont pas mortes ; elles sont dormantes. Lors de la fonte des neiges et du dégel, elles pousseront de nouveau vers le ciel, saluant leur Créateur de leurs teintes vives et de leurs parfums suaves.
Dans le jardin
Mes ancêtres étaient des pionniers dans le Michigan. Ils ont défriché la terre, l’ont cultivée, et ont planté des potagers et vergers pour récolter des aliments en vue de nourrir leurs familles. Ce goût agraire s’est transmis au fil des générations. Mon père, qui a grandi dans une ferme du Michigan, aimait le jardinage, ce qui peut expliquer pourquoi j’aime jardiner et sentir l’odeur du sol fertile. Cultiver des plantes qui produisent de belles fleurs et prendre soin des rosiers qui ornent et parfument notre jardin avec tant de beauté sont pour moi d’agréables passe-temps. S’il n’y avait pas de mauvaises herbes, ce serait merveilleux !
Héros décevants
Un livre paru dernièrement, qui donne une saveur fictive à une page de l’histoire des États‑Unis, présente les as de la gâchette de l’Ouest d’autrefois Wyatt Earp et Doc Holliday comme des vagabonds fainéants. Dans une entrevue qu’il a accordée sur les ondes de la National Public Radio, l’auteur a dit du vrai Earp : « Il n’a jamais rien fait de remarquable de toute sa vie. » Au fil des ans, dans les livres et les films hollywoodiens, ils sont devenus des héros. Pourtant, des récits historiques fiables démontrent le contraire.
À ma façon
Deux jeunes garçons jouaient à un jeu complexe impliquant des bâtons et de la ficelle. Au bout de quelques minutes, le plus vieux des deux s’est tourné vers son ami et lui a dit avec irritation : « Tu fais pas ça bien. C’est mon jeu, et on joue comme je veux. Tu peux plus jouer ! » Le désir que les choses se passent comme on l’entend naît à un jeune âge !
Ténèbres et lumière
Lorsque j’étais enfant, je livrais des journaux à environ cent quarante maisons dans deux rues reliées ensemble par un cimetière. Comme je livrais le journal du matin, je devais quitter la maison à 3 h et traverser ce cimetière de nuit. Il m’arrivait parfois d’avoir peur au point de le traverser au pas de course ! Je le redoutais jusqu’au moment de me retrouver en sécurité sous un lampadaire planté de l’autre côté. La lumière dissipait alors les ténèbres inquiétantes.