Annoncer la paix !
Les actualités internationales nous bombardent via Internet, la télévision, la radio et les appareils mobiles, décrivant le plus souvent ce qui ne va pas – crime, terrorisme, guerre et difficultés économiques. Par contre, de bonnes nouvelles envahissent parfois les heures sombres du désespoir – l’histoire de gestes altruistes, une percée médicale ou des pas vers la paix dans des endroits ravagés par la guerre.
« Si seulement je… »
Marc 5.25‑34 contient ce que j’appelle mes étapes « si seulement je… ». Ce sont les actions que j’ai désespérément besoin d’entreprendre, souvent en dernier recours, pour m’approcher de Jésus et obtenir la guérison et une intimité plus profonde avec lui.
À un jet de pierre
En amenant de force une femme adultère à Jésus, les chefs religieux ne pouvaient savoir qu’ils l’amenaient ainsi à s’approcher à un jet de pierre de la grâce. Ils espéraient discréditer le Seigneur. Si Jésus leur disait de laisser aller cette femme, ils pourraient prétendre qu’il transgressait la loi mosaïque. Par contre, s’il la condamnait à mort, la multitude qui le suivait perdrait foi en ses paroles empreintes de miséricorde et de grâce.
Relier les points entre eux
Dans les années 1880, le Français Georges Seurat a inventé une forme artistique : « le pointillisme ». Par de petits points de couleur, plutôt que des coups de pinceau aux pigments mélangés, Seurat créait une image artistique. De près, ses oeuvres ressemblent à des regroupements de points individuels. Pourtant, si l’observateur s’en éloigne, ses yeux en viendront à amalgamer les points en un portrait ou un paysage aux couleurs éclatantes.
Un Sauveur incroyable
Margaret Felten est une mère incroyable. Lorsque j’étais enfant, elle me faisait des câlins et m’embrassait quand je m’écorchais un genou ou que je me sentais triste et désorienté. Plus tard, elle m’a montré par sa vie altruiste en quoi consistent le sacrifice et la sagesse selon Dieu, et j’ai vu en elle un modèle semblable à Christ à émuler. Elle nous a accompagnés dans la prière, ma femme Lynn et moi, alors que nous avons eu, comme adultes, à affronter les difficultés de la vie. À l’époque où je luttais contre une maladie pouvant être mortelle, elle s’est présentée à tous mes traitements. Elle s’asseyait dans la salle d’hôpital avec Lynn et moi et illuminait la pièce de son sourire tendre et de ses marques d’affection. Maintenant avancée en âge, ma mère continue de rayonner d’amour pour Dieu et pour les autres.
Avec nous
Pourquoi le cancer frappe-t-il les gens ? Pourquoi les innocents souffrent-ils ? Pourquoi des choses pénibles arrivent-elles à ceux qui font tant de bien ?
Ambassadeur de l’amour
Dans mon travail d’aumônier, il m’arrive à l’occasion de me faire demander si je serais prêt à apporter une aide spirituelle supplémentaire. Or, bien que je sois heureux de passer du temps avec quiconque me demande de l’aide, je constate souvent que j’en apprends alors plus que j’en enseigne. Cela s’est avéré plus particulièrement lorsqu’un nouveau chrétien cruellement franc m’a dit avec résignation : « Je ne crois pas que ce soit une bonne idée que je lise la Bible. Plus j’en lis sur ce que Dieu attend de moi, plus je juge ceux qui ne font pas ce qu’elle dit. »
Il est venu pour vous
Dans ses romans Le Procès et Le Château, Franz Kafka (1883-1924) décrit la vie comme une existence déshumanisante qui transforme le peuple en une mer de visages vides sans identité ni valeur. Kafka a dit : « La chaîne de montage de la vie te transporte, mais nul ne sait où. On est davantage un objet, une chose, qu’une créature vivante. »
Les portes du paradis
L'artiste italien Lorenzo Ghiberti (1378-1455) a passé des années à sculpter habilement des scènes de la vie de Jésus dans les portes de bronze du baptistère de Florence, en Italie. Ces bas-reliefs de bronze étaient si émouvants que Michel-Ange les a appelés les portes du paradis.
Possiblement la bonne année
Mon père était pasteur, et le premier dimanche de chaque année, il prêchait sur le retour de Christ, en citant souvent 1 Thessaloniciens 4. Il revenait toujours sur un point en particulier : « Ce pourrait être l’année où Jésus reviendra. Êtes-vous prêt à le rencontrer ? » Je n’oublierai jamais avoir entendu ce sermon à l’âge de six ans et de m’être dit : Si c’est vrai, je suis pas sûr qu’il viendra me chercher, moi. J’avais la conviction que mes parents iraient au ciel, et je voulais y aller moi aussi. Alors, quand mon père est rentré de l’église ce jour-là, je lui ai demandé comment je pouvais en être sûr. Il a ouvert sa bible, il m’a lu quelques versets et il m’a parlé du besoin que j’avais d’un Sauveur. Il n’a pas fallu grand-chose pour me convaincre de mes péchés. C’est ainsi que mon père m’a conduit à Christ. Je lui serai d’ailleurs éternellement reconnaissant d’avoir semé ces vérités en moi.