Seul dans l’obscurité
Le film Gravité raconte l’histoire de Ryan Stone, une brillante ingénieure biomédicale, lors de sa première mission spatiale. Son partenaire de mission est l’astronaute chevronné Matt Kowalski. Lors d’une sortie de routine dans l’espace, un désastre survient. Leur navette est détruite et Stone et Kowalski se retrouvent complètement seuls. N’étant retenus que par le câble qui les lie l’un à l’autre, ils partent à la dérive en effectuant des spirales dans l’obscurité.
Se souvenir…
Le plus difficile dans le fait de vieillir, c’est de redouter la démence et la perte de la mémoire à court terme. Le Dr Benjamin Mast, spécialiste de la maladie d’Alzheimer, nous offre toutefois un certain encouragement. Il dit que le cerveau des patients est souvent « usé » et « ancré dans ses habitudes » à tel point qu’il peut entendre un vieux cantique et en chanter chaque mot. Il soutient que les disciplines spirituelles comme la lecture de la Bible et le chant de cantiques amènent la vérité à « s’imprimer » dans notre cerveau, prêt à ressurgir si elles sont sollicitées.
Goûtez et constatez
Une de mes amies a publié une recette pour mijoteuse sur sa page Facebook. Le repas semblait délicieux. J’ai donc téléchargé la recette en comptant l’utiliser un jour. La semaine suivante, une autre amie m’a dit qu’elle cherchait de bonnes recettes à faire dans la mijoteuse. Je lui ai donc envoyé celle que j’avais vue sur Facebook. Elle l’a ensuite transmise à plusieurs de ses connaissances qui l’ont à leur tour transmise à d’autres.
Jouir du temps avec Dieu
Jour 7. Le réveille-matin sonne ; une nouvelle journée commence. Je me retourne et j’appuie sur le rappel d’alarme. Je ne suis pas prêt à sortir du lit. Mon âme affamée crie, mais mon corps désire plus de sommeil. J’ai encore du mal à passer régulièrement du temps dans le calme avec Dieu.
Soulagée d’un soleil cuisant
Comme je vis en Angleterre, je n’ai pas trop à me préoccuper des coups de soleil. Après tout, un épais plafond nuageux en bloque souvent les rayons. Dernièrement, par contre, j’ai passé du temps en Espagne, où je me suis vite rendu compte qu’avec ma peau claire, je ne pouvais rester plus de dix minutes au soleil avant de retourner m’abriter à la hâte sous le parasol.
Qui vous observe ?
Lors des Jeux olympiques de 2016, peu importe où les athlètes allaient dans Rio de Janeiro, ils pouvaient voir Jésus. Érigée au‑dessus de cette ville du Brésil et solidement ancrée au sommet d’une montagne de 705 m appelée Corcovado se trouve une sculpture de 62 m de hauteur appelée Cristo Redentor (Christ le Rédempteur). Les bras grands ouverts, cette immense sculpture est visible de jour comme de nuit depuis presque partout dans la ville tentaculaire.
L’épreuve préliminaire
Au cricket, l’épreuve préliminaire peut s’avérer exténuante. Les athlètes la disputent de 11 h à 18 h, avec pauses repas et thé, mais les matchs peuvent s’étendre sur une période allant jusqu’à cinq jours. Il s’agit d’un test d’endurance, ainsi que d’habileté.
Le mauvais fer à cheval
La défaite de Napoléon en Russie d’il y a 200 ans est attribuable aux durs hivers de là‑bas. Un des problèmes particuliers que son armée a dû affronter tient au fait que ses chevaux étaient ferrés pour l’été. L’hiver venu, ces chevaux sont morts parce qu’ils glissaient sur les routes glacées en tirant des chariots de ravitaillement. La mauvaise chaîne de ravitaillement de Napoléon a ainsi réduit une grande armée de 400 000 soldats en une d’à peine 10 000 soldats. Une petite faille ; un résultat catastrophique !
Libérée de la crainte
La crainte s’insinue dans mon coeur contre mon gré. Elle y crée un sentiment de désespoir. Elle me vole ma paix et ma concentration. Qu’est‑ce que je redoute au juste ? Je m’inquiète de la sécurité de ma famille ou de la santé de mes êtres chers. Je panique devant la perte d’un emploi ou la cassure d’une relation. La crainte tourne mon regard vers l’intérieur et révèle un coeur qui a parfois du mal à faire confiance.
Justice et collations
On prétend que la justice est aveugle, mais des études récentes suggèrent que la justice aime aussi grignoter ! En 2010, une équipe de chercheurs a suivi pendant dix mois les prononcés de huit juges lors de 1100 audiences de libération conditionnelle. Près de 65 % des prisonniers se sont vu octroyer une libération conditionnelle lors des audiences tenues immédiatement après le petit déjeuner des juges. Durant les heures qui suivaient, les chances d’obtenir une libération conditionnelle chutaient. Cependant, les prisonniers avaient 65 % plus de chances d’être libérés si leur cause était entendue après la collation de la matinée ou le repas du midi des juges.