Vendu au péché
Le romancier britannique Evelyn Waugh s’exprimait d’une manière qui accentuait ses défauts. Or, quand il a fini par se convertir, ses combats intérieurs n’ont pas cessé pour autant. Un jour, une femme lui a demandé : « Monsieur Waugh, comment pouvez‑vous vous comporter de la sorte et continuer de vous dire chrétien ? » À cela, il a répondu : « Madame, il se pourrait que je sois aussi mauvais que vous le dites, mais croyez‑moi quand je vous dis que, sans ma religion, je serais à peine humain. »
Couvert par le sang
Pour parler de la foi en Jésus, nous utilisons parfois des mots que nous ne comprenons pas ou n’expliquons pas. L’un d’eux est le mot juste. Nous disons que Dieu possède la justice et qu’il justifie les gens, mais il peut s’agir ici d’un concept difficile à saisir.
Vagues de froid et curiosité
Lorsque la température a chuté à -27 °C dans ma ville, les présentateurs de nouvelles ont averti le public de ne pas aller dehors. Les autorités d’un État voisin ont déclaré : « Vous pourriez mourir en dix minutes si vous ne portez pas les vêtements appropriés. » Après avoir entendu de tels avertissements, mon mari a exprimé ce que je pensais quand il a dit : « Je crois que je veux aller dehors… juste pour voir à quoi cela ressemble. »
Un exemple honteux
Bien que Dubaï ait l’un des codes sociaux les plus indulgents des pays situés dans le golfe Persique, les autorités offrent occasionnellement en exemple ceux qui méprisent la loi ouvertement. Pendant notre séjour de deux ans dans cette métropole, le bruit a couru que certains Occidentaux avaient été condamnés à l’emprisonnement pour s’être embrassés en public ou avoir échangé des messages textes à forte connotation sexuelle.
Avertissement !
Les avertissements suivants ont été trouvés sur divers produits :
Imparfait
Dans son livre intitulé Jumping Through Fires (Traverser des feux d’un seul bond), David Nasser nous raconte son parcours de vie spirituelle. Avant qu’il entre en relation avec Jésus, des adolescents chrétiens lui ont offert leur amitié. Bien que, la plupart du temps, ses copains se montraient généreux, avenants et non critiques, David en a surpris un en train de mentir à sa petite amie. Se sentant coupable, le jeune fautif a fini par le confesser à cette dernière et par lui en demander pardon. David a dit qu’en y réfléchissant, cet incident l’avait rapproché de ses amis chrétiens. Il avait alors compris qu’ils avaient besoin de grâce, au même titre que lui.
Appelé par son nom
Dès que je fais la connaissance d’un nouveau groupe d’étudiants dans le cadre d’un cours de composition universitaire que je donne, je connais déjà leurs noms. Je prends le temps d’apprendre leurs noms et de regarder leurs photos sur ma liste d’élèves, si bien que lorsqu’ils entrent dans ma classe je peux leur dire : « Bonjour, Jessica » ou : « Bienvenue, Trevor. » J’agis de la sorte parce que je sais combien il nous est agréable de nous faire reconnaître et appeler par notre nom.
Que t’importe ?
Pour tout le bien que Facebook, Twitter et Instagram peuvent nous faire, comme de nous permettre de garder le contact avec notre famille et nos amis, ces médias sociaux peuvent aussi être des pierres d’achoppement. Une de mes amies a commencé à limiter le temps qu’elle passe sur les médias sociaux après s’être aperçue que la vie de ses amis virtuels la captivait de plus en plus. Eh oui ! En suivant ses amis sur Facebook, Twitter et Instagram, elle est devenue indiscrète ; mais elle n’est pas la seule.
Mouillés
Dave contemplait le magnifique réseau de sentiers qui s’entrelaçaient dans les terres humides du Canada s’étendant devant lui. Dans les sections les plus marécageuses, un sentier de billots était stratégiquement aménagé entre chaque îlot de terre ferme afin de garder les randonneurs au sec – en principe.
Éviter le piège
Une plante carnivore peut digérer un insecte en une dizaine de jours. Le processus s’amorce quand, ayant senti le nectar sur les feuilles qui composent son piège, une mouche s’en approche pour l’examiner et entre sans se méfier dans les mâchoires de la plante. Les feuilles se referment alors sur elle comme un étau en une demi‑seconde et des sucs digestifs l’y dissolvent.