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Rassemblons‑nous !

Alors que Nicholas Taylor montait à bord d’un train à destination de Perth, en Australie, il s’est pris la jambe en étau entre la plateforme et la voiture. Se voyant incapables de la dégager, les autorités de la station ont coordonné les efforts de près de 50 passagers déterminés à pousser la voiture au compte de trois. En travaillant à l’unisson, ils sont ainsi parvenus à la faire basculer juste assez pour libérer la jambe de Taylor.

Apaiser son âme

Tandis que j’attendais le début d’un concert, mon esprit est retourné à un problème harcelant. Heureusement, cette distraction n’a pas tardé à se dissiper alors qu’un magnifique cantique se traçait un chemin jusqu’au fond de mon être. Une chorale masculine chantait a cappella « Be Still, My Soul » (Sois apaisée, mon âme). Des larmes me sont montées aux yeux pendant que j’écoutais les paroles de cette chanson et que je sentais m’envahir la paix reposante que seul Dieu peut donner :

Reconnaissance et paix

Étant père de quatre enfants, je leur dis ces quatre mots presque chaque jour : « Vous devriez être reconnaissants ! » Je le fais lorsqu’ils refusent de manger leurs légumes au repas ou lorsqu’ils veulent un jouet que « tous » leurs amis ont déjà. Pour mes enfants, et je soupçonne que cela est vrai pour plusieurs d’entre nous, rendre grâce à Dieu est une discipline à acquérir individuellement, la réaction appropriée à ce que Dieu a fait pour nous.

Joignez votre voix au cri

Un groupe de femmes de prière de mon pays se réunit chaque mois afin de prier pour le Ghana et d’autres pays d’Afrique. Interrogée sur les raisons de leurs prières incessantes pour les nations, leur directrice Gifty Dadzie a répondu : « Regardez autour de vous, écoutez les actualités. Nos nations souffrent : la guerre, les catastrophes, les maladies et la violence menacent d’éclipser l’amour de Dieu pour l’humanité et ses bénédictions envers nous. Nous croyons que Dieu intervient dans les affaires des nations, si bien que nous le louons pour ses bénédictions et implorons son action. »

La paix comme un fleuve

Une connaissance de mon cours d’exercice physique m’a dit : « Je ne suis pas surprise que vous dirigiez des retraites. Vous avez une belle aura. » Sa remarque m’a un peu prise de court, mais agréablement surprise, car je me suis rendu compte que ce qu’elle considérait comme une « aura » était en réalité la paix de Christ en moi. Si nous suivons Jésus, il nous accorde la paix qui surpasse toute intelligence (PH 4.7) et qui irradie de nous, bien que nous n’en soyons pas forcément conscients.

Une paix qui règne

Beaucoup de chrétiens connaissent l’hymne « Comme un fleuve immense. » On lit au premier vers : « Comme un fleuve immense est la paix de Dieu. » Pour la plupart d’entre nous, la paix ne ressemble pas à un fleuve puissant, mais plutôt à une plume qui vole au gré des préoccupations et des soucis de la vie. Pour moi, m’accrocher à la foi au milieu de la tourmente, c’est comme essayer d’attraper une particule de poussière qui flotte dans l’air !

Et si ?

Récemment, j’ai reçu le courriel d’une femme nommée Renée qui me racontait qu’elle et son mari avaient essayé pendant des années de fonder une famille, sans succès. Après avoir subi plusieurs traitements de fécondation in vitro et attendu plusieurs années pour adopter, ils étaient épuisés par l’épreuve et songeaient à mettre fin au projet. Sachant que ma femme et moi avions vécu une épreuve semblable, Renée m’a posé cette question : « Comment fait-on pour laisser tomber le rêve de devenir parent sans ensuite vivre en regrettant ce qui aurait pu arriver ? »

L’usine du chagrin

Étant depuis toujours fan de l’équipe de football des Browns de Cleveland, j’ai grandi en ayant mon lot de déceptions. Même si elle compte au nombre des quatre seules équipes à ne s’être jamais rendues jusqu’au championnat du Super Bowl, certains fans des Browns leur restent néanmoins fidèles année après année. Par contre, comme ces derniers finissent toujours par être déçus, un grand nombre d’entre eux ont surnommé le stade à domicile « l’usine du chagrin ».

Un abri véritable

En mars 2014, un conflit tribal a éclaté dans ma région natale, forçant la maisonnée de mon père, ainsi que d’autres réfugiés, à aller se mettre à l’abri dans la capitale régionale. Tout au long de l’Histoire, des gens qui se sentaient en danger dans leur propre pays sont allés s’installer ailleurs afin d’y trouver la sécurité et un meilleur sort.

Un présent fragile

Lorsque nous offrons un présent qui est fragile, nous l’écrivons bien clairement, en grosses lettres, sur la boîte d’emballage. Nous voulons éviter que quelqu’un l’endommage.