Le Consolateur
En montant à bord d’un avion à destination d’une ville située à des milliers de kilomètres de chez moi pour y étudier, je me sentais nerveuse et seule. Durant le vol, par contre, je me suis rappelé que Jésus avait promis à ses disciples de leur accorder la présence réconfortante du Saint‑Esprit.
Trop bon pour le taire
Au cours d’un procès, les témoins sont plus que de simples observateurs ou spectateurs. Ils participent activement à en déterminer l’issue. Or, il en va de même pour le témoignage que nous rendons de Christ. Nous sommes tenus de participer activement à une affaire de la plus haute importance, qui consiste à dire la vérité au sujet de la mort et de la résurrection de Jésus.
Se fondre dans la masse
Par une soirée fraîche, alors que nous étions en vacances, ma fille et moi sommes allées marcher sur la plage. Je l’ai interrompue au milieu d’une phrase en lui tapant le bras et je lui ai dit en pointant quelque chose : « Regarde là-bas ! » Ce qui semblait être du sable qui bouge était, en regardant de plus près, un petit crabe qui courait sur la plage. Il était protégé par sa couleur beige, sa petite taille et ses réflexes rapides qui l’empêchaient d’être vu et encore moins d’être attrapé. La petite créature voulait survivre et non pas se faire remarquer.
À la maison avec Jésus
On n’est jamais mieux que chez‑soi. » Cette expression reflète une soif profonde en nous, qui nous pousse à désirer ardemment avoir un lieu où nous reposer, où vivre et auquel appartenir. Après avoir partagé un dernier repas avec ses amis, Jésus a parlé de sa mort et de sa résurrection imminentes en évoquant le désir d’être enraciné quelque part. Il a promis que, même s’il était sur le point de les quitter, il reviendrait les chercher, sans compter qu’il leur préparerait une place dans la maison du Père, où tous seraient donc chez eux.
Le dernier arrêt
Mon ami dit que notre vie est comme un train. Nous effectuons plusieurs « arrêts » pour l’école, l’université, le travail, le mariage et la famille. À chaque arrêt, nous passons du temps avec ceux qui sont aussi descendus. Lorsque nous obtenons notre diplôme ou que nous changeons d’emploi, nous disons au revoir aux gens qui sont à cette jonction et rembarquons dans le train. Seulement quelques personnes resteront avec nous jusqu’à la fin. Ce sont les personnes les plus importantes pour nous ; celles qui recevront la plus grande partie de notre temps et de notre attention.
La chevelure défaite
Peu avant la Crucifixion, une femme nommée Marie a répandu le flacon d’un précieux parfum sur les pieds de Jésus. Puis, d’un geste peut-être encore plus audacieux, elle a essuyé les pieds de celui‑ci de ses cheveux (JN 12.3). Non seulement Marie a‑t‑elle dû sacrifier ce qui constituait sans doute les économies de toute une vie, mais elle a également sacrifié sa réputation. Dans la culture du Moyen‑Orient du Ier siècle, les femmes respectables ne laissaient jamais leur chevelure défaite en public. Reste que les véritables adorateurs ne se soucient guère de ce que les autres peuvent penser d’eux (2 S 6.21,22). Pour adorer Jésus, Marie était prête à passer pour quelqu’un d’immodeste, voire d’immoral.
Un parcours de foi
Depuis sa première parution en 1880, le livre de Lew Wallace intitulé Ben‑Hur, une histoire sur le Christ n’a jamais été en rupture de stock. On dit de ce livre qu’il a été le plus influent du XIXe siècle et qu’il continue de captiver ses lecteurs de nos jours en tissant sous leurs yeux la véritable histoire de Jésus à même la vie fictive d’un jeune noble Juif nommé Juda Ben‑Hur.
Poisson d’avril
Les origines du poisson d’avril remontent à la fin du XVIe siècle lorsque le premier de l’an est passé du 1er avril au 1er janvier dans le calendrier grégorien. On traitait de « poissons » ceux qui, dupes, suivaient l’ancienne tradition, ce qui a créé une nouvelle tradition, celle de jouer des tours. Je me rappelle un tour en particulier où on a lâché dans une école, trois cochons identifiés 1, 2 et 4. Ceux qui cherchaient le cochon numéro 3 ont eu toute une surprise !
Un parent célèbre
De temps en temps, on entend parler de gens qui ont profité de la célébrité d’un membre de leur famille. Athlètes, artistes et acteurs en sont victimes encore et encore.
Tout ce que j’ai fait
J’étais assise dans l’église, la tête baissée et les yeux fermés. Je n’ai pas comblé les attentes de Dieu, ai-je pensé. Il doit être très déçu de moi. Puis mon pasteur a dit : « Regardez Jésus dans les yeux. Remarquez comment il vous regarde, comment il vous voit. » Je l’ai fait, et à cet instant, je me suis trouvée à la place de la Samaritaine…