Demandez de la sagesse
Après l’université, j’ai oeuvré dans un ministère sportif pendant plusieurs années durant lesquelles je me suis nouée d’amitié avec quelques athlètes professionnels et olympiques. Au cours de la dernière année, j’ai discuté avec ces amis, et ils m’ont tous expliqué qu’après s’être retirés de la compétition, ils avaient eu de la difficulté à savoir quoi faire de leur vie.
La joie durant le voyage
L’annonce d’une balade en voiture en famille est le moyen le plus rapide pour que mes deux jumeaux de six ans soient prêts et assis dans la voiture. Mais alors que nous descendons notre rue, que nous tournons le coin et que nous nous engageons sur l’autoroute, le refrain du voyage standard se fait entendre du siège arrière par de petites voix : « On arrive quand ? » C’est une question qui est souvent répétée, et bien que les parents s’en lassent rapidement, les enfants n’envisagent jamais d’abandonner le voyage et de rentrer à la maison. Ils peuvent devenir impatients, mais ils veulent poursuivre jusqu’à destination.
BÂTIR UN PONT
Le livre Colorado Saga de James Michener fait le récit fictif de l’histoire et de la colonisation de l’Ouest américain. Par les yeux d’un commerçant de fourrures canadien-français du nom de Pasquinel, Michener fusionne les histoires des Arapaho des grandes plaines et de la communauté européenne installée à SaintLouis. Tandis que ce rude aventurier parcourt les enclaves grandissantes de la ville et les grands espaces des plaines, il devient un pont entre deux mondes aux antipodes l’un de l’autre.
AMENEZ-MOI LE GARÇON
Je ne crois pas en Dieu et je n’irai pas », a dit Mark.
Volonté de Dieu et nos espoirs
Mesurant à peine quelques centimètres, l’image du sonagramme semblait tout droit sortie d’un film de science‑fiction. Les petits bouts de bras et la tête bien définie étaient la promesse de celui qui allait être notre premier‑né. Il nous manquait de connaître son sexe, ses traits de personnalité et ses qualités distinctives pour avoir une vue d’ensemble du coeur qui battait. Les photos du sonagramme qui avaient capturé l’image de cette petite vie qui grandissait dans l’utérus étaient des trésors pour mon mari et moi. Elles nous rappelaient que ce que nous ne pouvons voir à l’oeil nu était en fait, bien réel même si caché.
Toute notre vie
Au début des années 1500, Martin Luther affirme que la foi en Jésus nous justifie. Mais il déclare aussi que cette foi doit être présente dans chaque aspect de notre vie, y compris nos transactions d’affaires. Deux siècles et demi plus tard, un jeune homme du nom de John Woolman prend cette déclaration à coeur alors qu’il ouvre un atelier de couture. En raison de son engagement à l’égard de l’amour chrétien, il choisit de ne pas acheter de coton ou de teinture produits par des esclaves. Il peut ainsi dire en toute bonne conscience qu’il se conduit avec sainteté et pureté dans tout ce qu’il fait (2 Co 1.12).
Merveilles et doux murmures
Scène 1 : Élie sur le mont Carmel (1 R 18.16‑39). Le prophète a déclaré qu’on fasse un test. Lui et les prophètes de Baal vont chacun construire un autel et appelleront leurs dieux. Celui qui réussira à mettre le feu à l’autel sera déclaré le seul vrai Dieu (v. 24).
Gloire et autorité
Jean a consigné pour nous deux événements qui se sont produits au début (probablement dans les premières semaines) du ministère public de Jésus. Il a accompli le premier de ses 35 miracles consignés durant un mariage à Cana. Il a changé de l’eau pure, utilisée pour le lavage cérémoniel, en du vin de qualité supérieure (Jn 2.1‑11). On nous offre bien plus qu’un Jésus au coeur tendre et compatissant qui aide un nouveau couple marié à sortir de l’embarras alors qu’il manquait de vin trop tôt. On nous offre un avant-goût de sa puissance transformatrice !
Fondement
La pièce était dans un état lamentable. Les bureaux semblaient avoir été déplacés sans soin, le sol était couvert de maïs soufflé et les tableaux affichaient un conglomérat d’oeuvres d’art abstrait. Ma salle de classe avait servi de salle de repos et de divertissement pour des acteurs d’âge primaire qui s’y rendaient entre les quelques scènes qu’ils jouaient dans une comédie musicale du lycée. Le rideau final était maintenant baissé, et je parcourais les dommages du regard avant de me mettre au travail en balayant et en nettoyant. Lorsque j’ai rabattu le grand tapis à l’avant de la salle, les mots écrits sur le dessous ont attiré mon attention.
Rappelez-vous
Ma femme et moi sommes récemment allés voir une exposition sur le Titanic au musée de notre quartier. En marchant autour des objets, en visionnant des vidéos et en regardant des photos, les événements du 15 avril 1912, le jour où le Titanic a coulé, sont devenus réels pour nous. Le récit d’une femme âgée et de son mari nous a particulièrement émus. Lorsqu’on a demandé à Ida Straus de monter à bord d’un canot de sauvetage avec d’autres femmes et de laisser son mari derrière, elle a refusé. « Je ne me séparerai pas de mon mari. Nous avons vécu ensemble, nous mourrons ensemble », a-t-elle dit. Ils ont été vus pour la dernière fois debout sur le pont, bras dessus, bras dessous, attendant que le bateau descende en eau profonde.