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Les cadenas d’amour

Les cadenas d’amour » sont un phénomène croissant. Des milliers de personnes amoureuses attachent ces cadenas d’amour à des ponts, à des portes et à des clôtures, partout dans le monde : en France, en Chine, en Autriche, en République tchèque, en Serbie, en Espagne, au Mexique, en Irlande du Nord. Des couples gravent leurs noms sur un cadenas avant de l’attacher dans un lieu public pour symboliser leur amour éternel. Les autorités de certains monuments désapprouvent cela en raison du danger potentiel, dans la mesure où un nombre trop important de cadenas se retrouve attaché. Certains pensent qu’il s’agit d’actes de vandalisme, tandis que d’autres les considèrent comme une forme d’art et une image de l’amour scellé à jamais.

Solidarité humaine

Un homme montait à bord d’un train à Perth, en Australie, quand il a glissé et s’est retrouvé la jambe coincée dans l’espace situé entre le wagon et le quai. Des dizaines de passagers se sont précipités à son secours. Ils ont uni tous leurs efforts pour incliner le train loin de la plate-forme et l’homme coincé a pu être libéré. David Hynes, le porte-parole du service ferroviaire, a déclaré dans une interview : « Tout le monde a mis la main à la pâte. C’est la solidarité humaine qui a sauvé cet homme de blessures potentiellement très graves. »

Papa, maman et moi

J’ai accepté Jésus comme mon Sauveur à l’âge de 15 ans. Mon père a eu le coeur brisé lorsqu’il l’a appris, puisqu’il a des croyances religieuses différentes. Il a fait des insomnies les nuits suivantes. Il avait l’impression d’avoir échoué en tant que père parce qu’il n’avait pas su garder sa famille unie. Sa fille avait abandonné les traditions familiales pour suivre un « Dieu occidental ».

Communication claire

Beaucoup de situations conflictuelles résultent de fausses suppositions dues à un manque de communication. Par exemple, nous partageons un mur avec nos voisins et, depuis qu’ils ont emménagé il y a six mois, ils rénovent tout : le jardin, le garage, les salles de bains, les chambres à coucher. Il n’y a aucun endroit où le marteau, les outils électriques…

Louer le Dieu vivant

En 2005, lorsqu’est morte Rosa Parks, une héroïne de la défense des droits civils aux États‑Unis, Oprah Winfrey a considéré comme un privilège d’écrire son éloge funèbre. Voici ce qu’Oprah a dit de cette femme qui a refusé de céder sa place dans le bus à un Blanc en 1955 : « Je me suis souvent demandé ce qu’il t’a fallu surmonter pour faire ce geste – sachant quel était le climat social de l’époque et ce qui risquait de t’arriver –, ce qu’il t’a fallu surmonter pour rester assise. Tu as agi sans te soucier de toi‑même et tu as amélioré notre sort à tous. »

Un seul

Avez-vous déjà eu envie de jeter un coup d’oeil au courrier de quelqu’un ? Peut-être était-ce une enveloppe qui provenait du cabinet du médecin et qui contenait les résultats de tests médicaux d’un membre de votre famille ? Ou peut-être était-ce une lettre adressée à vos parents qui provenait d’un membre de la famille avec qui ils sont brouillés. Alors que vous teniez l’enveloppe dans vos mains, la tentation de l’ouvrir vous a probablement assailli.

La grâce dans notre coeur

Il y a quelques années, l’une des principales conseillères du président des États‑Unis a pris le général quatre‑étoiles Peter Chiarelli (le deuxième plus haut gradé de l’armée américaine à l’époque) pour un serveur lors d’un dîner officiel donné à Washington. Tandis que le général en question se tenait debout derrière elle dans sa tenue de cérémonie, la conseillère lui a demandé de lui apporter une boisson. Elle a alors pris conscience de son erreur, et le général a eu la grâce de la soulager de son embarras en remplissant joyeusement son verre et en l’invitant même à se joindre à sa famille au cours du dîner.

Du nouveau

Ce n’étaient que des bouts de bois, mais Charles Hooper a vu beaucoup plus que cela en eux. En récupérant du vieux bois d’oeuvre d’un séchoir à maïs abandonné depuis longtemps, il a esquissé quelques ébauches simples. Puis il a abattu quelques chênes et peupliers de sa propriété boisée, qu’il a équarris péniblement à l’aide de la hache de son grand‑père. Il s’est ensuite mis à assembler, pièce par pièce, le vieux bois avec le nouveau.

En sécurité

Ses doux cheveux effleurant mon menton, le minuscule poupon se pelotonnait contre mon épaule. L’étape des bébés étant loin derrière moi avec mes propres enfants, je profite de ces tendres moments avec les bébés de mes amis. Même s’ils sont parfois farouches, j’apprécie les occasions que j’ai de les blottir contre moi, surtout lorsque je peux sentir la tension sortir de leur petit corps alors qu’ils se détendent et s’endorment. En même temps, ces moments précieux m’encouragent à lâcher prise de tout ce qui, jusque-là, semblait menaçant ou exigeant.

Fin heureuse

Un ami m’a raconté la fois où il regardait le football à la télévision et sa jeune petite‑fille jouait près de lui. En colère contre le mauvais jeu de son équipe, il a saisi la première chose qui lui est tombée sous la main et l’a jetée par terre. C’est ainsi qu’il a cassé le jouet préféré de sa fillette, lui brisant le coeur du même coup. Mon ami a immédiatement serré sa fille dans ses bras et lui a demandé pardon. Il a remplacé le jouet et il a cru que l’affaire était réglée, mais il ignorait à quel point sa fureur avait apeuré sa petite de 4 ans et elle ignorait la profondeur de son propre chagrin. Avec le temps, toutefois, elle a fini par pardonner à son père.