Mais Dieu…
Un homme désespéré fait cette confession à un enseignant de la Bible : « Ma vie va très mal. » « À quel point ? » demande l’enseignant. Se prenant la tête entre les mains, l’homme gémit : « Je vais vous dire à quel point elle va mal. Il ne me reste plus rien, sauf Dieu. »
Aimez-vous Dieu ?
Aimez-vous Dieu ? Pensez-y. Comment une simple personne peut‑elle s’approcher de Dieu, et dire qu’elle vit une relation d’amour avec un Être si glorieux ? J’en suis médusée. Un ancien hymne méthodiste décrit Dieu ainsi : « Immortel, invisible, Dieu seul sage, vivant dans lumière inaccessible et caché à nos yeux ». L’« altérité » de Dieu explique peut‑être pourquoi nous nous sentons mal placés pour affirmer que nous l’aimons.
Un abri véritable
En mars 2014, un conflit tribal a éclaté dans ma région natale, forçant la maisonnée de mon père, ainsi que d’autres réfugiés, à aller se mettre à l’abri dans la capitale régionale. Tout au long de l’Histoire, des gens qui se sentaient en danger dans leur propre pays sont allés s’installer ailleurs afin d’y trouver la sécurité et un meilleur sort.
Une invitation au repos
Au chevet d’un ami admis au service des urgences, j’ai été ému devant l’expression de la souffrance des autres patients. Tandis que je priais pour mon ami et pour les patients mal portants, j’ai compris de nouveau que la vie est courte. Je me suis alors souvenu du message d’une vieille chanson où l’on disait que nous ne faisons que passer ici-bas.
Merveilleux amour
Le premier Noël après le décès de son mari, notre amie, Davidene, a rédigé une lettre remarquable dans laquelle elle s’imaginait ce qui s’était passé au ciel quand Jésus est né sur terre. « Dieu avait toujours su que cela arriverait. Trois personnes en une, Dieu avait accepté la rupture de son unité précieuse pour notre bien. Dieu le Fils a quitté le ciel. »
Le Saint Nom
Par un bel après-midi, je discutais avec un ami, que je considère comme mon mentor spirituel, de l’interdiction de prendre le nom de Dieu en vain. Le troisième commandement ordonne : « Tu ne prendras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain » (EX 20.7). Nous croyons peut-être que cela signifie simplement associer le nom de Dieu à un juron ou nous servir irrespectueusement de son nom. Mon mentor m’a incité à penser à d’autres manières dont nous profanons le nom de Dieu.
Le Dieu des surprises
Les anges ont-ils été surpris quand Dieu a esquissé l’univers ? Ils l’ont surement été lorsqu’ils ont vu le premier oiseau prendre son envol et le premier humain cligner des yeux. Ils ont surement été aussi surpris lorsqu’ils ont vu Dieu lui-même fabriquer des vêtements pour couvrir la honte de l’homme déchu (Ge 1–2 ; 3.21).
Le silence
Un copain de pêche m’a dit : « Les ruisseaux peu profonds font le plus de bruit », une variation intéressante du vieil adage : « Méfions-nous de l’eau qui dort. » Il insinuait que les gens qui parlent le plus sont souvent ceux qui en ont le moins à dire
L’île Charity
L’île Charity est la plus grande des îles de la baie Saginaw ; elle se situe dans les eaux du Michigan, dans le lac Huron. Durant de nombreuses années, elle a possédé un port sûr et un phare pour aider à la navigation. Des marins lui ont donné son nom, puisqu’ils croyaient qu’elle se trouvait dans cette baie « grâce à la charité de Dieu ».
Bénissez l’Éternel
Avez-vous déjà chanté le chant inspirant de Matt Redman « 10 000 Reasons » (Mille et une raisons) ? En voici le début : Bénis Dieu ô mon âme, ô mon âme, Rends gloire à son saint nom. Oh, chante comme jamais, Ô mon âme. Je louerai son saint nom. Matt a dit s’être basé sur le Psaume 103 pour écrire cette chanson qui énumère de nombreuses et diverses raisons de bénir le Seigneur. Vous demandez-vous ce que signifie « Mon âme, bénis l’Éternel ! » au verset 1 ?